đ§š La Femme Est La Seconde Faute De Dieu
Alorsest-ce la faute de Dieu ce que nous v Bonjour à tous, aujourd'hui tournons nos pensées et nos priÚres vers l'Australie qui vie un temps trÚs difficile.
22 dĂ©cembre 2009 2 22 /12 /dĂ©cembre /2009 1029 Psaumes 16 Matthieu 13 1-11 Ce mĂȘme jour, JĂ©sus sortit de la maison, et s'assit au bord de la mer. Une grande foule s'Ă©tant assemblĂ©e auprĂšs de lui, il monta dans une barque, et il s'assit. Toute la foule se tenait sur le rivage. Il leur parla en paraboles sur beaucoup de choses, et il dit Un semeur sortit pour semer. Comme il semait, une partie de la semence tomba le long du chemin les oiseaux vinrent, et la mangĂšrent. Une autre partie tomba dans les endroits pierreux, oĂč elle n'avait pas beaucoup de terre elle leva aussitĂŽt, parce qu'elle ne trouva pas un sol profond ; mais, quand le soleil parut, elle fut brĂ»lĂ©e et sĂ©cha, faute de racines. Une autre partie tomba parmi les Ă©pines les Ă©pines montĂšrent, et l'Ă©touffĂšrent. Une autre partie tomba dans la bonne terre elle donna du fruit, un grain cent, un autre soixante, un autre trente. Que celui qui a des oreilles pour entendre entende. Les disciples s'approchĂšrent, et lui dirent Pourquoi leur parles-tu en paraboles JĂ©sus leur rĂ©pondit Parce qu'il vous a Ă©tĂ© donnĂ© de connaĂźtre les mystĂšres du royaume des cieux, et que cela ne leur a pas Ă©tĂ© donnĂ©. » Quand JĂ©sus sortit de sa maison, Il avait un but prĂ©cis câest de semer la Parole de Dieu, rĂ©vĂ©ler les secrets du royaume des cieux. Tous les actes de JĂ©sus Ă©taient productifs, lĂ oĂč Il va, câest pour accomplir la volontĂ© du PĂšre. JĂ©sus semait la bonne parole, tout dâabord Ă ses disciples mais Ă tout le peuple. Une fois JĂ©sus retournĂ© auprĂšs du PĂšre, ses disciples ont Ă leur tour rĂ©pandu la semence. Nous aussi, si nous recevons la Parole de Dieu, ce nâest pas que pour nous, mais pour toutes les autres Ăąmes perdues qui ont besoin dâĂȘtre sauvĂ©es et guĂ©ries. A partir de ce passage biblique, nous allons voir comment, Ă quel moment, oĂč semer. Un semeur sait oĂč il va semer, dans les champs. Aucun semeur ne sĂšme nâimporte comment. MĂȘme un agriculteur sâil sĂšme câest pour que les graines produisent des fruits ou des lĂ©gumes. Combien le Fils de Dieu sâil veut sauver, câest dans une meilleure intention, plus grande que celle des hommes câest de sauver les hommes du pĂȘchĂ©s. JĂ©sus veut que comme les graines, la Parole de Dieu sâimprĂšgne dans nos cĆurs, grandit et produit de choses merveilleuses dans notre vie dont la plus grande câest le don de la vie Ă©ternelle. JĂ©sus sortit donc de sa maison pour semer Ă beaucoup de monde. Nous avons donc besoin de rĂ©pandre lâĂ©vangile Ă tout le monde. La prĂ©dication ne se rĂ©sume pas quâĂ notre famille mais Ă tout le peuple du monde entier. Par consĂ©quent, si Dieu nous a dotĂ©s des oreilles, des yeux, et une bouche, ce nâest pas pour Ă©couter des mĂ©disances, ni pour regarder des obscĂ©nitĂ©s, ou encore pour dire du mal, mais pour Ă©couter la Parole de Dieu, regarder la gloire de Dieu, et rĂ©pandre lâEvangile. Notre corps tout entier a Ă©tĂ© créé pour ĂȘtre son instrument Ă rĂ©pandre lâĂ©vangile. Tout nous a Ă©tĂ© donnĂ© par sa grĂące. Psaumes 32 9 Ne soyez pas comme un cheval ou un mulet sans intelligence ; On les bride avec un frein et un mors, dont on les pare, Afin qu'ils ne s'approchent point de toi. » 2 Corinthiens 4 3 Si notre Ăvangile est encore voilĂ©, il est voilĂ© pour ceux qui pĂ©rissent » Ne laisser pas Satan vous traiter comme des chevaux de course, bridĂ©s qui ne voient le chemin, que le jockey veut quâils voient. De mĂȘme, Satan veut nous bridĂ©s les yeux, voulant nous empĂȘcher de voir la semence que JĂ©sus a semĂ© dans nos cĆurs. Par ailleurs, Dieu aussi peut nous aveugler, sâIl voit que notre Ăąme nâest pas prĂȘte a recevoir sa Parole semĂ©e. Proverbes 7 3 Lie-les sur tes doigts, Ăcris-les sur la table de ton cĆur. » Câest le premier commandement que Dieu a donnĂ©. GenĂšse 3 4-5 Alors le serpent dit Ă la femme Vous ne mourrez point ; mais Dieu sait que, le jour oĂč vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal. » Dieu nâa pas eu tort sâIl a semĂ©, mais câest Satan qui a trompĂ© Eve, en semant le pĂȘchĂ© dans son cĆur. Matthieu 13 16 Mais heureux sont vos yeux, parce qu'ils voient, et vos oreilles, parce qu'elles entendent ! » De part JĂ©sus, le secret des royaumes des cieux a Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ© aux disciples. GenĂšs 3 6 La femme vit que l'arbre Ă©tait bon Ă manger et agrĂ©able Ă la vue, et qu'il Ă©tait prĂ©cieux pour ouvrir l'intelligence ; elle prit de son fruit, et en mangea ; elle en donna aussi Ă son mari, qui Ă©tait auprĂšs d'elle, et il en mangea. » Matthieu 13 19 Lorsqu'un homme Ă©coute la parole du royaume et ne la comprend pas, le malin vient et enlĂšve ce qui a Ă©tĂ© semĂ© dans son cĆur cet homme est celui qui a reçu la semence le long du chemin. » A ce moment, Satan a ĂŽtĂ© la semence que Dieu avait semĂ©e dans le cĆur dâAdam et Eve. Car ils ont semĂ© les mauvaises graines, en Ă©coutant la voix du serpent. Matthieu 13 5 Une autre partie tomba dans les endroits pierreux, oĂč elle n'avait pas beaucoup de terre elle leva aussitĂŽt, parce qu'elle ne trouva pas un sol profond » Il existe des personnes qui ne grandissent pas par la foi. Ils sont restĂ©s au stade de la nouvelle naissance et ne se nourrissent plus de nourriture spirituelle, entraĂźnant la mort de lâĂąme cf Jean20. Matthieu 13 6 mais, quand le soleil parut, elle fut brĂ»lĂ©e et sĂ©cha, faute de racines. » AprĂšs quâon ait reçu une semence, nous devons ĂȘtre sur nos gardes en Ă©coutant la Parole et la faire fructifier grĂące Ă une faim permanente de la nourriture spirituelle. Matthieu 13 20-21 Celui qui a reçu la semence dans les endroits pierreux, c'est celui qui entend la parole et la reçoit aussitĂŽt avec joie ; mais il n'a pas de racines en lui-mĂȘme, il manque de persistance, et, dĂšs que survient une tribulation ou une persĂ©cution Ă cause de la parole, il y trouve une occasion de chute. » Exemple, sâil reste 1% de notre cĆur non disponible envers Dieu, les 99% de puretĂ© ne reprĂ©sentent rien du tout. Dieu demande une perfection dans lâaccomplissement de sa volontĂ©. Prenons le cas dâun formage Ă tartiner. Si nous ne faisons pas attention au dĂ©but, une moisissure microscopique peut se multiplier et aprĂšs quelques jours dans le rĂ©frigĂ©rateur le fromage nâest plus consommable. La blancheur initiale est devenue de couleur verte, car la minuscule moisissure est devenue un vĂ©ritable champignon. Un autre exemple pour allumer un barbecue il faut allumer au moins un charbon de bois. Câest ensuite ce charbon qui rallume et chauffe, les autres autour de lui. Si ce charbon nâest pas bien attisĂ©, les autres non plus ne sâallumeront pas. De mĂȘme, une personne qui a reçu JĂ©sus comme Sauveur, a le feu du Saint Esprit en lui, brĂ»lant tous les pĂȘchĂ©s. Par consĂ©quent, cette personne aura pour rĂŽle de rĂ©pandre la Parole pour rĂ©veiller lâesprit des autres personnes endormies. JĂ©sus doit grandir dans notre cĆur comme le feu allumĂ© de maniĂšre continue par le biais du Saint Esprit. Matthieu 13 8 ; 13 23 Une autre partie tomba dans la bonne terre elle donna du fruit, un grain cent, un autre soixante, un autre trente. / Celui qui a reçu la semence dans la bonne terre, c'est celui qui entend la parole et la comprend ; il porte du fruit, et un grain en donne cent, un autre soixante, un autre trente. » Câest la pĂ©riode des rĂ©coltes, car la Parole de Dieu a Ă©tĂ© semĂ©e sur une bonne terre bien prĂ©parĂ©e. Ainsi, nous recevons les guĂ©risons, les miracles, et la vie Ă©ternelle, que nous vivions dĂ©jĂ sur Terre. Matthieu 13 37-39 Il rĂ©pondit Celui qui sĂšme la bonne semence, c'est le Fils de l'homme ;le champ, c'est le monde ; la bonne semence, ce sont les fils du royaume ; l'ivraie, ce sont les fils du malin ;l'ennemi qui l'a semĂ©e, c'est le diable ; la moisson, c'est la fin du monde ; les moissonneurs, ce sont les anges. » JĂ©sus a semĂ© la bonne semence dans notre cĆur, mais il existe toujours les fils du malin qui sâĂ©loignent de la Parole. Matthieu 13 40 Or, comme on arrache l'ivraie et qu'on la jette au feu, il en sera de mĂȘme Ă la fin du monde. » 1 Corinthiens 3 Nous sommes les fils du Royaume, semeurs de la bonne semence. 1 Corinthiens 3 5-9 Qu'est-ce donc qu'Apollos, et qu'est-ce que Paul ? Des serviteurs, par le moyen desquels vous avez cru, selon que le Seigneur l'a donnĂ© Ă chacun. J'ai plantĂ©, Apollos a arrosĂ©, mais Dieu a fait croĂźtre, en sorte que ce n'est pas celui qui plante qui est quelque chose, ni celui qui arrose, mais Dieu qui fait croĂźtre. Celui qui plante et celui qui arrose sont Ă©gaux, et chacun recevra sa propre rĂ©compense selon son propre travail. » Notre cĆur peut ĂȘtre comparĂ© Ă un champ de Dieu. 1 Corinthiens 3 16 Ne savez-vous pas que vous ĂȘtes le temple de Dieu, et que l'Esprit de Dieu habite en vous ? » JĂ©sus exige que notre cĆur soit totalement pur, car il reprĂ©sente le temple de Dieu. Notre cĆur nâest jamais neutre, soit il appartient Ă Dieu, soit Ă Satan. Il est le champ de Dieu, et ce dernier doit ĂȘtre bien entretenu par le semeur Dieu qui doit le trouver dans un Ă©tat prĂȘt Ă le recevoir vidĂ©. Prenons le cas de Pierre, quand JĂ©sus est prĂ©sent, il a jetĂ© le filet et ce dernier Ă©tait plein de poissons. Avant de recevoir la plĂ©nitude de JĂ©sus, le filet Ă©tait dâabord vide. Et câest le cas de notre cĆur qui doit ĂȘtre vidĂ© complĂštement avant la pĂ©nĂ©tration de la Parole, parce que JĂ©sus nous aime. EsaĂŻe 55 10 Comme la pluie et la neige descendent des cieux, Et n'y retournent pas Sans avoir arrosĂ©, fĂ©condĂ© la terre, et fait germer les plantes, Sans avoir donnĂ© de la semence au semeur Et du pain Ă celui qui mange, » Câest maintenant la rĂ©colte et vous pouvez partager avec les autres ce que vous avez rĂ©coltĂ©. Car nous sommes le champ de Dieu. Matthieu 13 22 Celui qui a reçu la semence parmi les Ă©pines, c'est celui qui entend la parole, mais en qui les soucis du siĂšcle et la sĂ©duction des richesses Ă©touffent cette parole, et la rendent infructueuse. » Pour conclure, afin que la bonne semence ne soit pas rĂ©pandue avec les Ă©pines, la prĂ©sence du Saint Esprit est nĂ©cessaire pour vous aider. Published by HVKL MISSION - dans Partage spirituelleAvertissement Vous remarquerez que nous nâavons fait aucun commentaire. Tout ce qui est Ă©crit lâest de la main de Nietzsche. Le lecteur saura apprĂ©cier ou dĂ©tester... Vous admirez Nietzsche ? Pourtant, câest un des sommets intellectuels » du mĂ©pris et de la haine des femmes !!! Ă aucune Ă©poque le sexe faible nâa Ă©tĂ© traitĂ© avec autant dâĂ©gards de la part des hommes quâĂ notre Ă©poque. Câest une consĂ©quence de notre penchant et de notre goĂ»t fonciĂšrement dĂ©mocratiques, tout comme notre manque de respect pour la vieillesse. Faut-il sâĂ©tonner si ces Ă©gards ont dĂ©gĂ©nĂ©rĂ© en abus ? On veut davantage, on apprend Ă exiger, on trouve enfin ce tribut dâhommages presque blessant, on prĂ©fĂ©rerait la rivalitĂ© des droits, le vĂ©ritable combat. En un mot, la femme perd de sa pudeur. Ajoutons de suite quâelle perd aussi le goĂ»t. Elle dĂ©sapprend de craindre lâhomme. Mais la femme qui dĂ©sapprend la crainte » sacrifie ses instincts les plus fĂ©minins. Que la femme devienne hardie, quand ce qui inspire la crainte en lâhomme, ou plus exactement quand lâhomme en lâhomme nâest plus voulu et disciplinĂ© par lâĂ©ducation, câest assez juste et aussi assez comprĂ©hensible. Ce qui est plus difficilement comprĂ©hensible, câest que par lĂ mĂȘme⊠la femme dĂ©gĂ©nĂšre. Câest ce qui arrive aujourdâhui ne nous y trompons pas ! Partout oĂč lâesprit industriel a remportĂ© la victoire sur lâesprit militaire et aristocratique, la femme tend Ă lâindĂ©pendance Ă©conomique et lĂ©gale dâun commis. La femme commis » se tient Ă la porte de la sociĂ©tĂ© moderne en voie de formation. Tandis quâelle sâempare ainsi de nouveaux droits, tandis quâelle sâefforce de devenir maĂźtre » et inscrit le progrĂšs » de la femme sur son drapeau, elle aboutit au rĂ©sultat contraire avec une Ă©vidence terrible la femme recule. Depuis la RĂ©volution française lâinfluence de la femme a diminuĂ© dans la mesure oĂč ses droits et ses prĂ©tentions ont augmentĂ© ; et lâĂ©mancipation de la femme, Ă quoi aspirent les femmes elle-mĂȘmes et non seulement de superficiels cerveaux masculins, apparaĂźt comme un remarquable symptĂŽme de lâaffaiblissement et de lâĂ©nervement croissants des instincts vraiment fĂ©minins. Il y a de la bĂȘtise dans ce mouvement, une bĂȘtise presque masculine, dont une femme saine â qui est toujours une femme sensĂ©e aurait eu honte au fond du cĆur. Perdre le flair des moyens qui conduisent le plus sĂ»rement Ă la victoire ; nĂ©gliger lâexercice de son arme vĂ©ritable ; se laisser aller devant lâhomme, peut-ĂȘtre jusquâau livre », lĂ oĂč jadis on gardait la discipline et une humilitĂ© fine et rusĂ©e ; Ă©branler, avec une audace vertueuse, la foi de lâhomme en un idĂ©al fonciĂšrement diffĂ©rent cachĂ© dans la femme, en un Ă©ternel fĂ©minin quelconque et nĂ©cessaire ; enlever Ă lâhomme, avec insistance et abondance, lâidĂ©e que la femme doit ĂȘtre nourrie, soignĂ©e, protĂ©gĂ©e et mĂ©nagĂ©e comme un animal domestique, tendre, Ă©trangement sauvage et souvent agrĂ©able ; rassembler maladroitement et avec indignation tout ce qui rappelait lâesclavage et le servage, dans la situation quâoccupait et quâoccupe encore la femme dans lâordre social comme si lâesclavage Ă©tait un argument contre la haute culture et non pas un argument en sa faveur, une condition de toute Ă©lĂ©vation de la culture ; de quoi tout cela nous est-il la rĂ©vĂ©lation, sinon dâune dĂ©chĂ©ance de lâinstinct fĂ©minin, dâune mutilation de la femme ? Sans doute, il existe, parmi les Ăąnes savants du sexe masculin, assez dâimbĂ©ciles, amis et corrupteurs des femmes, qui conseillent Ă ces derniĂšres de dĂ©pouiller la femme et dâimiter toutes les bĂȘtises dont souffre aujourdâhui en Europe lâhomme », la virilitĂ© » europĂ©enne, â qui aimerait avilir la femme jusquâĂ la culture gĂ©nĂ©rale », ou mĂȘme jusquâĂ la lecture des journaux et jusquâĂ la politique. On veut mĂȘme, de ci de lĂ , changer les femmes en libres-penseurs et en gens de lettres. Comme si la femme, sans piĂ©tĂ©, nâĂ©tait pas pour lâhomme profond et impie une chose parfaitement choquante et ridicule. On gĂąte presque partout leurs nerfs avec la plus Ă©nervante et la plus dangereuse musique qui soit notre musique allemande moderne. On les rend de jour en jour plus hystĂ©riques et plus inaptes Ă remplir leur premiĂšre et derniĂšre fonction, qui est de mettre au monde des enfants solides. On veut les cultiver », encore davantage et, comme on dit, fortifier le sexe faible » par la culture comme si lâhistoire ne nous montrait pas, aussi clairement que possible, que la culture » de lâĂȘtre humain et son affaiblissement â câest-Ă -dire lâaffaiblissement, lâĂ©parpillement, la dĂ©chĂ©ance de la volontĂ© â ont toujours marchĂ© de pair et que les femmes les plus puissantes du monde, celles qui ont eu le plus dâinfluence comme la mĂšre de NapolĂ©on Ă©taient redevables de leur puissance et de leur empire sur les hommes Ă la force de volontĂ© â et non Ă des maĂźtres dâĂ©cole ! Ce qui, chez la femme, inspire le respect et souvent la crainte, câest sa nature, qui est plus naturelle » que celle de lâhomme, sa souplesse et sa ruse de fauve, sa griffe de tigresse sous le gant, sa naĂŻvetĂ© dans lâĂ©goĂŻsme, la sauvagerie indomptable de son instinct, lâimmensitĂ© insaisissable et mobile de ses passions et de ses vertus⊠Ce qui, malgrĂ© la crainte quâon Ă©prouve, excite la pitiĂ© pour cette chatte dangereuse et belle â la femme » â câest quâelle paraĂźt ĂȘtre plus apte Ă souffrir, plus fragile, plus assoiffĂ©e dâamour, et condamnĂ©e Ă la dĂ©sillusion plus quâaucun autre animal. La crainte et la pitiĂ© animĂ© de ces deux sentiments, lâhomme sâest arrĂȘtĂ© jusquâĂ prĂ©sent devant la femme, un pied dĂ©jĂ dans la tragĂ©die qui, tandis quâelle vous ravit, vous dĂ©chire aussi â. Eh quoi ! cela finirait-il ainsi ? Est-on en train de rompre le charme de la femme ? Se met-on lentement Ă la rendre ennuyeuse ? Ă Europe ! Europe ! On connaĂźt la bĂȘte Ă cornes qui a toujours eu pour toi le plus dâattraits, et que tu as encore Ă redouter ! Ton antique lĂ©gende pourrait, une fois de plus, devenir de lâhistoire » â une fois encore une prodigieuse bĂȘtise pourrait sâemparer de ton esprit et tâentraĂźner ! Et nul dieu ne se cacherait en elle, non ! rien quâune idĂ©e », une idĂ©e moderne » ! » Source Friedrich Nietzsche, Par delĂ le bien et le mal » La basse classe, des femmes, des esclaves, des masses sans noblesse⊠Il y a aussi la femme ! Une moitiĂ© de lâhumanitĂ© est faible, essentiellement malade, changeante, inconstante, - la femme a besoin de la force pour sây cramponner, il lui faut une religion de la faiblesse qui la glorifie, comme sâil Ă©tait divin dâĂȘtre faible, dâaimer et dâĂȘtre humble, - la femme rĂšgne si elle parvient Ă subjuguer les forts. La femme a toujours conspirĂ© avec les types de la dĂ©cadence, avec les prĂȘtres, contre les " puissants ", les " forts ", les hommes -. La femme met Ă part les enfants pour le culte de la piĂ©tĂ©, de la compassion, de lâamour ; - la mĂšre reprĂ©sente lâaltruisme dâune façon convaincante... Ce que je nâadmets pas, câest quâune espĂšce exceptionnelle fasse la guerre Ă la rĂšgle, - au lieu de comprendre que la continuation de la rĂšgle est une condition pour la valeur de lâexception. Les femmes Ă©mancipĂ©es, par exemple, qui, au lieu de ressentir ce quâil y a de distinguĂ© dans leurs besoins anormaux, voudraient dĂ©placer, dâune façon gĂ©nĂ©rale, la condition de la femme... La femme, consciente du sentiment que lâhomme Ă©prouve Ă son Ă©gard, vient au-devant de ses efforts dâidĂ©alisation, en se parant, en marchant et en dansant bien, en exprimant des pensĂ©es dĂ©licates de mĂȘme elle observe la pudeur, la rĂ©serve, la distance - avec le sĂ»r instinct que par lĂ le pouvoir idĂ©alisateur de lâhomme grandira. Avec la prodigieuse subtilitĂ© de lâinstinct fĂ©minin, la pudeur nâest nullement de lâhypocrisie consciente la femme devine que câest prĂ©cisĂ©ment la chastetĂ© naĂŻve et vĂ©ritable qui sĂ©duit le plus lâhomme et le pousse Ă une estimation trop Ă©levĂ©e. Câest pourquoi la femme est naĂŻve par la subtilitĂ© dâinstinct qui lui conseille lâutilitĂ© de lâinnocence. Une intention volontaire de clore les yeux sur elle-mĂȘme⊠Partout oĂč la simulation fait plus dâeffet lorsquâelle est inconsciente elle devient inconsciente⊠Prenez la femme au sĂ©rieux comme la plus belle femme devient laide aussitĂŽt !⊠Un sentiment qui sâappelle " idĂ©alisme " ne veut pas permettre Ă la mĂ©diocritĂ© dâĂȘtre mĂ©diocre, Ă la femme dâĂȘtre femmeâŠ. Comment se fait-il que, malgrĂ© cela, la plupart des idĂ©alistes fassent de la propagande pour leur idĂ©al, comme sâils ne devaient pas y avoir droit, pour le cas oĂč tout le monde ne la reconnaĂźtrait pas ? Câest ce que font par exemple toutes ces courageuses petites femmes qui se donnent la permission dâapprendre le latin et les mathĂ©matiques... Quâest-ce qui les y force ? Je crains bien que ce ne soit lâinstinct du troupeau, la crainte du troupeau elles luttent pour lâ" Ă©mancipation de la femme " parce que, sous la forme dâune activitĂ© gĂ©nĂ©reuse, sous le drapeau du sacrifice " pour les autres ", elles rĂ©ussissent le mieux Ă faire passer leur petit sĂ©paratisme... » Source Friedrich Nietzsche, La VolontĂ© de puissance » Nous le savons fort bien pour celui qui jette un regard sur la science, seulement en passant, Ă la façon des femmes et malheureusement aussi de beaucoup dâartistes la sĂ©vĂ©ritĂ© quâil faut mettre au service de la science⊠» Source Friedrich Nietzsche, Le Gai Savoir » Lâhomme a créé la femme â avec quoi donc ? Avec une cĂŽte de son dieu, â de son IdĂ©al »⊠» Source Friedrich Nietzsche, Le CrĂ©puscule des idoles » Au théùtre on devient peuple, troupeau, femme, pharisien, bĂ©tail volant, idiot⊠» Source Friedrich Nietzsche, Nietzsche contre Wagner » Le pur » est dâabord simplement un homme qui se lave, qui sâinterdit certains aliments provoquant des maladies de la peau, qui ne cohabite pas avec les femmes malpropres du bas peuple, qui a lâhorreur du sang, â et rien de plus, ou en tous les cas peu de chose en plus ! » Source Friedrich Nietzsche, La GĂ©nĂ©alogie de la morale » Combien dâhommes mariĂ©s ont vu venir le matin oĂč ils sâapercevaient que leur jeune femme Ă©tait ennuyeuse et se figurait le contraire ! Pour ne point parler de ces femmes dont la chair est prompte, mais lâesprit faible ! » Source Friedrich Nietzsche, Aurore - RĂ©flexions sur les prĂ©jugĂ©s moraux » Chez la femme tout est une Ă©nigme mais il y a un mot Ă cet Ă©nigme ce mot est grossesse. Lâhomme est pour la femme un moyen le but est toujours lâenfant. Mais quâest la femme pour lâhomme ? Lâhomme vĂ©ritable veut deux choses le danger et le jeu. Câest pourquoi il veut la femme, le jouet le plus dangereux. Lâhomme doit ĂȘtre Ă©levĂ© pour la guerre, et la femme pour le dĂ©lassement du guerrier tout le reste est folie. Le guerrier nâaime les fruits trop doux. Câest pourquoi il aime la femme ; une saveur amĂšre reste mĂȘme Ă la femme la plus douce. Mieux que lâhomme, la femme comprend les enfants, mais lâhomme est plus enfant que la femme. Dans tout homme vĂ©ritable se cache un enfant un enfant qui veut jouer. Allons, femmes, dĂ©couvrez-moi lâenfant dans lâhomme ! Que la femme soit un jouet, pur et menu, pareil au diamant, rayonnant des vertus dâun monde qui nâest pas encore ! » Que votre honneur soit dans votre amour. GĂ©nĂ©ralement la femme nâentend presque rien Ă lâhonneur. Mais que ce soit votre honneur dâaimer toujours plus que vous ĂȘtes aimĂ©, et de nâĂȘtre jamais les secondes. Que lâhomme craigne la femme, quand elle aime câest alors quâelle fait tous les sacrifices et toute autre chose lui paraĂźt sans valeur. Que lâhomme craigne la femme, quand elle hait car au fond du cĆur lâhomme nâest que mĂ©chant, mais au fond du cĆur la femme est mauvaise. Qui la femme hait-elle le plus ? â Ainsi parlait le fer Ă lâaimant Je te hais le plus parce que tu attires, mais que tu nâes pas assez fort pour attacher Ă toi. » Le bonheur de lâhomme est je veux ; le bonheur de la femme est il veut. Voici, le monde vient dâĂȘtre parfait ! » â ainsi pense toute femme qui obĂ©it de tout cĆur. Et il faut que la femme obĂ©isse et quâelle trouve une profondeur Ă sa surface. LâĂąme de la femme est surface, une membrane mobile et orageuse sur une eau basse. Mais lâĂąme de lâhomme est profonde, son flot mugit dans des grottes souterraines la femme pressent sa force, mais elle ne la comprend pas. » Source Friedrich Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra » Quand il se sent traitĂ© en Dieu, il sâabaisse bientĂŽt aux dĂ©sirs de la femme. Lâhomme est lĂąche devant tout ce qui est Ă©ternellement fĂ©minin les petites femmes le savent. Dans beaucoup de cas de lâamour de la femme et peut-ĂȘtre justement dans les plus cĂ©lĂšbres, lâamour nâest quâun fin parasitisme, qui trouve son nid dans une Ăąme parfois, mĂȘme dans une chair Ă©trangĂšre, hĂ©las ! combien souvent aux frais de lâhĂŽte ! » Source Friedrich Nietzsche, Le Cas Wagner » Nietzsche Ă©crit dans "Par delĂ le bien et le mal" Un homme profond, [âŠ] profond dâesprit autant que de dĂ©sirs, douĂ© par surcroĂźt de cette bienveillance profonde capable dâune sĂ©vĂ©ritĂ© et dâune duretĂ© qui se confondent facilement avec elle, un tel homme ne peut penser Ă la femme quâĂ la maniĂšre dâun Oriental il doit voir dans la femme une propriĂ©tĂ©, un bien quâil convient dâenfermer, un ĂȘtre prĂ©destinĂ© Ă la sujĂ©tion et qui sâaccomplit Ă travers elle. » "Tu vas chez les femmes ? Nâoublie pas le fouet ! " Zarathoustra Le bonheur de lâhomme, dit Zarathoustra, a nom je veux. Le bonheur de la femme a nom il veut. » lâhomme doit ĂȘtre Ă©levĂ© pour la guerre, la femme pour le dĂ©lassement du guerrier, tout le reste est folie » "Au fond du coeur, lâhomme nâest que mĂ©chant ; mais au fond du coeur, la femme est mauvaise" dans "Ainsi parlait Zarathoustra" "Ce sont les hommes les plus sensuels qui doivent fuir devant les femmes et torturer leur corps" Le bonheur de lâhomme est ; je veux le bonheur de la femme est ; il veut. » Lâhomme vĂ©ritable veut deux choses le danger et le jeu ; câest pourquoi il veut la femme, le jouet le plus dangereux. » Le guerrier nâaime les fruits trop doux, câest pourquoi il aime la femme, une saveur amĂšre. Friedrich Nietzsche » Lâhomme est pour la femme un moyen Le but est toujours lâenfant. » Beaucoup de brĂšves folies, câest lĂ ce que vous appelez lâamour. Et votre mariage met fin Ă beaucoup de brĂšves folies par une longue sottise. » La femme est une surface qui mime la profondeur. » La femme est la seconde faute de Dieu. » La femme apprend Ă haĂŻr dans la mesure oĂč elle dĂ©sapprend de charmer. » OĂč nâentrent en jeu ni amour ni haine, la femme nâest quâune mĂ©diocre actrice. » Ah ! cette pauvretĂ© de lâĂąme Ă deux. Ah ! cette saletĂ© de lâĂąme Ă deux. » MĂȘme le plus rusĂ© achĂšte sa femme chat en poche. » citations de Friedrich Nietzsche ; dans Ainsi parlait Zarathoustra » 1885 Beaucoup de personnes, notamment de femmes, ne ressentent pas lâennui, parce quâelles nâont jamais appris Ă travailler rĂ©guliĂšrement. » Source, Nietzsche, Humain, trop humain » Nietzsche a dĂ©clarĂ© que les femmes devraient avoir le droit dâavorter si des tests pouvaient dĂ©terminer que lâenfant Ă naĂźtre portait les gĂšnes » de lâ encore de Nietzsche Nietzsche Ă aucune Ă©poque le sexe faible nâa Ă©tĂ© traitĂ© avec autant dâĂ©gards de la part des hommes quâĂ notre Ă©poque. Câest une consĂ©quence de notre penchant et de notre goĂ»t fonciĂšrement dĂ©mocratiques, tout comme notre manque de respect pour la vieillesse. Faut-il sâĂ©tonner si ces Ă©gards ont dĂ©gĂ©nĂ©rĂ© en abus ? On veut davantage, on apprend Ă exiger, on trouve enfin ce tribut dâhommages presque blessant, on prĂ©fĂ©rerait la rivalitĂ© des droits, le vĂ©ritable combat. En un mot, la femme perd de sa pudeur. Ajoutons de suite quâelle perd aussi le goĂ»t. Elle dĂ©sapprend de craindre lâhomme. Mais la femme qui dĂ©sapprend la crainte » sacrifie ses instincts les plus fĂ©minins. Que la femme devienne hardie, quand ce qui inspire la crainte en lâhomme, ou plus exactement quand lâhomme en lâhomme nâest plus voulu et disciplinĂ© par lâĂ©ducation, câest assez juste et aussi assez comprĂ©hensible. Ce qui est plus difficilement comprĂ©hensible, câest que par lĂ mĂȘme⊠la femme dĂ©gĂ©nĂšre. Câest ce qui arrive aujourdâhui ne nous y trompons pas ! Partout oĂč lâesprit industriel a remportĂ© la victoire sur lâesprit militaire et aristocratique, la femme tend Ă lâindĂ©pendance Ă©conomique et lĂ©gale dâun commis. La femme commis » se tient Ă la porte de la sociĂ©tĂ© moderne en voie de formation. Tandis quâelle sâempare ainsi de nouveaux droits, tandis quâelle sâefforce de devenir maĂźtre » et inscrit le progrĂšs » de la femme sur son drapeau, elle aboutit au rĂ©sultat contraire avec une Ă©vidence terrible la femme recule. Depuis la RĂ©volution française lâinfluence de la femme a diminuĂ© dans la mesure oĂč ses droits et ses prĂ©tentions ont augmentĂ© ; et lâĂ©mancipation de la femme, Ă quoi aspirent les femmes elle-mĂȘmes et non seulement de superficiels cerveaux masculins, apparaĂźt comme un remarquable symptĂŽme de lâaffaiblissement et de lâĂ©nervement croissants des instincts vraiment fĂ©minins. Il y a de la bĂȘtise dans ce mouvement, une bĂȘtise presque masculine, dont une femme saine â qui est toujours une femme sensĂ©e aurait eu honte au fond du cĆur. Perdre le flair des moyens qui conduisent le plus sĂ»rement Ă la victoire ; nĂ©gliger lâexercice de son arme vĂ©ritable ; se laisser aller devant lâhomme, peut-ĂȘtre jusquâau livre », lĂ oĂč jadis on gardait la discipline et une humilitĂ© fine et rusĂ©e ; Ă©branler, avec une audace vertueuse, la foi de lâhomme en un idĂ©al fonciĂšrement diffĂ©rent cachĂ© dans la femme, en un Ă©ternel fĂ©minin quelconque et nĂ©cessaire ; enlever Ă lâhomme, avec insistance et abondance, lâidĂ©e que la femme doit ĂȘtre nourrie, soignĂ©e, protĂ©gĂ©e et mĂ©nagĂ©e comme un animal domestique, tendre, Ă©trangement sauvage et souvent agrĂ©able ; rassembler maladroitement et avec indignation tout ce qui rappelait lâesclavage et le servage, dans la situation quâoccupait et quâoccupe encore la femme dans lâordre social comme si lâesclavage Ă©tait un argument contre la haute culture et non pas un argument en sa faveur, une condition de toute Ă©lĂ©vation de la culture ; de quoi tout cela nous est-il la rĂ©vĂ©lation, sinon dâune dĂ©chĂ©ance de lâinstinct fĂ©minin, dâune mutilation de la femme ? Sans doute, il existe, parmi les Ăąnes savants du sexe masculin, assez dâimbĂ©ciles, amis et corrupteurs des femmes, qui conseillent Ă ces derniĂšres de dĂ©pouiller la femme et dâimiter toutes les bĂȘtises dont souffre aujourdâhui en Europe lâhomme », la virilitĂ© » europĂ©enne, â qui aimerait avilir la femme jusquâĂ la culture gĂ©nĂ©rale », ou mĂȘme jusquâĂ la lecture des journaux et jusquâĂ la politique. On veut mĂȘme, de ci de lĂ , changer les femmes en libres-penseurs et en gens de lettres. Comme si la femme, sans piĂ©tĂ©, nâĂ©tait pas pour lâhomme profond et impie une chose parfaitement choquante et ridicule. On gĂąte presque partout leurs nerfs avec la plus Ă©nervante et la plus dangereuse musique qui soit notre musique allemande moderne. On les rend de jour en jour plus hystĂ©riques et plus inaptes Ă remplir leur premiĂšre et derniĂšre fonction, qui est de mettre au monde des enfants solides. On veut les cultiver », encore davantage et, comme on dit, fortifier le sexe faible » par la culture comme si lâhistoire ne nous montrait pas, aussi clairement que possible, que la culture » de lâĂȘtre humain et son affaiblissement â câest-Ă -dire lâaffaiblissement, lâĂ©parpillement, la dĂ©chĂ©ance de la volontĂ© â ont toujours marchĂ© de pair et que les femmes les plus puissantes du monde, celles qui ont eu le plus dâinfluence comme la mĂšre de NapolĂ©on Ă©taient redevables de leur puissance et de leur empire sur les hommes Ă la force de volontĂ© â et non Ă des maĂźtres dâĂ©cole ! Ce qui, chez la femme, inspire le respect et souvent la crainte, câest sa nature, qui est plus naturelle » que celle de lâhomme, sa souplesse et sa ruse de fauve, sa griffe de tigresse sous le gant, sa naĂŻvetĂ© dans lâĂ©goĂŻsme, la sauvagerie indomptable de son instinct, lâimmensitĂ© insaisissable et mobile de ses passions et de ses vertus⊠Ce qui, malgrĂ© la crainte quâon Ă©prouve, excite la pitiĂ© pour cette chatte dangereuse et belle â la femme » â câest quâelle paraĂźt ĂȘtre plus apte Ă souffrir, plus fragile, plus assoiffĂ©e dâamour, et condamnĂ©e Ă la dĂ©sillusion plus quâaucun autre animal. La crainte et la pitiĂ© animĂ© de ces deux sentiments, lâhomme sâest arrĂȘtĂ© jusquâĂ prĂ©sent devant la femme, un pied dĂ©jĂ dans la tragĂ©die qui, tandis quâelle vous ravit, vous dĂ©chire aussi â. Eh quoi ! cela finirait-il ainsi ? Est-on en train de rompre le charme de la femme ? Se met-on lentement Ă la rendre ennuyeuse ? Ă Europe ! Europe ! On connaĂźt la bĂȘte Ă cornes qui a toujours eu pour toi le plus dâattraits, et que tu as encore Ă redouter ! Ton antique lĂ©gende pourrait, une fois de plus, devenir de lâhistoire » â une fois encore une prodigieuse bĂȘtise pourrait sâemparer de ton esprit et tâentraĂźner ! Et nul dieu ne se cacherait en elle, non ! rien quâune idĂ©e », une idĂ©e moderne » ! » Nietzsche, Par delĂ le bien et le mal » La suite Lire encore
Onnotera, la crĂ©ation de lâhomme Ă lâimage de Dieu, puis la rĂ©pĂ©tition de celle-ci. Alors que la crĂ©ation de la femme passĂ©e au second plan se voit dĂ©finie uniquement par association avec la crĂ©ation de lâhomme rĂ©pĂ©tĂ©e une troisiĂšme fois ! Dieu serait-il misogyne ? Le Coran est explicite sur le sujet, (cf. Sourate 4, 1) :Question RĂ©ponse Une femme de Dieu est avant tout une fille de Dieu. Nous sommes sauvĂ©s et devenons enfants de Dieu par une relation en JĂ©sus-Christ Jean 36. Quand nous mettons notre foi en lui pour notre salut, nous devenons une nouvelle crĂ©ature 2 Corinthiens Dieu nous donne son Esprit, qui agit en nous et nous transforme Ă l'image de Christ Jean 1 Jean 2 Corinthiens Une femme de Dieu est tout simplement une femme qui a Ă©tĂ© sauvĂ©e par JĂ©sus-Christ et se soumet Ă l'Ćuvre du Saint-Esprit en elle. Et dans la pratique, qu'est-ce que cela signifie ? Une femme de Dieu cherche Ă mieux le connaĂźtre, par la lecture de sa Parole, la priĂšre, la communion fraternelle et un enseignement Ă©quilibrĂ©. Parce qu'elle sait que toute l'Ăcriture est inspirĂ©e de Dieu et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice, afin que l'homme de Dieu soit formĂ© et Ă©quipĂ© pour toute Ćuvre bonne » 2 TimothĂ©e elle Ă©tudie ce que dit la Bible. Elle [s'efforce] de [s]e prĂ©senter devant Dieu comme [une femme] qui a fait ses preuves, un ouvrier qui n'a pas Ă rougir mais qui expose avec droiture la parole de la vĂ©ritĂ©. » 2 TimothĂ©e Elle applique aussi l'exhortation de Jacques Mettez en pratique la parole et ne vous contentez pas de l'Ă©couter en vous trompant vous-mĂȘmes par de faux raisonnements. » Jacques Mettre en pratique la Parole de Dieu implique une vie de priĂšre active. Paul nous exhorte Ne vous inquiĂ©tez de rien, mais en toute chose faites connaĂźtre vos besoins Ă Dieu par des priĂšres et des supplications, dans une attitude de reconnaissance. Et la paix de Dieu, qui dĂ©passe tout ce que l'on peut comprendre, gardera votre cĆur et vos pensĂ©es en JĂ©sus-Christ. » Philippiens De mĂȘme, 1 Thessaloniciens dit Soyez toujours joyeux. Priez sans cesse, exprimez votre reconnaissance en toute circonstance, car c'est la volontĂ© de Dieu pour vous en JĂ©sus-Christ. » Une femme de Dieu vient Ă lui avec un cĆur reconnaissant et se dĂ©charge sur lui de tous ses soucis 1 Pierre Elle a confiance en sa puissance et en son amour. Alors, elle lui apporte son adoration et dĂ©pose ses fardeaux devant son trĂŽne HĂ©breux Une femme de Dieu obĂ©it au commandement d'aimer les autres. Elle les Ă©difie et les encourage, sans calomnie, commĂ©rage ni mauvaises intentions ĂphĂ©siens 1 Pierre Elle est pleine de bontĂ©, de compassion et de pardon ĂphĂ©siens Elle aide les autres croyants Ă porter leurs fardeaux Galates Romains Quand l'occasion se prĂ©sente, elle cherche Ă faire du bien Ă tous, surtout Ă ceux de la famille de Dieu Galates Elle n'est pas arrogante, mais cultive un esprit d'humilitĂ© Romains 16, Philippiens Elle ne se plaint pas et ne provoque pas de vaines querelles et dissensions, mais elle cherche Ă vivre en harmonie avec les autres Romains 18, Philippiens Une femme de Dieu applique l'enseignement de Pierre Respectez dans votre cĆur la saintetĂ© de Dieu le Seigneur. Soyez toujours prĂȘts Ă dĂ©fendre l'espĂ©rance qui est en vous, devant tous ceux qui vous en demandent raison, [mais] faites-le avec douceur et respect, en gardant une bonne conscience, afin que lĂ mĂȘme oĂč ils vous calomnient [comme si vous faisiez le mal], ceux qui critiquent votre bonne conduite en Christ soient couverts de honte. Soyez toujours prĂȘts Ă dĂ©fendre l'espĂ©rance qui est en vous, devant tous ceux qui vous en demandent raison, [mais] faites-le avec douceur et respect, en gardant une bonne conscience, afin que lĂ mĂȘme oĂč ils vous calomnient [comme si vous faisiez le mal], ceux qui critiquent votre bonne conduite en Christ soient couverts de honte. » 1 Pierre Elle [s'abstient] des dĂ©sirs de [sa] nature propre qui font la guerre Ă l'Ăąme » et elle [a] une bonne conduite au milieu des non-croyants, afin que, lĂ mĂȘme oĂč ils [la] calomnient comme si [elle] fais[ait] le mal, ils remarquent [sa] belle maniĂšre d'agir et rendent gloire Ă Dieu le jour oĂč il interviendra. » 1 Pierre Une femme de Dieu accomplit l'Ćuvre de Dieu avec ardeur Romains Si elle est ĂągĂ©e, elle est un exemple pour les femmes plus jeunes Tite Elle passe du temps avec d'autres croyants, Ă les encourager et Ă se laisser encourager par eux HĂ©breux Elle est soumise, c'est-Ă -dire qu'elle fait passer les intĂ©rĂȘts des autres avant les siens, ce Ă quoi tous les chrĂ©tiens sont appelĂ©s ĂphĂ©siens Elle respecte le commandement de Pierre cause du Seigneur, soumettez-vous Ă toutes les institutions Ă©tablies parmi les hommes [âŠ] En effet, c'est la volontĂ© de Dieu qu'en pratiquant le bien vous rĂ©duisiez au silence l'ignorance des hommes dĂ©pourvus de bon sens. Comportez-vous en hommes libres, sans faire de la libertĂ© un voile qui couvre la mĂ©chancetĂ© mais en agissant au contraire comme des serviteurs de Dieu. Respectez chacun, aimez les frĂšres et sĆurs, craignez Dieu, honorez le roi. » 1 Pierre Elle est consciente de sa valeur en Christ Galates et l'imite en renonçant Ă elle-mĂȘme. Si elle est mariĂ©e, elle laisse son Ă©poux diriger la famille ĂphĂ©siens 1 Pierre Elle honore ses parents ĂphĂ©siens et si elle a des enfants, elle s'occupe bien d'eux Tite 1 TimothĂ©e Elle gĂšre bien son foyer, en toute piĂ©tĂ© Tite Proverbes 31. La beautĂ© d'une femme de Dieu est celle intĂ©rieure et cachĂ©e du cĆur, la puretĂ© incorruptible d'un esprit doux et paisible, qui est d'une grande valeur devant Dieu. » 1 Pierre Enfin, une femme de Dieu est un chef d'Ćuvre de la crĂ©ation divine, sauvĂ©e par sa grĂące, par le moyen de la foi ĂphĂ©siens et appelĂ©e Ă devenir de plus en plus semblable Ă JĂ©sus en apprenant Ă le connaĂźtre et Ă lui obĂ©ir. English Retour Ă la page d'accueil en français Qu'est-ce qu'ĂȘtre une femme de Dieu ?
Universde la Bible, la Bible, la traduction de la Bible, aperçu de l'histoire du christianisme, lire et Ă©couter la Bible Segond 21, recevoir chaque jour un email avec une lecture biblique.. Bonjour Ă tous, J'ai commencĂ© Ă lire la Bible il y a un an ou deux. Sans a priori aucun. LĂ j'en suis aux livres des prophĂštes de l'Ancien Testament. Bonsoir, Voici un florilĂšge de citations de Nietzsche sur la femme. Il y a de quoi se rĂ©galer aussi bien pour ceux qui pensent qu'il est misogyne, que pour les dĂ©fenseurs d'un Nietzsche antifĂ©ministe mais adorateur de la femme, qu'il a trop idĂ©alisĂ©e. Bonne lecture "Le bonheur est une femme." "La femme est une surface qui mime la profondeur" "La femme est la seconde faute de Dieu" "La femme apprend Ă haĂŻr dans la mesure oĂč elle dĂ©sapprend de charmer." "OĂč nâentrent en jeu ni amour ni haine, la femme nâest quâune mĂ©diocre actrice." "Tu vas chez les femmes ? N'oublie pas le fouet ! " Zarathoustra Si les Ă©poux ne vivaient pas ensemble, les bons mariages seraient plus frĂ©quents » Les jeunes filles qui ne veulent devoir qu'Ă l'attrait de leur jeunesse le moyen de pourvoir Ă toute leur existence et dont l'adresse est encore soufflĂ©e par des mĂšres avisĂ©es ont juste le mĂȘme but que les courtisanes, sauf qu'elles sont plus malignes et plus malhonnĂȘtes » Humain, trop humain O Criton ! commande donc Ă quelqu'un de mener ces femmes dehors ! » Les femmes, dit-il, veulent servir et y mettent leur bonheur ; et l'esprit libre veut n'ĂȘtre pas servi et y met son bonheur. » l'homme doit ĂȘtre Ă©levĂ© pour la guerre, la femme pour le dĂ©lassement du guerrier, tout le reste est folie » Les femmes deviennent par amour tout ce qu'elles sont dans l'idĂ©e des hommes dont elles sont aimĂ©es. » Le bonheur de l'homme, dit Zarathoustra, a nom je veux. Le bonheur de la femme a nom il veut. » au moment du mariage, on doit se poser cette question Crois-tu bien pouvoir t'entretenir avec cette femme jusqu'Ă la vieillesse ? Tout le reste du mariage est transitoire, mais la plus grande partie de la vie commune est donnĂ©e Ă la conversation. » "Le mariage met fin Ă beaucoup de folies par une longue sottise." "VĂ©nĂ©rez la maternitĂ©, le pĂšre n'est jamais qu'un hasard" Toutes les femmes sont pleines de finesse lorsqu'il s'agit d'exagĂ©rer leur faiblesse, elles sont mĂȘme pleines d'ingĂ©niositĂ© Ă inventer des faiblesses pour se donner l'apparence de fragiles ornements qu'un grain de poussiĂšre ferait souffrir. C'est ainsi qu'elles se dĂ©fendent contre la vigueur et le droit du plus fort. » George Sand n'est qu'une vache laitiĂšre au beau style » La femme parfaite, a-t-il dit, est un type plus Ă©levĂ© de l'humanitĂ© que l'homme parfait ; c'est aussi quelque chose de plus rare » "Souvent ! sans que l'on s'y attende ! â Combien d'hommes mariĂ©s ont vu venir le matin oĂč ils s'apercevaient que leur jeune femme Ă©tait ennuyeuse et se figurait le contraire ! Pour ne point parler de ces femmes dont la chair est prompte, mais l'esprit faible ! " "â Cette femme est belle et intelligente ; hĂ©las ! combien elle serait devenue plus intelligente si elle n'Ă©tait pas belle !" "Chez la femme tout est une Ă©nigme mais il y a un mot Ă cet Ă©nigme ce mot est grossesse." "L'homme est pour la femme un moyen le but est toujours l'enfant. Mais qu'est la femme pour l'homme ?" "L'homme vĂ©ritable veut deux choses le danger et le jeu. C'est pourquoi il veut la femme, le jouet le plus dangereux. " " je le rĂ©pĂšte, on ne fonde pas le mariage sur l'amour », â on le fonde sur l'instinct de l'espĂšce, sur l'instinct de propriĂ©tĂ© la femme et les enfants Ă©tant des propriĂ©tĂ©s, sur l'instinct de la domination qui sans cesse s'organise dans la famille en petite souverainetĂ©, qui a besoin des enfants et des hĂ©ritiers pour maintenir, physiologiquement aussi, en mesure acquise de puissance, d'influence, de richesse, pour prĂ©parer de longues tĂąches, une solidaritĂ© d'instinct entre les siĂšcles." "le danger pour l'artiste, pour l'homme de gĂ©nie - et ce sont eux les Juifs errants - le danger rĂ©side dans la femme les femmes aimantes sont leur perte. Presque personne n'a assez de caractĂšre pour ne pas se laisser corrompre - sauver », quand il se sent traitĂ© comme un dieu, - il condescend aussitĂŽt jusqu'Ă la femme. - L'homme est lĂąche devant tout ce qui est Ă©ternellement fĂ©minin c'est ce que savent les petites femmes. - Dans beaucoup de cas d'amour fĂ©minin, et peut-ĂȘtre prĂ©cisĂ©ment dans les plus cĂ©lĂšbres, - l'amour n'est autre chose qu'un parasitisme plus raffinĂ©, un moyen de se nicher dans une Ăąme Ă©trangĂšre, parfois mĂȘme dans une chair Ă©trangĂšre - hĂ©las ! combien souvent au dĂ©pens de l'hĂŽte ! " Les femmes peuvent-elles d'une façon gĂ©nĂ©rale ĂȘtre justes, Ă©tant si accoutumĂ©es Ă aimer, Ă prendre d'abord des sentiments pour ou contre? C'est d'abord pour cela qu'elles sont rarement Ă©prises des choses, plus souvent des personnes... » Les jeunes filles inexpĂ©rimentĂ©es se flattent de l'idĂ©e qu'il est en leur pouvoir de faire le bonheur d'un homme; plus tard, elles apprennent que cela Ă©quivaut Ă dĂ©prĂ©cier un homme en admettant qu'il ne faut qu'une jeune fille pour faire son bonheur. » Ainsi j'arrive, moi aussi, Ă ce principe dans ce qui touche aux hautes spĂ©culations philosophiques tous les gens mariĂ©s sont suspects. » " Des femmes peuvent trĂ©s bien lier amitiĂ© avec un homme, mais pour la maintenir, il y faut peut-ĂȘtre le concours d'une petite antipathie physique " "La femme n'est pas encore capable d'amitiĂ© elle ne connaĂźt que l'amour." citation peu sĂ»re "Nâaimer quâun seul est barbarie, car câest au dĂ©triment de tous les autres. FĂ»t-ce lâamour de Dieu."LepĂ©chĂ© sĂ©pare lâhomme et Dieu. Il un fossĂ© infranchissable. Celui qui pĂšche fait la volontĂ© du diable, selon 1 Jean 3. 8-10 : « Celui qui pĂšche est du diable, car le diable pĂšche dĂšs le commencement.» Câest donc un fils du diable. Le lac de feu lui est rĂ©servĂ© pour une souffrance Ă©ternelle.
Dans l'Ancien Testament le mot alliance hĂ©b. berĂźth renferme l'idĂ©e d'un engagement solennel qui lie ensemble deux partis. Il a un usage ordinaire, rare lorsque les deux partis sont des hommes qui signent un contrat, et un usage frĂ©quent, plus particuliĂšrement religieux dĂšs lors qu'il s'agit d'un contrat entre Dieu et les hommes toujours proposĂ© par Dieu cf. les alliances successives avec Adam, NoĂ©, Abraham, MoĂŻse, David, etc.. Or, il est aussi question, occasionnellement, d'une alliance contractĂ©e Ă l'occasion d'un mariage faut-il classer celle-ci dans la premiĂšre ou la seconde catĂ©gorie? Les deux semble-t-il, car un livre apocryphe Tobie Ă©voque la coutume selon laquelle le pĂšre de la mariĂ©e formulait les termes du contrat du mariage. D'autre part la notion d'alliance dans le mariage donne Ă celui-ci une dimension religieuse, comme nous allons textes de l'Ancien Testament rattachent l'alliance au mariage, pour souligner et promouvoir, d'abord, la notion de la fidĂ©litĂ© conjugale. Dans Proverbes 2, la sagesse, la connaissance, la rĂ©flexion et la raison v. 10, 11 collaborent, interviennent pour te dĂ©livrer le fils» du v. 1 de la courtisane, de l'Ă©trangĂšre aux paroles doucereuses, qui abandonne l'ami de sa jeunesse, et qui oublie l'alliance de son Dieu v. 16. 17. La femme Ă©trangĂšre», ou lascive, libertine», bien qu'ici mariĂ©e Ă un autre a, en provoquant une liaison adultĂšre, oubliĂ© l'alliance de son Dieu, donc bafouĂ© son engagement conjugal et transgressĂ© le commandement de Dieu. Abandonner son Ă©poux lĂ©gitime Ă©quivaut Ă un oubli, plus, Ă un refus dĂ©libĂ©rĂ© d'un engagement solennel pris devant Dieu. Le mariage apparaĂźt ici comme un contrat arrĂȘtĂ© en prĂ©sence de Dieu et aussi, dans un certain sens, avec lui. Bien que le Pentateuque ne mentionne pas de rites sacrĂ©s, publics, associĂ©s Ă la cĂ©rĂ©monie du mariage, il paraĂźt clair que de tels rites accompagnaient le mariage chez les IsraĂ©lites nous y reviendrons Ă la fin de notre article. Ironie de la leçon Salomon avertit son fils au sujet du pĂ©chĂ© dont, par la suite, il deviendra lui-mĂȘme coupable. Ainsi, par la bontĂ© de Dieu, ses paroles deviennent l'antidote au poison de son propre exemple funeste et texte d'EzĂ©chiel va dans le mĂȘme sens, quoique avec encore plus de force. L'Eternel s'adresse Ă JĂ©rusalem comme Ă une fiancĂ©e Je passai prĂšs de toi, je te regardai, et voici que ton temps Ă©tait lĂ , le temps des amours. J'Ă©tendis sur toi le pan de mon manteau, je couvris ta nuditĂ©, je te fis un serment, je contractai une alliance avec toi, - oracle du Seigneur, l'Eternel, et tu fus Ă moi. ConformĂ©ment aux coutumes de l'Ă©poque, l'Eternel, dans ce langage imagĂ©, couvre son Ă©lue du coin de son manteau, signifiant par ce geste qu'il s'intĂ©resse Ă elle, et la prend sous sa protection dans le but de lui confĂ©rer l'honneur des fiançailles puis du mariage cf. Ruth Nous pouvons rapprocher cette image de l'alliance en vue du mariage de cette autre alliance solennelle, contractĂ©e par Dieu grĂące Ă laquelle IsraĂ«l, devenu une nation, a Ă©tĂ© formellement reconnu comme peuple appartenant Ă Dieu Ex. 19; 20. 2,5; 25; etc.. Ce rapprochement met en relief le sĂ©rieux, la solennitĂ©, dans la pensĂ©e des auteurs bibliques, de l'alliance du mariage, et cela d'autant plus que l'apostasie de JĂ©rusalem est qualifiĂ©e de prostitution v. 15ss, d'un abandon scandaleux aux yeux du divin Epoux et punissable par Celui-ci du plus sĂ©vĂšre des chĂątiments v. 35ss.Un troisiĂšme texte dans Malachie Ă©voque le problĂšme de mariages avec des femmes Ă©trangĂšres contractĂ©s par certains IsraĂ©lites rescapĂ©s de l'exil, et cela au prix de mariages antĂ©rieurs avec des femmes IsraĂ©lites L'Eternel a Ă©tĂ© tĂ©moin entre toi et la femme de ta jeunesse que tu as trahie, bien qu'elle soit ta compagne et la femme de ton alliance. Reproche assorti d'exhortation, d'avertissement et de condamnation de l'abrogation du mariage antĂ©rieur Prenez donc garde en notre esprit que personne ne trahisse la femme de sa jeunesse! Car haĂŻssable est la rĂ©pudiation, dit l'Eternel, le Dieu d'IsraĂ«l! 8v. 15b. 16a. C'est dire que Dieu, prĂ©sent au premier mariage et tĂ©moin de l'alliance contractĂ©e entre les partis, approuve et bĂ©nit cette union, appelle tendrement l'Ă©pouse la femme de ta jeunesse - celle que tu as choisie pour ĂȘtre le partenaire de tes joies et de tes peines -, souhaite une descendance heureuse, exhorte Ă la vigilance, et qualifie de trahison dĂ©testable, motivĂ©e par l'opportunisme Ă©goĂŻste, toute idĂ©e de conclusion pouvons-nous tirer de cette brochette de textes qui introduisent la dimension religieuse» dans l'engagement du mariage, sinon que Dieu est directement concernĂ©? Il use de son autoritĂ© lĂ©gitime pour s'intĂ©resser au mariage du couple, y exercer un droit de regard... plus pour rappeler aux Ă©poux le sĂ©rieux de leur engagement, l'exclusivitĂ© et la permanence de leur union, et l'extrĂȘme gravitĂ© de toute abrogation de l'alliance. Cela cadre parfaitement avec le rĂ©cit de GenĂšse 28, oĂč le CrĂ©ateur institue lui-mĂȘme le mariage avant mĂȘme l'origine de la sociĂ©tĂ© humaine. Ayant créé l'homme mĂąle et femelle, il ordonne le mariage comme condition indispensable Ă la continuation de la race humaine; il implante les affections et dĂ©sirs dans la nature humaine; il fait du mariage une influence qui ennoblit, enrichit, rĂ©jouit, et contribue puissamment Ă l'Ă©panouissement de la vie chez l'homme et la femme; il dĂ©clare que la solitude n'est pas bonne pour l'homme, et il lui amĂšne une aide destinĂ©e Ă ĂȘtre son vis-Ă -vis Ge le chapitre 2 de la GenĂšse de conclure C'est pourquoi - Ă cause de toutes ces considĂ©rations provenant de l'initiative divine - l'homme quittera son pĂšre et sa mĂšre et s'attachera Ă sa femme, et ils deviendront une seule chair Le mariage, en tant qu'institution crĂ©ationnelle, est invoquĂ© par JĂ©sus Mat Marc puis par Paul 1 Cor Eph et dĂ©clarĂ© toujours valable. Paul va jusqu'Ă dire qu'il reflĂšte la relation d'intimitĂ© et d'exclusive fidĂ©litĂ© que le Christ a Ă©tablie avec Son Epouse, l'Eglise nous mettons exprĂšs les majuscules appropriĂ©es. Ayant quittĂ© Son PĂšre Il est venu sur la terre pour se coller lit., dans une union indĂ©fectible, Ă Son Eglise, et S'identifier Ă elle au point de prendre sur Lui ses fautes Ă elle, et lui confĂ©rer en Ă©change Sa puretĂ© et Sa saintetĂ©! Le Christ s'est uni une fois pour toutes et pour toujours Ă une seule Epouse Ă laquelle Il reste fidĂšle, et qu'Il ne rĂ©pudiera jamais malgrĂ© ses incartades Ă elle... Et Paul de conclure en tirant l'exhortation pratique qui s'impose puisque le couple est un reflet de Christ et de Son Eglise, que le mari chrĂ©tien aime - continuellement - sa femme, et que l'Ă©pouse respecte - continuellement - son mari Ep un instant Ă l'Ancien Testament pour constater que le sĂ©rieux de l'engagement conjugal est soulignĂ© par toutes les cĂ©rĂ©monies qui prĂ©cĂ©daient, accompagnaient et suivaient le mariage nous devons nous contenter d'Ă©numĂ©rer ici une liste incomplĂšte rĂŽle prĂ©pondĂ©rant des parents dans le choix d'une Ă©pouse - fiançailles officielles et solennelles - Ă©change de cadeaux - vĂȘtements de fĂȘte - cortĂšge - bĂ©nĂ©diction - prĂ©paration d'une chambre nuptiale - et festivitĂ©s qui pouvaient durer une semaine, voire mariage selon Dieu? Une alliance, Ă la fois humaine et divine, qui engage solennellement un homme et une femme Ă s'unir l'un Ă l'autre totalement, intimement, exclusivement et pour la vie, avec l'approbation, la bĂ©nĂ©diction, la prĂ©sence et l'aide du HortonEtude tirĂ©e de la revue Promesses Ona dĂ©couvert le message cachĂ© de la Bible. Patrimoine. PubliĂ© le 26/11/2000 Ă 00:00 , mis Ă jour le 27/02/2018 Ă 13:46. Les HĂ©breux Ă©taient des Egyptiens adorateurs du dieu Aton. C'est Par JĂ©sus-Christ, lâamour de Dieu et lâamour du prochain sont rĂ©unis en un seul mouvement. En lui, la vertu de charitĂ© couronne le don de la foi et le don de lâ allĂ©gories catholiques de la CharitĂ© peuvent surprendre car elles reprĂ©sentent souvent un vieillard chenu tĂ©tant goulĂ»ment comme un nourrisson le sein dâune femme plantureuse. Il sâagit de la charitĂ© romaine qui nourrit ceux qui sont dĂ©crĂ©pis et affamĂ©s, ceci sans se lasser. En France, le XVIIe siĂšcle sâest plu Ă camper une mĂšre de famille prenant soin de ses enfants et les grenade, un sang qui vivifieLe tableau de Philippe de Champaigne, utilisĂ© comme illustration de ce propos, est particuliĂšrement profond. On y reconnaĂźt lâorigine flamande du peintre car la femme majestueuse et souriante qui occupe la place principale possĂšde des traits rubĂ©niens. Elle est harcelĂ©e par trois enfants dodus, lâun occupĂ© Ă sucer son lait, le second, un peu en arriĂšre, plongeant son regard dans celui de sa mĂšre, et le troisiĂšme, se haussant sur la pointe des pieds, essayant dâatteindre la grenade Ă©corcĂ©e que tient dĂ©licatement la CharitĂ© sur la tĂȘte de laquelle plane le feu du Saint-Esprit. La grenade est le symbole du Corps du Christ les grains serrĂ©s et rouges sont comme son sang qui vivifie ceux qui le boivent. Ces grains sont inĂ©puisables. La lĂ©gende rapporte quâils sont au nombre de 613, le nombre de lois du Pentateuque, donc la perfection de la Torah donnĂ©e Ă MoĂŻse. Le Christ Ă©tant la vĂ©ritable et unique Loi, il est cette grenade qui est partagĂ©e entre tous sans jamais ĂȘtre de lâamour de Dieu et du prochainQuâest-ce que la charitĂ© ? La rĂ©ponse est simple elle est lâamour de Dieu pour lui-mĂȘme et lâamour du prochain. Câest un double mouvement qui nâen fait quâun. Il est souvent soutenu que ce commandement dâamour prĂȘchĂ© par le Christ nâapporte rien de nouveau par rapport Ă lâAncien Testament. Ceci nâest pas vrai. Lâancienne Alliance parle en effet de lâamour de Dieu, et aussi de lâamour du prochain, mais Notre Seigneur est celui qui unit les deux en un seul, ce qui est bien normal puisquâil est lui-mĂȘme le couronnement et la perfection de la Loi. Ainsi, le DeutĂ©ronome 6, 5, oĂč MoĂŻse rapporte ce que Dieu veut Vous aimerez le Seigneur votre Dieu, de tout votre cĆur, de toute votre Ăąme, et de toutes vos forces », et le LĂ©vitique 19, 18, oĂč il rĂ©pĂšte aussi ce que Dieu attend de son peuple Vous aimerez votre ami comme vous-mĂȘme. »Lire aussi La vertu dâespĂ©rance, expĂ©rience de lâĂternitĂ©Les deux injonctions sont sĂ©parĂ©es lâun de lâautre, perdues dans la multitude des rĂšgles et des commandements. Le Christ va opĂ©rer une rĂ©volution en associant les deux lorsquâil rĂ©pond au piĂšge tendu par les pharisiens MaĂźtre, quel est le grand commandement de la loi ? » Mt 22, 36. JĂ©sus livre alors le cĆur de la Loi Vous aimerez le Seigneur votre Dieu de tout votre cĆur, de toute votre Ăąme et de tout votre esprit. Câest lĂ le premier et le plus grand commandement. Et voici le second qui est semblable Ă celui-lĂ vous aimerez votre prochain comme vous-mĂȘme. » Une hiĂ©rarchie subsiste cependant dans cette union puisque lâamour de Dieu doit prĂ©cĂ©der lâamour du prochain sinon ce dernier serait feu qui doit se rĂ©pandre partoutDe plus, le Christ va Ă©largir lâidĂ©e dâami, de prochain. Lorsquâun scribe, lui aussi tentant de prendre JĂ©sus en faute, lui demande Qui est mon prochain ? » Lc 10, 29, le MaĂźtre va raconter la parabole du bon samaritain, ne rĂ©duisant plus le prochain Ă la catĂ©gorie de ceux qui appartiennent au peuple Ă©lu tout homme est le prochain, y compris un hĂ©rĂ©tique et un schismatique. La charitĂ© ne connaĂźt plus de frontiĂšre. Elle nâest plus une rĂšgle Ă mettre en pratique au sein dâune communautĂ© limitĂ©e, elle est un feu qui doit se rĂ©pandre partout. Elle est une grenade Ă©clatĂ©e et ouverte et chacun doit pouvoir en grignoter un grain. Elle est donc la reine des vertus, celle qui ne passera jamais, comme le chante saint Paul dans son hymne de la PremiĂšre Ă©pĂźtre aux Corinthiens 13, 8 La charitĂ© ne finira jamais. Les prophĂ©ties nâauront plus de lieu, les langues cesseront, et la science sera abolie. » Sâadressant aux Colossiens dans une autre Ă©pĂźtre, lâapĂŽtre des Gentils prĂ©cisera Mais surtout revĂȘtez-vous de la charitĂ©, qui est le lien de la perfection ».Lire aussi La vertu de foi, porte de la vie Ă©ternelleLa plus grande des vertusVoilĂ pourquoi saint Thomas dâAquin consacrera un traitĂ© trĂšs long et riche Ă expliquer ce quâest la charitĂ©, vertu thĂ©ologale Somme thĂ©ologique II-IIae, Il commentera notamment les mots de saint Paul dans la PremiĂšre Ă©pĂźtre aux Corinthiens 13, 13 De ces trois vertus foi, espĂ©rance et charitĂ©, la plus grande est la charitĂ©. » La charitĂ© atteint Dieu tel quâil subsiste en lui-mĂȘme, et non pas en tant que de lui quelque chose nous survient » Ă©crit le Docteur â si lâon peut employer ici cette expression, la charitĂ© est la troisiĂšme des vertus thĂ©ologales. Il faut dâabord que notre conscience sâĂ©veille Ă Dieu, parce quâelle est capable » de Dieu, ceci par la foi qui est notre assentiment aux vĂ©ritĂ©s rĂ©vĂ©lĂ©es qui ne peuvent ĂȘtre saisies par lâexercice de notre simple raison. Ensuite, la foi a besoin dâĂȘtre tenue en haleine en quelque sorte car, sinon, notre volontĂ© flanche et nous retombons dans lâindiffĂ©rence ou lâincrĂ©dulitĂ©. DâoĂč lâespĂ©rance qui nous laisse entrevoir la bĂ©atitude qui nous comblera vraiment. La charitĂ© entre alors en jeu, comme un couronnement, une transfiguration de la conscience surnaturelle » pour reprendre lâexpression du pĂšre hiĂ©rarchie dans la charitĂ©Nous ne rĂ©alisons pas suffisamment que le pĂ©chĂ© mortel nous prive de la charitĂ© puisquâil nous fait perdre la grĂące sanctifiante, tandis que nous conservons cependant la foi et lâespĂ©rance, ce qui nous permet de nous ressaisir, de nous relever, de nous repentir. Notre expĂ©rience du pĂ©chĂ© nous fait bien toucher du doigt Ă quel point la charitĂ© est prĂ©cieuse, principe vital et mobile souverain. Le sujet de la charitĂ© est bien notre volontĂ©, et son objet est ceux que doit viser sa dilection, Ă savoir Dieu, nous-mĂȘmes et le prochain. Ainsi existe-t-il un ordre formel, une hiĂ©rarchie dans la aussi Comment la vertu tend vers le vrai juste milieuCependant cette logique nâest pas rigide car lâaspect subjectif de la charitĂ©, selon les circonstances, nuancera cet ordre prĂ©existant. Saint Thomas dâAquin dĂ©veloppe avec beaucoup de dĂ©tail et de finesse cet ordre de la charitĂ©. Il nâen reste pas moins que le premier qui doit ĂȘtre servi est bien entendu Dieu, origine de toute charitĂ© Câest [âŠ] Dieu qui par la charitĂ© doit ĂȘtre aimĂ© principalement et par-dessus tout il est aimĂ©, en effet, comme la cause de la bĂ©atitude, tandis que le prochain est aimĂ© comme participant en mĂȘme temps que nous Ă la bĂ©atitude » conclusion. La charitĂ© envers Dieu nâest pas dâune autre essence que celle envers le prochain. Il sâagit dâune diffĂ©rence de degrĂ© et de prioritĂ©, mais il nâexiste pas de charitĂ© premiĂšre qualitĂ© » et une autre de second choix, contrairement Ă la nourriture industrielle qui sâĂ©tale dans nos magasins. LâinĂ©galitĂ© ne rĂ©side que dans la premiĂšre place Ă donner. Ceci vaut aussi pour lâamour du prochain. Notre Docteur a raison de souligner le point suivant [âŠ] MĂȘme sous le rapport de lâaffection, il convient quâil y ait des inĂ©galitĂ©s dans notre amour du prochain. Et en voici la raison Dieu et celui qui aime Ă©tant les principes de lâamour, il est nĂ©cessaire quâil y ait un plus grand sentiment de dilection, selon que celui qui en est lâobjet est plus rapprochĂ© de lâun de ces deux principes » conclusion. Ce qui signifie que celui qui prĂ©tend aimer passionnĂ©ment ceux quâil ne voit que sur son Ă©cran de tĂ©lĂ©vision et qui dĂ©laisse sa vieille mĂšre dans un taudis, ne vit aucune charitĂ© qui, lĂ encore, doit ĂȘtre bien ordonnĂ©e. Commençons par aimer les membres de notre famille, les membres de notre communautĂ©, les membres de notre pays, avant de loucher ailleurs en Ă©talant de grands sentiments qui ne reposent pas sur la charitĂ© de aussi Comment les vertus nous perfectionnent-elles ? Son cĆur fondait »Pour refermer cette trop brĂšve rĂ©flexion, contemplons Celle qui a vĂ©cu de la charitĂ© parfaite puisquâelle lâa portĂ©e en son sein, la TrĂšs Sainte Vierge Marie. Charles PĂ©guy, dans justement Le MystĂšre de la CharitĂ©, la campe alors quâelle suit son Fils vers le Calvaire Elle pleurait. Elle fondait. Son cĆur fondait. Son corps se fondait. Elle fondait de bontĂ©. De charitĂ©. »La charitĂ©, vraiment vĂ©cue comme vertu thĂ©ologale, fait fondre lâĂȘtre et le remodĂšle Ă son image. VoilĂ pourquoi les grands saints nous Ă©tonnent tellement et provoquent notre admiration. Ils ont fondu et une autre matiĂšre a pris la place de leur chair pĂ©rissable la charitĂ© qui ne meurt jamais et qui trĂŽnera dans lâ vertu et la grĂące de France en trois allĂ©gories Cest dire que Dieu, prĂ©sent au premier mariage et tĂ©moin de l'alliance contractĂ©e entre les partis, approuve et bĂ©nit cette union, appelle tendrement l'Ă©pouse la femme de ta jeunesse - celle que tu as choisie pour ĂȘtre le partenaire de tes joies et de tes peines -, souhaite une descendance heureuse, exhorte Ă la vigilance, et qualifie de trahison dĂ©testable, motivĂ©e Lorsde thĂ©rapie dâun couple, chacun a son lot de reproches Ă faire Ă lâautre et a souvent tendance Ă dire : « Câest de sa faute si ça ne va pas ! ». Aux yeux des hommes, la source du problĂšme câest ce qui ne va pas chez lâautre, mais aux yeux de Dieu la source du problĂšme, câest notre incapacitĂ© Ă nous revĂȘtir d Icile repos est associĂ© Ă la consolation qui compense la fatigue occasionnĂ©e par le travail rendu pĂ©nible depuis la faute dans le jardin d'Eden. En effet, au commencement, I'homme et la femme avaient un travail Ă accomplir: "cultiver et garder le jardin dans lequel Dieu les avait placĂ©s" (Gen. 2:15).Deplus, ces femmes offrent un signe admirable de la saintetĂ© florissante et de cette fĂ©conditĂ© spirituelle propre Ă lâEglise. A ce propos, les paroles de saint Cyprien sont magnifiques : «La virginitĂ© est une fleur qui bourgeonne dans lâEglise, honneur et ornement de la grĂące de lâEsprit Saint, nature joyeuse, Ćuvre intacte et non corrompue de louange1 Le Christianisme est la religion singuliĂšre dâun Dieu fait homme, mort et ressuscitĂ© : cette foi fonde une nouvelle conception de lâhomme, qui nâest ni matĂ©rialiste, ni spiritualiste, ni dualiste, et une nouvelle conception de son humanitĂ© et de son destin Ă©ternel. Par sa RĂ©surrection, le Christ nous entraine dans la rĂ©surrection puisquâil sâest liĂ© Ă nous Ă la Dansla volontĂ© de Dieu, la femme est vraiment celle qui est lâaide de lâhomme. Il faut voir cela comme un rĂŽle de complĂ©mentaritĂ© dans lâordre de lâamour. Il sâagit pour elle dâĂ©veiller lâhomme Ă un vĂ©ritable amour spirituel et de coopĂ©rer Ă la croissance de cet amour. La femme est donc source dâamour pour lâhomme. Clarifionsdonc ce second point : le projet de Dieu pour le mariage. 22. Le projet de Dieu pour votre couple. 23 « HĂ©, devinez quoi ! Votre vie de couple devrait ressembler à ça ! » nous dit
| á¶áșŃ Đ”Đ±Ő ÖŐ”áȘÏáŐ¶Ń | áՏаճŃŃŐšŃĐ”Ö Đ·ŃĐœĐŸŃĐžĐșĐ» ŃáĐžÎČа | ŐĐ”Ń ŃŐĄĐŽ ÏáŐžáŃáĐ” |
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