🌦️ Bénévolat À L Étranger Dans Les Fermes

Avecle CICR : missions à l'étranger Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) recrute et forme continuellement des femmes et des hommes motivés et prêts à travailler dans des contextes de conflit armé et d'autres situations de violence, afin d'apporter une aide humanitaire d'urgence aux victimes.
Le tourisme solidaire, oublie ça. Il s'agit plus de vacances pour se donner bonne conscience que d'une réelle expérience. Les agences qui mettent les bénévoles en contact avec certaines ONG m'énervent au plus au point, car elles se font de l'argent par ce biais, ce qui n'est pas très éthique mais ça n'engage que moi. Je suis actuellement responsable d'une ONG, et j'ai effectué quelques stages dans d'autres petites ONG en Asie par le passé. Clairement, si tu veux réellement te rendre utile, le mieux c'est de faire une recherche sur le web et de proposer ta candidature en tant que bénévole pour une courte durée. Tu pourras trouver une structure qui partage les mêmes valeurs que toi, et vous pourrez reflechir ensemble à une mission. Si tu veux aider une petite ONG, saches que ces dernières ont généralement déjà du mal à trouver les fonds nécessaires pour financer leurs programmes, et qu'elles n'ont malheureusement pas les moyens d'aider financierement mais elles peuvent par exemple payer tes déplacements à l'intérieur du pays, t'aider à trouver un logement à coût avantageux, etc.... Pour les aides, tu peux contacter les conseils régionaux, communautés urbaines, etc.... Il existe aussi des fondations qui soutiennent des projets de ce genre. Si tu veux plus de précisions sur le sujet, n'hésite pas à me demander. Ton initiative est super

Commencéen tant que bénévole pour toujours en 2012, Abroadly est depuis devenu l'une des organisations les plus renommées au monde pour les personnes à la recherche de voyages de bénévoles, de stagiaires et d'enseignants à l'étranger. À l'étranger a offert le programme de bénévolat dans le domaine du développement des enfants et des jeunes, de la santé et de la

Voyage humanitaire Amériques Costa Rica Pars en mission humanitaire au Costa Rica et découvre l’un des pays les plus investi pour le développement durable... Pars en mission humanitaire au Costa Rica et découvre l’un des pays les plus investi pour le développement durable. Sauve des bébés tortues ou travaille pour la faune et la flore unique du pays, terre de jungles luxuriantes et des animaux les plus exotiques du monde. Repère les meilleurs endroits pour voir les toucans, les paresseux, les singes capucins et même les jaguars gravement menacés qui vivent dans les arbres de la forêt tropicale. La plupart des projets d’enseignement et communautaires sont généralement basés dans les environs de San José, la capitale. Vis de nombreuses opportunités de missions humanitaires au Costa Rica et découvre la Pura Vida », la vie pure ! 269 € par semaine 2 ‑ 30 sem Âge 17+ Volunteer and save turtles, make a difference and meet one of the most beautiful beaches in the world! Join us in Pacific CR! Airport Taxi Logement Aliments Détails 243 € par semaine 1 ‑ 35 sem Âge 18+ Get in direct contact with turtles and help us conserve the biggest turtle in the sea! Here you will have the chance to meet and work with awesome animals! Airport Taxi Logement Aliments Détails 291 € par semaine 1 ‑ 12 sem Âge 14+ We rescue, rehabilitate and when possible release injured and displaced wildlife. The generosity of time and effort from our volunteers help us achieve our mission. Airport Taxi Logement Aliments Détails 360 € par semaine 1 ‑ 50 sem Âge 15+ As part of our local animal shelter, you'll be responsible for a variety of activities such as feeding, maintenance and engaging with animals! Airport Taxi Logement Aliments Détails 269 € par semaine 2 ‑ 28 sem Âge 18+ Sloths, as ambassadors of our Costa Rican nature, are a very important part of our program. For this reason, we are passionate about monitoring their population. Airport Taxi Logement Aliments Détails 360 € par semaine 1 ‑ 50 sem Âge 14+ Our program is a volunteer program designed for volunteers to assist in all tasks like feeding, maintenance and entertaining animals that are living at the shelter. Airport Taxi Logement Aliments Détails 302 € par semaine 2 ‑ 12 sem Âge 18+ Be part of the NATUWAS's team assisting in feeding the animals, animal enrichment, cleaning enclosures, maintenance of the sanctuary, and guiding tours for visitors. Airport Taxi Logement Aliments Détails 396 € par semaine 2 ‑ 4 sem Âge 18+ Organized beach cleanups and education are key to bringing SOCIAL RESPONSIBILITY standards closer to what the planet desperately needs. Airport Taxi Logement Aliments Détails 341 € par semaine 2 ‑ 12 sem Âge 17+ Patrol along a wonderful beach and help to guard the nests of endangered marine turtles. You will also help monitor sloths in their natural habitat. Airport Taxi Logement Aliments Détails 360 € par semaine 1 ‑ 50 sem Âge 14+ Designed for veterinary students, families and all who are interested to assist in tasks like feeding, maintenance and entertaining animals of the shelter. Airport Taxi Logement Aliments Détails 490 € par semaine 2 ‑ 24 sem Âge 18+ Learn NATURAL horsemanship & art of riding on a Costa Rican horse farm. Work hands on with our horses, barehoof trimming, farm work, gardening, building and permaculture. Airport Taxi Logement Aliments Détails 401 € par semaine 2 ‑ 24 sem Âge 18+ Help preserve beautiful national parks in Costa Rica, protect wildlife, and educate its visitors. Experience breathtaking nature! Airport Taxi Logement Aliments Détails 378 € par semaine 1 ‑ 20 sem Âge 18+ Volunteer to protect Olive Ridley sea turtles in Bahia Tambor, a beautiful 6 km beach in the south of Nicoya Peninsula. Airport Taxi Logement Aliments Détails 1001 € par semaine 4 ‑ 10 sem Âge 18+ Ready to take your scuba diving to the next level? Passionate about the world of Marine Conservation and Marine Science? Become a professional PADI Divemaster now! Airport Taxi Logement Aliments Détails 322 € par semaine 3 ‑ 24 sem Âge 18+ Help take care of street cats and dogs and support rescue activities in Costa Rica. Find a new home for helpless animals. Airport Taxi Logement Aliments Détails 341 € par semaine 1 ‑ 6 sem Âge 18+ Join our coastal clean up expeditions around our beautiful country! Be part of our regenerative programs building artificial reefs, planting trees, releasing turtles. Airport Taxi Logement Aliments Détails 257 € par semaine 2 ‑ 24 sem Âge 18+ Support training sessions with kids, girls and young people in a smaller beach city in Costa Rica. Kids in Costa Rica do love football and dream to get professional Airport Taxi Logement Aliments Détails 267 € par semaine 2 ‑ 24 sem Âge 18+ Help Save Sea Turtles! The Sea Turtles are very important for the marine ecosystems and their extinction will make consequences! Airport Taxi Logement Aliments Détails 562 € par semaine 1 ‑ 12 sem Âge 17+ Research the animals of Costa Rica to learn more about their lives and ultimately, how to protect them. Airport Taxi Logement Aliments Détails 242 € par semaine 4 ‑ 24 sem Âge 18+ This project is basically for families who need help for their kids in English. As kids during Corona do have online classes many families are not able to help their kids Airport Taxi Logement Aliments Détails Toutes les 133 missions Voyage humanitaire Amériques Costa Rica Voyages humanitaires au Costa Rica Tu as toujours rêvé d’explorer les mystérieuses forêts tropicales, les cascades sauvages et les volcans actifs ? Tu veux vivre une vraie expérience de voyage et avoir un impact positif dans ton pays d’accueil ? Bonne nouvelle c’est possible en effectuant une mission humanitaire au Costa Rica ! Le pays abrite une superbe biodiversité, des plages incroyables et des sites de surf et tu pourras découvrir ce que les locaux appellent la Pura Vida », espagnol pour la vie pure. Tu peux avoir un impact positif sur le pays de plusieurs façons. Les opportunités pour faire du bénévolat sont nombreuses et il y a un programme pour tout le monde. En participant à un volontariat au Costa Rica tu peux même améliorer ton espagnol. Les domaines qui ont le plus besoin d’aide Avant de partir pour ton bénévolat au Costa Rica, tu dois réfléchir à ce que tu attends d’un tel projet et aux compétences que tu pourrais mettre en pratique pour aider les autres. Cette page te présente différentes missions humanitaires pour différents types de projets au Costa Rica. Parcours-les jusqu’à trouver le programme qui te correspond le plus. Si tu ne sais pas encore dans quel domaine apporter ton aide, ce qui va suivre va te donner une idée de ce à quoi tu peux t’attendre. Préservation des tortues de mer Avec plus de 500 000 espèces de plantes et d’animaux, le Costa Rica a l’un des taux de densité biologique les plus élevés du monde, ce qui représente près de 4 % de l’ensemble des espèces sur Terre. L’une des plus menacées d’entre elles est la tortue luth, qui niche sur les côtes Atlantique et Pacifique du pays. OSur les 7 principales espèces de tortues de mer, 4 établissent leur lieu de nidification sur les plages du Costa Rica la géante tortue luth la tortue imbriquée la tortue verte la tortue olivâtre Contribue à la protection de ces fascinantes créatures en patrouillant le long des plages, en protégeant les nids contre le vol et en observant des moments uniques comme lorsque les bébés tortues secourus sont relâchés dans l’océan ! Ton travail de préservation des tortues de mer variera en fonction de la saison à laquelle tu prévoies de faire ton bénévolat. Lors des saisons de nidification et d’éclosion, ton travail se concentrera sur les bébés tortues de mer, et tu récupéreras les œufs dans les nids pour les mettre en couveuse afin que les bébés puissent éclore dans un environnement sûr avant d’être relâchés dans l’océan. La plupart des projets de volontariat accueillent également des bénévoles en dehors des saisons de nidification et d’éclosion pour participer à d’autres activités telles que nettoyage des plages, étude des crocodiles, mammifères et oiseaux, ainsi qu’à des projets d’enseignement. Conservation de la faune et flore Il va de soi que les tortues de mer ne sont pas les seuls animaux nécessitant l’aide de bénévoles. Les forêts tropicales du Costa Rica abritent bien d’autres espèces fascinantes. Tu pourras entre autres croiser des singes principalement des singes écureuils, capucins, hurleurs et des atèles paresseux félins jaguars, ocelots, pumas, jaguarundis, margays kinkajous aux griffes acérées et aux oreilles rondes d’où leur surnom d’ours dorés oiseaux exotiques dont les fameux toucans, aras macaos et colibris Malheureusement, de plus en plus d’animaux sont victimes de la destruction de leur habitat naturel, du braconnage et du commerce illégal d’animaux. Ceux qui parviennent à y échapper intègrent un foyer temporaire dans des centres de sauvetage d’animaux. Les bénévoles qui font leur volontariat dans ces centres s’occupent des animaux blessés et orphelins en leur préparant à manger, en nettoyant leurs cages et en effectuant divers soins de base jusqu’à ce qu’ils puissent être remis en liberté dans la forêt tropicale. Dans certains cas, les animaux peuvent avoir besoin d’un traitement médical. Les bénévoles ayant une formation vétérinaire sont donc plus que bienvenus. Les animaux ne pouvant pas être remis en liberté intègreront une réserve animalière où les bénévoles pourront contribuer au bien-être animal et à des mesures d’enrichissement. La biodiversité et sa conservation En tant que bénévole international, tu peux contribuer à la protection de la nature costaricienne florissante de plusieurs façons. Tu peux par exemple rejoindre un programme de conservation en épaulant les guardabosques » gardes forestiers dans les forêts tropicales et participer à diverses tâches telles que nettoyer et entretenir les sentiers et chemins forestiers observer et répertorier la faune et flore observer les mammifères et oiseaux exotiques dans leur habitat naturel participer à la reforestation locale aider en tant que traducteur ou guide touristique Pour lutter contre la déforestation due à l’agriculture non durable, certains projets de volontariat promeuvent l’agriculture écologique et sensibilisent les locaux à des méthodes de cultures plus durables et respectueuses de l’environnement. En mission humanitaire dans une ferme écologique tu auras notamment pour tâches de planter et d’arroser les cultures, de récolter les fruits et les légumes et de t’occuper des animaux qui vivent à la ferme. Enseignement au Costa Rica Le taux d’alphabétisation du Costa Rica est plutôt élevé comparé aux pays voisins, mais les enseignants bénévoles sont recherchés, surtout pour des écoles situées dans des zones à faibles revenus. Les personnes de langue maternelle anglaise ou qui parlent anglais couramment peuvent transmettre leurs connaissances aux enfants de tous âges et éveiller leur intérêt aux langues et cultures étrangères. Mais toi aussi tu peux en profiter pour améliorer ton espagnol. Quelques organisations offrent même des cours de langue pour les bénévoles, donc peu importe ton niveau d’espagnol, il y aura sûrement pleins d’occasions pour apprendre cette très belle langue. Quels que soient tes points forts et tes domaines d’intérêt, tu peux les mettre en pratique pour enseigner les mathématiques, le sport, les sciences ou l’art. Certains projets de volontariat sont spécialisés dans l’enseignement de la musique, par exemple. Alors, si tu joues d’un instrument ou que tu es passionné de chant, pourquoi ne pas choisir un programme de bénévolat dans ce domaine en devenant enseignant bénévole au Costa Rica ? Aider les enfants à faire leurs devoirs ou apporter une aide individuelle aux enfants ayant des problèmes d’apprentissage ou des besoins spéciaux peut aussi faire partie du travail d’enseignant bénévole, et les enfants apprécieront grandement ton aide et l’attention que tu leur donneras. Souviens-toi que pour être bénévole international auprès des enfants, tu devras rester au même endroit au moins 4 semaines pour favoriser un environnement stable et que les enfants puissent s’habituer à toi. Mission humanitaire auprès des enfants Si tu aimes travailler avec les enfants mais que l’enseignement ne t’intéresse pas forcément, pourquoi ne pas rejoindre un projet de crèche ? Pour ce genre de projets, tu devras t’occuper d’enfants en bas âge qui ne sont pas à l’école ou t’occuper d’eux une fois leur journée terminée. Les familles aux faibles revenus ou les parents célibataires n’ont pas tous les moyens de mettre leur enfant à la crèche. Ce genre de projet et le soutien des bénévoles leur sont donc d’une grande aide. Si tu fais ton bénévolat dans une crèche, tu pourras avoir pour tâches d’organiser des jeux et des activités de faire des travaux manuels avec les enfants d’aider les plus jeunes à manger et à se laver d’aider à la surveillance générale Tu peux aussi choisir de travailler dans un orphelinat local et donner de l’espoir aux enfants. Avant de décider d’e faire ton volontariat dans un orphelinat du Costa Rica, tu dois t’assurer de bien comprendre ce que seront tes tâches et à quoi t’attendre. Les enfants dont tu pourrais t’occuper n’ont pas forcément perdu leurs parents. La plupart de ces enfants ont été victimes de violences ou de maltraitance et sont traumatisés. C’est pour cette raison que les bénévoles doivent OBLIGATOIREMENT avoir les compétences appropriées. Autrement, tu pourrais t’exposer et exposer les enfants à certains risques. Coût de la vie Le budget quotidien d’une mission humanitaire au Costa Rica est estimé entre 25 et 77 USD. Il s’agit d’une estimation qui prend en compte le coût moyen de certains des services dont tu pourrais avoir besoin et des biens que tu pourrais vouloir acheter. Elle te donne un aperçu du coût de la vie dans le pays, pour t’aider à te préparer et à économiser. Les coûts additionnels à envisager sont les frais liés au programme les billets d’avion vols pas chers pour le Costa Rica l’assurance voyage nous te conseillons World Nomads les frais de visa les dépenses personnelles Exemple représentatif du coût de la vie au Costa Rica en dollars américains, par personne Manger à l'extérieur $ Voiture de location $ Bon à savoir avant ton départ Partir à l’étranger inclut de prendre en compte certaines précautions et problématiques, même au Costa Rica qui est pourtant une destination touristique populaire. En effectuant quelques recherches sur la culture locale et les caractéristiques de ton pays d’accueil, tu pourras facilement éviter les problèmes et les malentendus. Voici de quoi t’aider à préparer ton bénévolat au Costa Rica Sécurité et précautions Bien que le Costa Rica soit un pays relativement sûr comparé aux autres pays d’ Amérique latine, ses normes de sécurité ne sont pas comparables à celles dans les pays occidentaux. Voici quelques conseils pour voyager au Costa Rica en toute sécurité Fais très attention aux objets de valeur que tu as sur toi. Il serait préférable de les laisser à l’hôtel si tu n’en a pas besoin. N’emporte pas de grosses sommes d’argent sur toi, ne prends que ce dont tu as besoin pour une journée. Prends en compte les conditions météorologiques changeantes et prévois autre chose si les conditions ne sont plus sûres. Ne touche pas et ne nourris pas les animaux que tu ne connais pas. Que tu sois à pied ou au volant, fais toujours attention à la circulation autour de toi, surtout dans les endroits très fréquentés. Le nombre d’accidents de voiture est très élevé, surtout dans les grandes villes. Conseils sanitaires Afin de réduire le risque de tomber malade lors de ton volontariat et d’en profiter au maximum, nous te conseillons ceci Si tu passes plusieurs heures à l’extérieur sous le soleil, mange des en-cas salés et bois beaucoup d’eau pour rester hydraté et remplacer le sel que tu perds en transpirant. Pour éviter de te faire piquer par les insectes, utilise un répulsif et porte des vêtements à manches longues et des pantalons. Parle des vaccins qu’il te faut effectuer pour te rendre au Costa Rica à ton médecin. Il est conseillé à tous les voyageurs d’être à jour sur leurs vaccins contre le tétanos, l’hépatite A et la typhoïde. Si tu prévoies de faire des randonnées dans des zones rurales et reculées, le CDC, centre pour le contrôle et la prévention des maladies aux États-Unis conseille de te faire également vacciner contre la rage, la tuberculose et l’hépatite B. À mettre dans ta valise Selon la saison à laquelle tu arriveras au Costa Rica, voici certains indispensables à mettre dans ta valise pour te rendre la vie plus facile ! Bien sûr, tu peux te procurer la plupart de ces choses là-bas, mais elles seront moins chères si tu les achètes avant de partir, et tu auras aussi plus de choix. Voici certaines choses que nous te conseillons d’emporter avec toi au Costa Rica Une veste légère et des vêtements imperméables, surtout en saison verte de mai à décembre. Une lampe de poche, des jumelles, et de bonnes chaussures de marche/randonnée pour les activités en extérieur. Des copies de tous tes papiers importants, à conserver dans ton lieu d’hébergement en cas d’urgence. Une trousse de premiers secours et un répulsif. Compétences et qualifications requises Comme tu l’as sûrement remarqué, beaucoup de missions différents requièrent d’avoir des compétences et capacités spécifiques. Tu peux consulter le détail des spécificités de chaque programme sur leurs pages dédiées. Voici certaines compétences générales qui s’appliquent à la plupart des missions de volontariat au Costa Rica L’âge minimum pour participer à une des missions humanitaires au Costa Rica se situe entre 16 et 18 ans, selon le programme que tu choisis. En cas de doute, nous te conseillons de contacter ton coordinateur de programme local pour savoir si tu peux participer au projet qui te fait envie. Tu dois avoir un niveau élémentaire en espagnol et intermédiaire en anglais si tu souhaites enseigner aux enfants. Les missions de garde d’enfants et d’enseignement exigent un extrait de casier judiciaire et de rester sur place au moins 4 semaines. Réglementations du visa pour le Costa Rica Te voici arrivé à la dernière partie du guide, qui t’informe d’un autre aspect important à prendre en compte lors de la planification de ton programme de bénévolat obtenir ton visa de bénévole pour le Costa Rica. Les informations qui vont suivre se basent sur des bonnes pratiques que nous avons élaborées au mieux et en collaboration avec plusieurs autres projets humanitaires. C’est pourquoi tu devrais discuter des conditions de ton visa avec ton interlocuteur dédié de Volunteer World. En cas de doute, nous te conseillons également de prendre contact avec l’ambassade du Costa Rica ou le consulat de ton pays. Informations générales sur l’immigration Tu dois respecter certaines conditions générales à ton arrivée au Costa Rica Vérifie la validité de ton passeport. Ton passeport doit être valable au moins 6 mois suivant la date de ton retour dans ton pays. Vérifie que ton passeport a au moins 2 pages vierges. Le Costa Rica exige qu’il y ait des pages non utilisées dans ton passeport, pour laisser de la place aux tampons d’arrivée et de départ. Tu dois également avoir un billet de retour valable pour quitter le Costa Rica. Et enfin, tu dois vérifier si un visa de transit est requis pour toute correspondance. Les vols passant par les États-Unis ont notamment des réglementations d’entrée et de transit spécifiques. Bonnes pratiques pour les bénévoles effectuant un séjour de courte durée Si tu résides en Australie, en Suisse, aux États-Unis ou dans l’UE y compris le Royaume-Uni, tu peux effectuer une mission humanitaire avec un visa de touriste de 90 jours maximum. Tu pourras obtenir ton visa de touriste à ton arrivée à l’aéroport. Pour obtenir le tampon, indique que la raison de ton voyage est le tourisme. L’immigration tamponnera ton passeport. Bonnes pratiques pour les bénévoles effectuant un séjour de longue durée Si tu prévoies d’effectuer une mission humanitaire de plus de 90 jours au Costa Rica, il te faut un visa provisoire. Pour simplifier tes démarches, utilise ce formulaire de demande Assure-toi d’envoyer ta demande à l’ambassade du Costa Rica ou au consulat . le plus proche. Ils te donneront toutes les informations nécessaires ainsi qu’une liste des documents à envoyer. N’oublie pas que le traitement de ta demande peut prendre plus d’un mois, nous te conseillons donc de t’y prendre en avance. Par ailleurs, une autre option s’offre à toi si tu décides de rester plus de 90 jours. Il te suffit de passer quelques jours dans un pays voisin tel que le Panama ou le Nicaragua et obtenir un nouveau tampon pour 90 jours lorsque tu rentreras au Costa Rica si tu optes pour cette option, n’oublie pas que tu dois laisser 2 pages vierges dans ton passeport et obtenir un nouveau billet de retour pour quitter le pays. BénévolatÀ L’étranger Dans Des Fermes 7 Lettres; Apport Depouse Participe Pour Pouvoir Seconde Jeunesse Seconde Union; Gai Participe; Soutiens De Tetes; Apporte Son Concours ; Metre Par Seconde; Entreprise De Depannage; Creux D'epaule Inscription gratuite. Tu y es presque! Suis les indications dans le mail que nous t'avons envoyé pour confirmer ton adresse.
Parcourir sa ville ou sa planète pour préserver l’environnement, un rêve d’enfant ? Pas besoin d’être un aventurier solitaire, devenez éco-volontaire ! Devenir éco-volontaire, c’est s’engager dans une mission ponctuelle pour une durée plus ou moins longue, pour un projet plus ou moins loin, mais toujours pour la préservation de l’environnement ! Collecte de données, effort de reboisement, soins animaux, agriculture urbaine ou biologique… les missions proposées aux bénévoles sont variées pour permettre de préserver la diversité animale, végétale, environnementale et culturelle ! 1. Rechercher les organismes proposant de l’éco volontariat associations, fondations, fédérations et ONG Il existe de nombreux sites qui proposent des missions ou relaient des besoins des associations en éco-volontaires. En voici un aperçu mais la liste n’est pas exhaustive ! Pour l’Île-de-France et la France même si ces sites sont nationaux, il est souvent possible de filtrer votre recherche par zone géographique et de sélectionner l’Île-de-France pour des missions locales Les Volontaires de Paris constituent une communauté prête à s’engager pour agir concrètement. Pour des actions en faveur de la transition écologique c’est plus particulièrement la communauté des Volontaires du Climat qui se mobilise. Ils participent à des formations autour des enjeux climatiques, des ateliers pratiques, des défis, des opérations spéciales, des missions. Les services civiques recherchés par la Mairie de Paris Plus de 300 postes allant de 6 à 9 mois sont ouverts chaque année aux 16-25 ans, et indemnisés à raison de 577€ par mois. J’agis pour la Nature de la Fondation Nicolas Hulot Les BlongiosVolontaire pour la nature anciennement A pas de loup cette association organise elle-même des chantiers en France, mais elle recense aussi d’autres missions. Pour des missions en Europe ou ailleurs, les principaux sont Wwoofing une pratique en vogue dans beaucoup de pays qui consiste à faire se rencontrer un bénévole avide de découvrir le monde de l’agriculture biologique, et un agriculteur désireux de partager son mode de vie. Dépaysement garanti ! médiaterre uniscité pour un service civiqueCybelle-planetePlanete-urgenceWWFProjects-abroadFrance bénévolatService VolontaireVolunteer WorldEcovoyageurs c’est avant tout une agence de voyage écoresponsable, mais elle propose aussi des séjours éco-volontaires !Green Volunteers l’accès est payant 2. Rechercher les missions en fonction de ses envies et de la durée Les chantiers nature, d’une demi-journée à 3 semaines leur objectif est souvent l’entretien, la gestion et l’équipement d’espaces missions de conservation et de protection d’espèces animales ou végétales ce sont souvent des missions d’aide à un programme scientifique ou de conservation d’ missions liées à l’agriculture et au pastoralisme notamment aide aux bergers ou bénévolat dans des fermes en agriculture biologique WWOOFING.Les activités de suivi et d’observation citoyenne, par exemple Sauvage de ma rue » en partenariat avec le Muséum National d’Histoire Naturelle à actions terrain de sensibilisation du public l’éco-volontaire devient ambassadeur pour transmettre un message de protection de l’ missions très ponctuelles, des actions coup de poing, récurrentes ou non… Motiver Il y a de nombreux avantages à devenir éco-volontaire ! Cela permet de Faire des rencontres l’éco-volontaire est rarement seul dans sa mission, il est plutôt entouré de personnes venant du monde entier !Se sentir utile en mettant son temps libre au service d’une cause qui nous tient à et partager des connaissances sur la nature les missions sont toujours encadrées par des professionnels qui connaissent bien leur sujet !S’immerger dans la culture locale et profiter pleinement de la nature ; découvrir de nouvelles régions un peu partout en France et dans le monde… et ceci en toute sécurité. Il y aura toujours des professionnels et d’autres volontaires pour vous épauler et vous conseiller !Vivre une expérience différente qui peut être valorisant pour trouver un emploi par la suite. L’écovolontariat peut d’ailleurs prendre la forme d’un stage, et sera donc conventionné par votre école Financer L’écovolontariat est un terme très polysémique, sous lequel on regroupe souvent et à tort l’éco-tourisme, le bénévolat et le volontariat statutaire. Or il est important de bien distinguer ces notions on décrypte ça pour vous !L’écovolontariat, dans son sens le plus strict, est bénévole le volontaire n’est pas rémunéré pour la mission qu’il accomplit et c’est pour cette raison que certaines structures parlent de bénévolat nature » plutôt que d’écovolontariat. De plus, une participation financière peut être demandée aux volontaires pour couvrir les frais de séjour et de toutefois, si la participation financière sert à financer la structure ou le programme de conservation, alors il s’agit d’écotourisme. C’est donc de votre argent plus que de votre énergie dont on a besoin… Se sont ajoutées à l’écovolontariat bénévole d’autres formes d’éco-engagement qui sont, elles, indemnisées Le Service Civique ce statut, réservé aux jeunes de 16 à 25 ans, offre la possibilité de percevoir une indemnité de subsistance et de bénéficier d’une protection sociale incompatible avec le salariat en échange d’une mission humanitaire, sociale ou écologique remplie à plein Service Volontaire Européen SVE réservé aux jeunes de 18 à 30 ans, ce statut permet d’effectuer une mission de 2 mois à 1 an dans un pays de l’Union Européenne pour une indemnité de 150 euros par mois. Et en plus, les frais de séjour et de transport sont pris en charge. Le VEFA Volontariat Écologique Franco-Allemand, par exemple, est une déclinaison du Volontariat de Solidarité Internationale VSI est un statut ouvert à toute personne majeure souhaitant effectuer une mission humanitaire dans un pays en développement. L’indemnisation varie en fonction de la congé solidaire de 2 à 4 semaines permet aux salariés de participer à un projet d’écovolontariat grâce à des financements propres ou à l’appui financier de l’employeur. Les astuces Les clés du succès Renseignez-vous durée minimale de participation, conditions d’hébergement parfois précaires, horaires de travail et degré des efforts physiques demandés sont les informations capitales à recueillir !Rencontrez des éco-volontaires avant de partir pour vous faire une idée précise du déroulement de la mission ; consultez aussi les blogs et les témoignages d’anciens volontaires qui sont une mine de renseignements ex MyBubbleWorld, 1 mois 1 espèce.Assurez-vous du bien-fondé de la mission pour l’environnement. Satisfait-elle des besoins locaux ? Ses retombées sont-elles positives et coïncide-t-elle avec vos convictions ? Et pour vous-même correspond-elle à vos envies et/ou est-elle utile à votre projet professionnel ? Vigilance Le coût du déplacement est presque toujours aux frais du aux arnaques le marché de l’écovolontariat est devenu très lucratif ! N’hésitez pas comparer le montant de la participation financière aux frais de séjour avec celui d’autres missions similaires pour ne pas vous faire piéger et de financer le fonctionnement du programme en n’est pas de l’écotourisme. Les éco-volontaires participent certes au projet pendant leurs vacances mais ils ont des règles et des horaires à respecter, fixés par la structure d’accueil… comme un job d’été en fait !Pour les missions à l’étranger, pensez à vérifier la situation géopolitique du pays de destination conflits armés ou guerres sur le site de France diplomatie Le saviez-vous ? Le contexte, les enjeux Sur les dix dernières années, l’écovolontariat est devenue une sinon la ! nouvelle tendance pour parcourir le monde. Venue des pays anglo-saxons, elle a vite conquis les Français engagés pour le développement durable ; les demandes pour partir en mission pour la nature, et notamment pour la protection de la faune sauvage, ont explosé ! La raison ? C’est que cette formule permet de s’engager pleinement pour une cause qui a du sens tout en permettant de découvrir de nouvelles cultures et façons de faire à Paris, en France, et même à travers le monde ! Quelques chiffres clés Selon la dernière étude de France Bénévolat en 2013, des Français de plus de 15 ans étaient engagés dans une activité mission d’écovolontariat peut durer de quelques jours à plusieurs mois, suivant l’envergure du projet. Par exemple, en 2016, les missions proposées par Cybelle Planète duraient en moyenne 20 jours Source Cybelle Planète.59% des Français estiment que l’école seule ne peut pas préparer les individus aux enjeux du monde actuel. L’écovolontariat apparaît comme un moyen complémentaire et moins académique de transmettre des savoirs, un état d’esprit et une façon d’agir. Petite histoire parisienne Habitués du programme VEFA Volontariat Ecologique Franco-Allemand, cela fait maintenant cinq ans que le Centre Paris Anim’ Pôle Simon Lefranc 4e et le Centre Paris Anim’ Montparnasse 14e accueillent des éco-volontaires allemands. Et cela n’est pas près de s’arrêter ! L’avancée des Allemands en matière d’écologie est telle qu’elle permet à ces centres de loisirs de pousser leurs activités toujours plus loin sur le chemin du développement durable ! En effet, les jeunes éco-volontaires sont amenés à décliner le thème du développement durable dans les animations qu’ils proposent au public. Et leurs pratiques innovantes comme leurs nouvelles références ravissent les grands comme les petits, car elles enrichissent les animations. De la construction d’un hôtel à insectes à la projection de films dans le cadre du festival AlimenTERRE en passant par la diffusion des bons réflexes alimentaires pendant le goûter, tout le monde y trouve son compte. À noter ces deux pôles d’animation n’organisent pas le départ de Français en Allemagne dans le cadre du VEFA…du moins pas encore ! ». Outils et infos pratiques Guides Guide pour l’action – Dispositif de reconnaissance des engagements volontaires pour la stratégie nationale pour la biodiversité 2011-2020, Ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie à télécharger en ligne. Le guide de l’écovolontariat, Laurence Dupont, édition 2020, version numérique seulement à acheter sur Sites
Lebénévolat associatif vous ouvre la porte de dizaines de missions, certaines insoupçonnées et toutes valorisantes. Action sociale, urgence et opérations de secours, jeunesse, soutien aux activités, soutien psychologique, médico-social et sanitaire : la Croix-Rouge intervient grâce à vous dans des domaines variés.
Je commence par la mauvaise nouvelle vous ne changerez pas le monde en quelques semaines. Yongyuan Dai via Getty Images 5 conseils avant de partir en mission de volontariat à l’étranger. Yongyuan Dai via Getty Images Partir à l'autre bout du monde en mission de volontariat, c'est vrai que ça donne envie... D'autant plus qu'il est beaucoup plus facile aujourd'hui qu'il y a dix ans d'aller au-delà de donations à des causes humanitaires, et de mettre soi-même la main à la pâte de ce qu'on peut appeler la coopération citoyenne. Je travaille depuis plus de 25 ans dans le secteur du volontariat, et j'ai fondé en 2016 un portail indépendant pour le volontariat à l'étranger. Ici, je voulais partager les principaux conseils que je souhaite adresser aux candidats au départ, afin que leur engagement soit le plus épanouissant possible... pour toutes les parties concernées. • Soyez modeste Je commence par la mauvaise nouvelle vous ne changerez pas le monde en quelques semaines, ni même quelques mois. Alors, on remballe tout et on reste chez soi? Surtout pas! Ce n'est pas parce que votre engagement n'aura qu'un impact limité qu'il n'en vaut pas la peine, au contraire. J'ai toujours tendance à dire que votre aide commence véritablement après votre retour. Je m'explique. Le rôle essentiel du volontariat en Afrique, Asie ou Amérique latine est selon moi sa capacité à produire des citoyens du monde. Au cours d'une mission, un bénévole va tisser des liens avec des locaux et être témoin de leurs conditions de vie, souvent bien loin du confort matériel occidental. Ce type d'expérience développe notre capacité d'empathie, et nous rend plus sensibles à ce qui se passe loin de chez nous, et ce de manière durable. Un citoyen du monde, c'est pour moi quelqu'un qui ne zappe pas lorsqu'on parle au journal d'une crise qui ne le touche pas directement, qui s'engage au quotidien par exemple auprès d'associations, qui donne plus facilement à des organismes ou encore qui adapte ses habitudes de consommation à ses convictions. Car pour aider à changer les choses là-bas, c'est d'abord ici que ça se passe! • Fuyez les orphelinats Une mission qui vous propose de vous occuper de pauvres orphelins, ça sonne plutôt bien. De fait, les projets en orphelinat sont populaires auprès des candidats au départ d'une mission humanitaire, qui pensent réellement faire une bonne action. Ce qu'ils ne savent pas, c'est qu'en faisant cela, ils alimentent un trafic d'enfants. Les chiffres sont glaçants on estime que dans le monde, 80 à 90 % des enfants placés en orphelinats ont au moins un parent en vie. La plupart du temps, ces pseudo-orphelins sont séparés avec des fausses promesses de leur famille qu'ils ne revoient souvent jamais, pour pouvoir attirer l'argent des occidentaux. La solution pour lutter contre ce phénomène passez votre chemin et parlez-en autour de vous! Et heureusement, beaucoup d'autres projets utiles existent. • Identifiez les raisons qui vous poussent à partir Je ne doute pas de votre volonté de contribuer à rendre ce monde un peu plus juste en allant directement sur place donner un coup de main. En même temps, vous avez peut-être aussi d'autres motivations... Des études ont prouvé que nous n'aidons pas les autres que par pur altruisme. Et il n'y a pas de honte à cela, du moment que le projet est également bénéfique aux populations locales! Ce que je vous conseille de faire avant de partir, c'est d'identifier clairement ce que vous recherchez dans votre mission est-ce le voyage qui vous attire, la découverte d'une culture méconnue? Est-ce que vous cherchez à acquérir de nouvelles compétences ou à renforcer vos capacités linguistiques? Une fois que vous aurez identifié ce qui vous tient le plus à cœur, il vous sera plus facile de choisir une mission qui vous correspond vraiment et où vous pourrez être véritablement efficace. • Refusez de câliner des lionceaux Dans de nombreuses propriétés touristiques dans le sud de l'Afrique, on vous appâte à grand renfort de visuels de volontaires câlinant des bébés lions ou guépards. Difficile en effet de ne pas craquer, d'autant que les fermes de félins en question prétendent participer à la sauvegarde des espèces. La réalité est bien sûr tout autre une fois adultes, les lions seront livrés aux chasseurs de trophées, qui paient plusieurs milliers de dollars pour pouvoir les tuer dans des conditions truquées. Si vous souhaitez agir pour la protection des félins, optez pour des alternatives responsables, comme les projets où vous pourrez participer à la sauvegarde de leur habitat, et où vous aurez la chance de pouvoir les observer... avec des jumelles! • Préparez votre départ Partir au Togo ou partir en Thaïlande, ça n'est pas la même chose. Si vous partez en mission dans un pays dont vous ne savez rien ou presque, renseignez-vous du mieux possible sur son histoire, ses coutumes, ses religions,les faux-pas à ne pas commettre,ses problèmes et leurs origines,ses liens avec la France économiques, politiques,ses langues... son histoire, ses coutumes, ses religions, les faux-pas à ne pas commettre, ses problèmes et leurs origines, ses liens avec la France économiques, politiques, ses langues... Pour ce dernier point, je ne saurais que trop vous conseiller de ne pas vous reposer sur votre anglais. Apprendre ne serait-ce que quelques expressions dans la langue majoritairement parlée est un investissement qui en vaut la peine et qui est en général très apprécié par les locaux. Toute cette préparation au départ a aussi l'avantage de réduire les chances de subir un choc culturel à votre arrivée sur place. Alors, pourquoi vous en priver? À voir également sur Le HuffPost
Sivous postulez à nos offres d’emploi à l’étranger sur notre site, vous ne travaillerez pas seulement à l’étranger. Non, vous aurez la chance de vivre et travailler dans les plus beaux pays européens. Imaginez vous en train de siroter un cocktail sur une belle plage de Grèce ou de Malte, ou encore au Portugal. Les opportunités de job à l’étranger sont nombreuses via Anywork
Publié le 28/08/2006 à 0600, Mis à jour le 15/10/2007 à 1556 J'ai fait mon service militaire en Côte d'Ivoire, en coopération dans une ONG. Mais depuis que je travaillais, il ne m'était plus possible de faire du bénévolat international, et pourtant j'avais en... J'ai fait mon service militaire en Côte d'Ivoire, en coopération dans une ONG. Mais depuis que je travaillais, il ne m'était plus possible de faire du bénévolat international, et pourtant j'avais envie de continuer à m'investir. Un jour, j'ai appris qu'un collègue faisait partie d'une association dénommée Coup de pouce, qui permet à ceux qui travaillent et n'ont que peu de temps à donner, de s'investir dans des missions courtes. Ce concept m'a tout de suite séduit car il propose un engagement ponctuel sérieux.» Les projets proposés sont concrets et l'association garde un côté familial. Ce n'est pas l'usine à gaz et les responsables sont accessibles c'était très important pour moi. On a donc monté un groupe d'un dizaine de personnes, dont trois de chez Total, pour aider une association péruvienne à construire une cantine scolaire. En trois mois, le financement était bouclé et les détails anticipés au maximum, pour ne pas perdre de temps une fois sur place.» Quinze jours, ça passe vite. Pour le financement, notre entreprise a accepté de nous aider dans notre projet. Un de mes clients, à qui je racontais mes futures vacances, m'a même donné des ballons pour les enfants. La plupart de nos collègues ont été surpris en apprenant notre engagement ils ne savaient pas que cela existait mais étaient très enthousiastes. Maintenant que j'ai trouvé une association qui me convient, mon but est de faire une mission par an et d'embarquer des gens avec moi. » CodyCross Réponse » Saisons Groupe 72 » Grille 2 » Bénévolat à l'étranger dans des fermes Le jeu simple et addictif CodyCross est le genre de jeu où tout le monde a tôt ou tard besoin d’aide supplémentaire, car lorsque vous passez des niveaux simples, de nouveaux deviennent de plus en plus difficiles.
Codycross est un jeu mobile dont l'objectif est de trouver tous les mots d'une grille. Pour cela, vous ne disposez que des définitions de chaque mot. Certaines lettres peuvent parfois être présentes pour le mot à deviner. Sur Astuces-Jeux, nous vous proposons de découvrir la solution complète de Codycross. Voici le mot à trouver pour la définition "Bénévolat à l'étranger dans des fermes" groupe 72 – grille n°2 woofing Une fois ce nouveau mot deviné, vous pouvez retrouver la solution des autres mots se trouvant dans la même grille en cliquant ici. Sinon, vous pouvez vous rendre sur la page sommaire de Codycross pour retrouver la solution complète du jeu. 👍
Cest bon à savoir si, notamment, vous n'avez pas forcément la condition physique pour effectuer ce genre de tâches. En collaboration avec des associations locales et/ou des collectivités locales, les jeunes sont accueillis sur des missions de bénévolat de 2 à 3 semaines
Le volontariat de quoi va-t-on parler exactement ?Pour commencer, un peu de vocabulaireAvant de se lancer dans le volontariatTrouver une mission de volontariat sous contratTrouver une mission de volontariat hors cadreLes principaux répertoires d'annonces, récapitulatif globalFocus sur le volontariat dans l'environnement, l'écovolontariatFaut-il vraiment faire du volontariat ? Le problème du volontourisme Payer pour être volontaire c'est normal ?Trouver un organisme de volontariat responsableLes missions de volontariat à considérer éviterÊtre un bon volontaire les comportements à bannirLes formes de bénévolat alternativesRessources principales de référenceRemerciements Beaucoup de ceux qui décident de partir faire un grand voyage à l’étranger, ou même un tour du monde, envisagent de faire une parenthèse dans leur parcours pour faire du volontariat. On vous explique tout comment trouver une mission ? Combien ça coûte ? Comment être vraiment utile ? Quelles sont les erreurs à éviter ? … Le volontariat de quoi va-t-on parler exactement ? Le mot volontariat veut un peu tout dire. On vous passe la définition du dictionnaire. Dans cet article, on va parler essentiellement du volontariat comme une forme de travail altruiste, qui ne fait pas gagner un salaire, mais qui participe à développer un projet qui va servir le “bien commun” et qui se déroule au sein d’un groupe organisme local, ONG, association, etc.. Nous, on appelle ça du volontariat de solidarité. En puis, en fin d’article, on va aussi parler d’autres formes de bénévolats alternatives, pas forcément “solidaires” ou au sein d’un projet “d’intérêt général”. On appelle ça le volontariat ou plutôt exactement le “bénévolat alternatif”. Pour commencer, un peu de vocabulaire Les professionnels du monde du volontariat utilisent un vocabulaire bien à eux. Beaucoup de termes se ressemblent et c’est la confusion quand on n’est pas bien renseigné. Franchement, quand on comprend ce vocabulaire, trouver une mission de volontariat devient tout de suite beaucoup plus simple. Voici l’indispensable pour vous y retrouver. Volontariat sous contrat, les dispositifs de volontariat En France, le volontariat est un statut défini juridiquement. Il existe des contrats de volontariat, comme il existe des contrats de travail. Les contrats de volontariats ne s’appellent pas CDI ou CDD, mais VSI, SVE, SCV, VNU… Ces contrats sont régis chacun par des règles spécifiques et permettent de bénéficier d’une protection et d’avantages particuliers. Ils prévoient tous une indemnisation financière. Parfois, on parle de dispositifs de volontariat ce qui veut dire strictement la même chose. Les volontariats sous contrat sont avantageux et ils sont très demandés. Pour une offre de mission, il y a des dizaines, voire des centaines de candidatures. Ils sont donc très sélectifs. Apprenons un peu de vocabulaire, youpi ! Crédit Un enfant à lunettes avec un gros livre, Shutterstock Bénévolat et volontariat, c’est pas pareil Volontariat et bénévolat, ça veut dire travailler dans le cadre d’une mission d’intérêt général, sans recevoir de salaire. En France, on distingue le volontaire du bénévole. On parle de volontariat quand on a signé un contrat de volontariat, on a alors un statut reconnu de volontaire. En bénévolat, on ne signe aucun papier ou contrat. On n’a pas de statut reconnu officiellement juridiquement. On est donc considéré comme inactif d’un point de vue légal et on conserve le statut qu’on avait avant le bénévolat chômeur, retraité, étudiant…. Les frais liés à la mission d’un bénévole sont quasiment toujours entièrement à sa charge. Attention, le terme bénévolat ne signifie pas amateurisme ou manque de sérieux comme on pourrait le croire à tort. Simplement, le plus souvent, les petites structures qui n’obtiennent pas facilement des financements n’ont pas la possibilité d’envoyer des volontaires sous contrat sur le terrain. Elles font plutôt appel à des bénévoles. Volontariat hors cadre Le volontariat hors cadre, ou hors dispositif, c’est du bénévolat. Cela signifie simplement qu’on n’a pas signé de contrat et donc que l’on n’a pas le statut avantageux de volontaire. On doit financer son voyage et sa vie sur place entièrement. Les missions hors cadre sont moins demandées et il y a donc moins de concurrence. On croise souvent les expressions volontariat long terme, ou moyen terme VMLT. Ils désignent des missions hors cadre, allant de deux mois à un an. Les chantiers internationaux On pourrait croire qu’il s’agit de missions de volontariat pour faire de la construction. Tout faux ! Les chantiers sont des formes de volontariat, hors cadre, de court terme, adaptées aux jeunes sans formation ni expérience préalable. Ils ne se limitent pas à la construction. On peut aussi faire de l’animation, ou encore participer à des projets environnementaux ou culturels… Le terme chantier implique théoriquement que l’on est accueilli en groupe de volontaires internationaux, pour une durée courte, de quelques semaines. Il ne s’agit pas de missions en situation de crise d’urgence, en contact direct avec les populations les plus fragilisées. Cependant, certaines associations utilisent le terme chantier un peu "à leur sauce", par exemple pour des missions de moyen terme quelques mois. Il s’agit de bénévolat, tous les frais sont donc à votre charge. Attention, certains chantiers et le volontariat non qualifié sont parfois critiquables. Une réflexion personnelle et des précautions particulières sont à prendre avant de se lancer dans du volontariat non qualifié. Voir notre chapitre plus loin sur le volontariat non qualifié. Les faux amis Le tourisme solidaire ou voyage solidaire ce n’est pas du volontariat. C’est du tourisme conscient qui respecte l’environnement et dont les recettes profitent à l’économie locale. Le VIE et le VIA, volontariat international en entreprise ou en administration ce n’est pas du volontariat. Il s’agit de contrats salariés à l’étranger dans des entreprises à but lucratif ou des administrations publiques ambassades, consulats… Humanitaire et développement Le terme humanitaire est très souvent employé pour désigner l’action d’urgence, temporaire, en cas de guerre, de catastrophes naturelles, etc. Le terme développement est utilisé pour l’action de long terme et durable pour l’amélioration des conditions de vie. En réalité, les choses sont plus mêlées. Les grandes ONG qu’on associe à l’humanitaire, comme Médecins du Monde, s’attaquent aussi aux causes des problèmes en faisant de la prévention ou en agissant de manière durable sur le terrain. Dans l’humanitaire on devrait plutôt dire l’urgence, des compétences professionnelles solides sont toujours indispensables. Les associations de coordination et d’envoi de volontaires On parle aussi d’associations ou plateformes d’envoi de volontaires. Il s’agit d’une poignée de grosses associations à but non lucratif. Elles ne créent pas de projets, mais envoient des volontaires en France et à l’international, dans des organisations. Celles-ci agissent directement sur le terrain et n’organisent pas forcément de recrutement par elles-mêmes. Le travail des associations de coordination consiste, dans un premier temps, à repérer des organisations locales qui souhaitent accueillir des volontaires. Elles étudient leur fonctionnement, leur éthique, leur efficacité, l’utilité et la qualité des projets… Elles décident d’en "chapeauter" un certain nombre. Elles remontent leurs annonces de recherche de volontaires sur leurs sites. Elles s’occupent aussi du recrutement et coordonnent l’envoi et l’accueil des volontaires. Autant que possible, elles organisent des formations avant le départ. On y parle en particulier d’aspects inter-culturels. Elles effectuent aussi un suivi réussite des projets, mise à profit des volontaires… Les associations de coordination et d’envoi de volontaires ont des politiques différentes. Elles regroupent des projets dans des domaines plus ou moins ciblés. Elles s’adressent, selon l’association, à des professionnels ou à des personnes inexpérimentées. Elles envoient les volontaires sous contrat et/ou hors cadre… Par exemple, Solidarité Jeunesse cible plus particulièrement des projets qui permettent d’envoyer des jeunes peu ou pas expérimentés, essentiellement dans les domaines de l’environnement, de la culture, de la construction, dans des actions d’ordre sociales et d’éducation. Elle envoie les volontaires sous contrat SVE ou dans des chantiers hors cadre donc. Ces associations se donnent aussi très souvent une mission de promotion, d’information et d’orientation sur le volontariat au sens large. Retrouvez la liste de toutes les associations d’envoi de volontaire aux chapitres ci-dessous Les principaux répertoires d’annonces, récapitulatif global Avant de se lancer dans le volontariat Connaître ses motivations Connais-toi toi-même et tu connaîtras l’univers et les dieux. Socrate, philosophe renommé Les motivations qui nous poussent à vouloir faire du volontariat de solidarité sont nombreuses, complexes et sont souvent plus ou moins inconscientes. Il est important de faire un peu d’auto-analyse pour identifier clairement ses motivations propres, les hiérarchiser, savoir à quel point on est prêt à s’investir et ainsi être mieux à même de bien orienter ses recherches de missions et arriver sur place avec l’attitude positive de celui qui sait exactement pourquoi il est là. Être clair avec soi-même évite d’être déçu et d’en faire porter les conséquences à ceux qui nous accueillent. Socrate, le fameux philosophe en question Crédit Socrate, Shutterstock Les motivations spécifiques du voyageur Pour le grand voyageur, qui envisage le volontariat comme une parenthèse au cours de son parcours, faire du volontariat de solidarité à l’étranger est un moyen de vivre une expérience exceptionnelle au plus proche d’une culture différente, de voir par soi-même les problèmes dont on entend seulement parler chez soi, de donner un peu de sens à un voyage autrement un peu trop "touristique", tourné sur soi… Mais si l’envie de rencontre et l’enrichissement sur le plan personnel, "sortir des sentiers battus" sont les motivations primordiales et que l’envie de s’engager pleinement et sincèrement pour les autres est seulement secondaire, alors peut-être vaut-il mieux s’orienter vers du volontariat en dehors du cadre de la solidarité voir le chapitre volontariat alternatif. Et puis, on peut aussi voyager dans un but essentiellement touristique, sans faire de volontariat et vivre des expériences fortes, en dehors des sentiers battus, aux plus proches des locaux. Il suffit de s’en donner les moyens et d’avoir un peu l’esprit d’aventure. Pourquoi le volontariat ailleurs ? Attention aux logiques, pays du Sud = besoin d’aide = besoin de moi. Certains, partant de cette logique, n’envisagent pas de partir dans un pays du Sud sans faire de volontariat. C’est mal considérer ces pays qui agissent chez eux pour eux-mêmes et n’attendent pas les bras ballants qu’on vienne les aider. On peut déjà exprimer sa solidarité en agissant chez soi, par des dons et en voyageant selon les principes du tourisme solidaire l’argent dépensé profite aux locaux, on minimise son impact environnemental, etc. En quoi puis-je être utile ? Une fois qu’on est sûr de vouloir faire du volontariat, reste à déterminer comment. C’est évident, la meilleure façon d’aider est de faire ce que l’on aime et idéalement de mettre à profit son expérience professionnelle. Il est tout à fait possible que vos compétences viennent combler un manque localement et soient recherchées par tel ou tel projet. On pense immédiatement aux métiers de la santé, médecins, infirmiers… mais les profils recherchés sont très variés. Il se peut qu’un projet nécessite des volontaires comptables, charpentiers, ingénieurs, informaticiens, enseignants… Pas la peine d’aller chez le conseiller d’orientation cette fois Quand on n’a pas de compétence particulière, on a bien peu de chance d’être très utile concrètement. Il ne faut pas pour autant proscrire le volontariat. On apporte toujours avec soi sa différence culturelle ce qui peut être enrichissant pour les locaux qui en retirent une certaine ouverture sur le monde. Sur le plan personnel, on acquiert des savoirs-faire et des savoirs-être, une plus grande compréhension des enjeux de la solidarité et finalement l’expérience du volontariat "là-bas" est souvent une étape dans un processus d’engagement qui vous permettra de vous rendre plus utile plus tard. Dans les pays du Sud, très souvent, en tant que volontaires, on participe à financer des organisations locales qui font bon usage de cet argent. Attention tout de même, le volontariat non qualifié soulève beaucoup de questions éthiques qu’il ne faut pas prendre à la légère. On en parle dans le chapitre faut-il vraiment faire du volontariat ? Trouver une mission de volontariat sous contrat Comme expliqué plus haut dans le chapitre, signer un contrat de volontariat donne le statut officiel de volontaire, avec les droits et protections spécifiques qui dépendent du contrat. Moins de 6 mois, c’est possible Quand on est un grand voyageur, en cours de tour du monde par exemple, on ne prévoit généralement pas de s’engager plus de 6 mois dans son parcours pour faire du volontariat. Les possibilités de volontariat sous contrat de courte durée sont assez réduites. C’est bien simple, il n’existe que le SVE. SVE, service volontaire européen Les volontariats en SVE EVS en anglais se font toujours au sein de l’Europe, pour une durée de 2 à 12 mois maximum. Le volontaire est pris en charge totalement et reçoit, en plus, une indemnité dont le montant est variable selon le pays et la mission. Les SVE sont toujours des missions d’intérêt général, dans des domaines variés, excluant les situations d’urgence où les volontaires seraient exposés à des risques. Pour postuler à une offre, il faut avoir moins de 31 ans et être originaire d’un des pays européens partenaires. Il n’y a aucun prérequis technique, à part une maîtrise minimum de l’anglais. Il faut postuler au moins quatre mois à l’avance, envoyer une lettre de motivation et un CV en anglais. La plus grande base de données d’annonces de missions se trouve sur le site officiel du SVE, le Portail Européen de la Jeunesse. Pour trouver encore d’autres annonces, on peut consulter directement les très nombreux sites des organisations d’envoi, de coordination et d’accueil SVE. La liste complète des organisations accréditées SVE se trouve sur le Portail Européen de la Jeunesse par thème d’action et par pays. Le plus simple est de contacter dans un premier temps un organisme d’accueil et de postuler. Si on est accepté, il faut obligatoirement passer par une organisation d’envoi et de coordination qui prend en charge les SVE. La plus importante en France pour les SVE est Solidarités Jeunesses. Elle se chargera de tout l’administratif, de la coordination de l’envoi avec l’organisation d’accueil et de la préparation avant le départ. 6 mois minimum, 1 an ou plus S’engager plus de 6 mois comme volontaire, c’est une décision qu’on mûrit longtemps. Un tourdumondiste envisage rarement une expérience de ce type au milieu d’un voyage de découverte essentiellement touristique. Les grands voyageurs déjà "expérimentés" développent très souvent des valeurs humaines et un état d’esprit beaucoup plus tourné vers les autres. Ils ressentent souvent au bout d’un moment le besoin d’arrêter de voyager pour voyager. Mais ils ne se voient pas reprendre leur ancienne vie dénuée "d’esprit d’aventure" et se posent très souvent des questions existentielles sur leur utilité profonde et le sens de la vie oui, oui. Pour ceux-là, le volontariat de long terme à l’étranger peut être une expérience à considérer. Service civique volontaire À l’origine, le service civique ou civil était une alternative au service militaire. Aujourd’hui, il s’agit d’un type de contrat de volontariat qui sert l’intérêt général, dans la solidarité, l’environnement, la culture, la citoyenneté ou l’éducation. Il faut avoir moins de 26 ans ou jusqu’à 30 ans pour les personnes en situation de handicap. La grande majorité des offres sont en France, mais quelques-unes se situent à l’étranger. Ces dernières sont beaucoup plus prisées. Le service civique est indemnisé environ 500 euros par mois. La durée d’un service civique est de six mois minimum et d’un an maximum. Il n’y a aucun pré requis en termes de formation, de compétences particulières, d’expériences professionnelles ou bénévoles préalables. La majorité des missions de service civique sont référencées sur le site officiel du SCV VSI Volontariat de Solidarité International Le VSI est un type de contrat de volontariat adapté à l’engagement de long terme. Les missions en VSI requièrent le plus souvent une formation ou une expérience professionnelle. La durée des missions est de minimum un an et de maximum six ans. Ce type de contrat est le plus protecteur. Il garantit une formation de départ, une indemnité sur place, certains avantages en nature, la prise en charge du voyage, une assurance, une indemnité de réinsertion, une validation d’acquis officielle, etc. Il est intéressant de savoir que l’engagement en VSI est un motif légitime de démission. On touche donc normalement des indemnités chômage. 27 associations en tout sont agréées pour l’envoi de volontaires en VSI. Voici dans ce tableau la liste complète des assos d’envoi de volontaires en VSI avec leur description, domaines d’action, les profils qu’elles recherchent… Le site officiel d’information sur le VSI est VNU, Volontariat des Nations Unies Le VNU est un contrat de volontariat qui s’adresse aux personnes très qualifiées. Il faut avoir plus de 25 ans, au moins un bac+2 et deux ans d’expérience professionnelle pour être recruté. La grande majorité des missions durent entre six mois et un an. Il faut quatre à six semaines entre le contact initial et l’envoi sur le terrain. Le volontaire en VNU reçoit une indemnité mensuelle, une indemnité de réinsertion, ainsi qu’une assurance santé et rapatriement. Pour un VNU, on ne postule pas à une mission, mais on dépose juste son CV. Les associations des Nations Unies sur le terrain viennent ensuite proposer aux personnes sélectionnées une mission correspondant à leur profil. Il est aussi possible d’être volontaire dans son pays et même d’être volontaire en ligne. Les différentes associations des Nations Unies UNICEF, UNESCO… placent toutes leurs annonces sur le site Mission d’observation civile, Volontaire pour la paix L’intervention civile de paix repose sur le principe de la non-violence pour défendre les droits de l’homme et tenter de résoudre des conflits. Quelques rares ONG envoient des volontaires étrangers civils, non armés, sur le terrain de conflits pas de guerres ouvertes. Ils ont une mission d’observation, d’information, d’alerte ou de médiation, pour réduire ou faire cesser la violence. Selon le financement, les volontaires signent un contrat de volontariat français SVE ou VSI, dans le cas contraire on signe un contrat spécifique ne donnant pas le statut officiel de volontaire. Il spécifie qu’au minimum les frais d’envoi, les assurances et le coût de la vie des volontaires sur place sont toujours pris en charge. Les Peace Brigades, les volontaires pacifistes Crédit Peace Brigades international Le Collectif Guatemala et surtout la Peace Brigade International PBI envoient quelques volontaires chaque année sur le terrain. Les volontaires doivent recevoir une formation de plusieurs semaines dans leur pays d’origine. L’engagement minimum est généralement d’une année. Trouver une mission de volontariat hors cadre Le volontariat sous contrat est très sélectif. Il s’organise difficilement en cours de voyage et impose des durées d’engagement généralement assez longues. En hors cadre et donc en tant que "bénévole", il faut, dans l’immense majorité des cas, financer entièrement sa vie sur place soi-même et souvent aussi ajouter une participation au financement de l’organisation d’envoi et d’accueil. Malgré tout, cela reste la formule la plus simple et donc la plus adaptée pour faire du volontariat de solidarité pour les grands voyageurs. On peut trouver des missions de toutes durées, très qualifiées ou pas du tout et dans toutes sortes de domaines. Rechercher parmi les organisations officielles, c’est bien Il existe des milliers d’organisations qui accueillent et envoient des volontaires hors cadre à l’étranger. Une bonne façon de faire le tri est de commencer ses recherches parmi les organisations financées par le Ministère des Affaires Étrangères. En effet, on peut considérer cette reconnaissance officielle comme une sorte de "label de qualité". La majorité d’entre elles n’envoient des volontaires que sous contrat, mais pas toutes. Allez voir notre chapitre suivant Les répertoires d’annonces principaux et faites vos recherches dans les listes en utilisant les termes bénévolat, volontariat hors cadre, volontariat moyen/long terme, ou chantiers. Chercher sur place Que l’on ait fait des recherches préalables ou non sur internet, pendant un tour du monde, on a facilement l’occasion de découvrir des initiatives locales, directement sur place. Par simple politesse, essayez de les contacter par email ou téléphone avant de vous présenter sur place. On rencontre parfois au cours de son voyage, par hasard, des volontaires à qui il ne faut hésiter à poser des questions. L’association internationale France Volontaire a un réseau d’espaces de volontariat des bureaux pour être clair dans de nombreux pays. Ils peuvent vous aiguiller vers une bonne organisation locale, même en dehors de leur propre réseau. Cette façon de s’y prendre a le grand avantage de permettre de se rendre compte par soi-même du fonctionnement des choses et de la manière concrète dont on peut se rendre utile avant de s’engager. Le contact direct vous permet d’être absolument sûr que vous serez apprécié pour ce que vous pouvez apporter. De plus, vous conservez ce qui fait le bonheur de tous les jours pendant un tour du monde, votre flexibilité. En effet, en vous organisant à l’avance et en passant par une plateforme de coordination de volontariat, vous devez prévoir votre date d’arrivée dans un endroit précis. C’est une contrainte. Chercher sur place ça marche bien Crédit main porte en bois, Shutterstock Plateformes de mises en contact internationales On a trouvé quelques sites bien pratiques qui font uniquement de la mise en relation entre postulants et organisations locales qui cherchent des volontaires. Ces plateformes sont des grands listings d’annonces du monde entier rien de plus. Elles ne font pas du tout le tri parmi "bons ou mauvais projets", "bonnes ou mauvaises" organisations, ni aucun contrôle ou suivi. On y trouve plein de projets certainement très bien, mais attention, on a aussi constaté que ces sites sont truffés d’annonces de projets très critiquables. Aucun contrat n’est jamais signé, il s’agit donc toujours de bénévolat hors cadre. Worldwidehelpers Worldwidehelpers est un site anglais. Leurs mentions légales indiquent qu’ils sont à but non lucratif financés par les dons et leur service est gratuit. Volunteerworld offre exactement le même service que Worldwidehelpers, mais ce site est bien à but lucratif. Volunteerworld se finance en prenant un pourcentage sur les frais de participation des volontaires aux projets. Cela pousse à la marchandisation du volontariat, ce qu’on trouve mal. D’ailleurs, on y trouve énormément d’annonces d’agences de voyage de volontourisme. On préfère donc Worldwidehelpers. Workway, Helpx à la différence de Volunteerworld et Worldwidehelpers, Workaway et Helpx sont des sites d’annonces de jobs bénévoles dans tous les types de domaines. On y trouve entre autres pas mal d’annonces concernant du bénévolat de solidarité. Comme il est clair dans le principe même du site que les annonces listées ne doivent normalement pas impliquer d’échange d’argent on y trouve beaucoup moins de projets "un peu louche". On doit simplement payer une vingtaine d’euros pour obtenir les infos de contact liées aux annonces pendant deux ans. Des précautions à prendre Attention, en hors cadre et en dehors des organisations "officielles" plus encore, on trouve tout et n’importe quoi et on peut facilement se retrouver à faire du mauvais volontariat dans une organisation ayant des comportements peu éthiques ou même à but en réalité complètement commercial et lucratif. Il faut absolument se renseigner de manière approfondie sur les missions et organisations pour éviter de mal tomber voir plus loin les chapitres trouver un organisme de volontariat responsable et missions de volontariat à considérer éviter Les principaux répertoires d'annonces, récapitulatif global Au niveau mondial, il existe un nombre incalculable d’organisations qui envoient et accueillent des volontaires. Il est donc impossible d’en faire une liste absolument exhaustive. Ci-dessous, voici une liste synthétique, probablement la plus complète du web. On a retenu en priorité, les répertoires d’annonces d’organisations reconnues officiellement par la France. Ce chapitre reprend les sites déjà cités précédemment, qui sont spécialisés par types de contrats et en contient d’autres, plus généraux, sur lesquels on trouve des missions sous tous types de contrats, ou hors cadre. Répertoires d’annonces de sites gouvernementaux Le Corps Européen de la Solidarité Le Corps Européen de la Solidarité vient d’être créé en décembre 2016, mais ne devrait réellement démarrer qu’au printemps 2017. On peut déjà s’informer et s’inscrire à partir du Portail Européen de la jeunesse et sur leur page Facebook. Le CES fonctionnera comme un portail d’annonces. C’est un service officiel de mise en relation entre les postulants et les organismes agréés associations, entreprises, ONG, etc. qui proposera des missions dans le domaine de la solidarité en Europe. On s’inscrit et on crée un profil détaillé comprenant notamment son CV. Les postulants peuvent rechercher un organisme et les organismes eux aussi peuvent rechercher les profils et contacter ceux qui les intéressent. On y trouvera des missions en volontariat de tous types sous contrat uniquement, mais aussi des offres d’emploi avec contrats de travail dépendant de la législation du pays. Seuls les jeunes de moins de 30 ans de l’Union Européene pourront postuler. Les jobs et missions auront une durée comprise entre deux et douze mois. Les associations de coordination et d’envoi de volontaires Au cas où vous auriez lu en diagonale, vous trouverez la définition exacte des associations de coordination et d’envoi de volontariat précédemment, dans le chapitre Un peu de vocabulaire. Action d’Urgence Internationale Compagnons Bâtisseurs Concordia Études et Chantiers/UNAREC Jeunesse et Reconstruction Service Civil International, SCI Solidarités Jeunesses Union REMPART Gingko Planète Urgence Service Volontaire International Volontaires Nature, A Pas de Loup Cybelle Planète Coordination Sud Le méga listing d’annonces global Coordination Sud est la coordination nationale des ONG françaises de solidarité internationale. À peu près toutes les organisations d’envoi de volontaires françaises en font partie, y compris les associations de coordination et d’envoi listées ci-dessus, soit environ 130 en tout. Coordination Sud propose un répertoire d’annonces qui regroupe les offres de missions de volontariat tous types de contrats et hors cadre, d’emploi et de stage d’une bonne partie de ses membres, ainsi que d’acteurs extérieurs. C’est donc un endroit incontournable pour faire ses recherches. Voir le répertoire d’annonces de Coordination SUD Plateformes de mises en contact internationales Worldwidehelpers – Volunteerworld – Workaway – Helpx – Voir ci- dessus pour en savoir plus sur les plateformes de mises en contact internationales. Listes des organisations officielles qui envoient des volontaires à l’étranger La liste complète de Ritimo Ce n’est pas un répertoire d’annonces, mais la meilleure liste existante des organisations qui envoient des volontaires à l’étranger. Chaque organisation ayant généralement sur son site une rubrique annonces, cette liste est extrêmement pratique. Elle se trouve dans le Guide des acteurs de la solidarité. Il s’agit d’un livre édité par les éditions Ritimo. Parmi tous les acteurs de la liste environ 350, le guide dénombre plus d’une centaine d’organisations qui envoient des volontaires à l’étranger. Le critère de sélection principal est qu’elles soient toutes officiellement soutenues par la France. Chacune des organisations est décrite assez précisément. C’est idéal pour trouver celle qui vous correspond. Ce livre est malheureusement épuisé, mais comme on pense que cette liste est extrêmement utile et pratique dans une recherche de volontariat, on prévoit de la recopier ici très bientôt si on obtient l’accord de l’éditeur. En attendant, il est possible de consulter le Guide des acteurs de la solidarité dans un des centres d’information sur la solidarité Ritimo. Ces centres sont nombreux et méritent une visite. Il y en a sûrement un près de chez vous. Ils ont plein de documentation et d’autres livres qu’on conseille dans notre chapitre en savoir plus. La liste de tous les centres Ritimo ici. Crédit Ritimo Focus sur le volontariat dans l'environnement, l'écovolontariat C’est quoi L’écovolontariat consiste à offrir son travail dans des missions de préservation de l’environnement et de la vie animale. Il ne faut pas le confondre avec l’écotourisme, ou le tourisme équitable et solidaire qui sont des formes de tourisme respectueuses de l’environnement et des populations locales, mais où l’on ne travaille pas. Trouver des missions d’écovolontariat On trouve des missions d’écovolontariat de la même façon que n’importe quel autre type de volontariat. C’est-à-dire de manière indépendante, en contactant directement les ONG et organisations locales qui travaillent sur le terrain ou en passant par les plateformes de coordination et d’envoi de volontaires. Quelques Plateformes spécialisées écovolontariat Cybelle planète – Volontaires Nature, À Pas de Loup – J’agis pour la nature Volontariat ou écovolontariat ? Le volontariat dans l’urgence ou le développement implique un travail rapproché avec les populations locales. Ce sont elles qui subissent les conséquences négatives au cas où l’on choisirait une mauvaise mission ou une mauvaise organisation. Dans l’écovolontariat même dans ce cas, les dégâts sont tout de même généralement moins importants. Attention aux pièges Premièrement, il se peut qu’à y regarder de près les projets ne soient pas scientifiquement solides. Dans l’univers de l’écovolontariat, le risque qu’on en veuille à votre argent et qu’on ne s’intéresse finalement pas tellement à ce que vous faites sur place est plus important. C’est encore plus courant dans le bénévolat avec les animaux. Il faut bien se renseigner avant de s’engager. Les organisations, surtout dans les pays du Sud, qui imposent une participation financière au fonctionnement de l’association hors coût sur place sont particulièrement répandues. Ce coût peut être acceptable voir le chapitre payer pour être volontaire, c’est normal ? ou carrément abusif, ce qui est le cas dans les agences de volontourisme à but lucratif qui sont à éviter voir le chapitre les agences de volontourisme. Parfois, les structures locales sont en fait des centres touristiques qui, sous couvert d’écovolontariat, font venir des étrangers qu’ils considèrent avant tout comme des clients. Être cohérent Certaines formes de voyages sont ultra-polluantes. Le tourdumondiste moyen prend plus de dix fois l’avion en un an. Voyager de cette façon et faire de l’écovolontariat c’est plutôt paradoxal. Il semble assez évident qu’avant de chercher à agir sur les conséquences de la pollution, il vaut mieux commencer par polluer le moins possible soi-même. On peut voyager loin et très longtemps en polluant extrêmement peu. C’est même assez facile quand on voyage longtemps et on vous encourage à essayer. C’est le thème d’un de nos dossiers ultra-complet sur ce site Limiter son empreinte écologique en voyage. Un bon livre sur le sujet Un bon bouquin sur l’écovolontariat L’excellente association Aventure du bout du monde ABM a publié un livre Le tour du monde de l’écovolontariat. Laurence Dupont l’auteur y donne plein d’explications vraiment utiles pour comprendre le monde de l’écovolontariat et plein d’adresses et de descriptions de lieux et d’associations pour trouver des missions dans le monde. Vous pouvez l’acheter ici. Faut-il vraiment faire du volontariat ? Le problème du volontourisme Faire du volontariat pendant son tour du monde, c’est du volontourisme ! Les tourdumondistes qui pratiquent le volontariat s’engagent généralement sur de courtes périodes, excédant très rarement plus de trois mois. Leur venue en terre étrangère n’est pas prioritairement motivée par le volontariat, mais par le tourisme. À ce titre, même si les tourdumondistes volontaires ont trouvé par eux-mêmes une organisation locale dans laquelle s’engager et que la partie volontariat et la partie touristique s’enchaînent, on peut parler de “volontourisme”. Ce terme est souvent utilisé de manière péjorative. C’est parce que le volontourisme pose des questions éthiques très complexes sur lesquelles il faut réfléchir avant de s’engager de manière irresponsable et, finalement, faire plus de mal que de bien, sans même en prendre conscience. Il ne s’agit pas ici de décourager complètement le volontourisme, mais de vous aider à choisir de manière critique, consciente et responsable les organisations dans lesquelles vous allez vous investir, pour que votre expérience de volontourisme soit bénéfique pour vous-même autant que pour la communauté d’accueil. Comprendre le business du volontourisme Le volontourisme s’est développé à un rythme hallucinant ces dernières années. En dehors du volontariat sous contrat, on demande presque toujours aux volontaires de participer financièrement au fonctionnement des structures qui les encadrent, en plus de leur coût sur le terrain. On parle de milliards de dollars apportés chaque année de cette façon “aux pays pauvres”. Cette énorme quantité d’argent a bouleversé le secteur du volontariat. Pour capter cette manne financière, de nombreuses organisations locales cherchent à attirer les volontaires, quels qu’ils soient, de façon irresponsable. Des organisations pas si bienfaitrices que ça ont pour but réel d’enrichir quelques personnes. Et puis, les agences de volontontariat commerciales se sont multipliées. Le problème des agences de volontariat commerciales Grâce à un “excellent” marketing, elles trustent les premières places dans les moteurs de recherche. Les plus connues sont le WEP, Working Abroad et Project Abroad. Bien qu’elles utilisent les mêmes codes et le même vocabulaire que les organisations à but non lucratif, il s’agit d’entreprises commerciales qui vendent des séjours de volontariat au prix fort, près de 2500 € le séjour de deux semaines, billets d’avion non compris. Bien que beaucoup des projets qu’elles portent ont un impact indéniablement positif, on vous recommande vivement de les éviter et on vous explique pourquoi… Entreprise commerciale et humanitaire, c’est incompatible ? Comme toute entreprise, elles font des profits et rémunèrent des actionnaires. Le principe même qu’un très petit nombre de personnes à leur tête puissent librement disposer de l’ensemble des bénéfices alors même qu’elles oeuvrent dans l’humanitaire nous paraît très critiquable. L’humanitaire n’est pas un secteur d’activité comme les autres. Il nous semble que le modèle associatif à but non lucratif lui est mieux adapté. Il donne aux adhérents le droit de vote et donc un pouvoir de contrôle sur la direction et protège de potentielles dérives. Project Abroad la plus importante des agences de volontariat commerciales déclare 7 % de bénéfices, plus de deux millions d’euros par an. Le montant des dividendes versés aux actionnaires quelques personnes est déclaré “modeste” selon leurs termes, tout de même environ 600 000 € par an en moyenne sur les cinq dernières années cf dont près de 75 % pour Peter Slowe le créateur de l’entreprise, à qui on doit reconnaître le mérite d’avoir investi personnellement dans le capital et d’assumer les risques de la conduite de la société. On vous laisse juger si ça vous semble exagéré. Missions trop chères, de l’argent mal dépensé Le tarif important des séjours se justifie principalement par des coûts organisationnels réellement élevés. La part revenant directement aux organisations locales partenaires est infime. Cependant, ce qui nous gêne le plus dans ce modèle de volontariat, c’est qu’il s’adresse avant tout aux jeunes sans expérience ni qualification. Dans bon nombre de projets, le prix du séjour de deux semaines d’un seul volontaire permettrait de créer un ou même plusieurs emplois locaux salariés à l’année à des tâches équivalentes ou plus qualifiées, ce qui aurait bien plus d’impact pour lutter contre les problèmes ciblés. Project Abroad dans le collimateur des médias et des pros du secteur En tant que leader dans son domaine, Project Abroad est aussi la plus controversée. Certains professionnels d’associations reconnues qui envoient des volontaires à l’étranger, comme Nago Humbert, président de Médecins du Monde ou Pierre de Hanscutter, celui du SVI, lui reprochent notamment de confier des tâches qualifiées à des volontaires sans aucune expérience ou diplôme dans le domaine de l’enseignement et même dans celui de soins médicaux. Pierre de Hanscutter s’inquiète de l’éthique de Project Abroad. À un journaliste du journal Le Temps, il déclare “c’est la Disneylandisation de la misère”. Effectivement, en regardant une des vidéos de l’entreprise, on a plutôt envie de se ranger à son avis “Que penserait ce Ghanéen atteint de la lèpre, s’il savait que le jeune étranger blanc sans aucune qualification qui fait son bandage a payé plusieurs milliers d’euros son court séjour ?” Nous, on y voit quelqu’un à l’utilité très discutable qui “joue au docteur” et véhicule une image néo-colonialiste. Pour Project Abroad, c’est un stage pour tester son projet professionnel. Particulièrement inquiétante, une enquête d’Al Jazeera de 2012 a montré comment Project Abroad a été impliqué dans une affaire sordide d’orphelinat au Cambodge, tourné en business, où les enfants étaient maltraités et où l’un de leurs volontaires a été condamné pour “abus sur mineur”. De quoi questionner la façon dont Project Abroad sélectionnait ses partenaires et ses volontaires au moment des faits. Face à l’accumulation de critiques négatives, bien que Project Abroad ne manque pas d’arguments pour se défendre et semble réagir et améliorer ses pratiques, on préfère rester méfiants. Mini reportage sur Project Abroad En savoir plus Les arguments et témoignages à charge contre ces agences sont encore très nombreux et ont tendance à les diaboliser de façon sans doute excessive. On vous recommande de vous faire votre propre avis en consultant leur site internet d’un regard ouvert, mais critique, en regardant le reportage ci-contre et en lisant un des articles et reportages de la très complète revue de presse de sur ou celle de Non au tourisme humanitaire, à commencer par celui du quotidien Le Soir Le nouveau tourisme de la misère» payer pour aider des réfugiés. Les dangers du volontariat sans qualification dans le secteur de la solidarité internationale Plutôt que de choisir un engagement un peu au hasard, le mieux est donc de prendre le temps d’en trouver un qui puisse correspondre au mieux à vos compétences. Tout le monde n’a pas de capacités particulières à offrir lors d’un volontariat. On peut penser que la bonne volonté et l’énergie sont suffisantes pour se rendre utile. C’est vrai, en général. Pourtant, quand il s’agit de volontariat dans le secteur de l’urgence ou du développement peut-être le plus complexe qui soit et à l’étranger dans un pays pauvre, alors, selon nous, ça ne suffit généralement pas. Campagne Aider plus loin, Une hippie passe un entretien d’embauche Cette pub polémique de Solidarité Internationale est tout de même trop catégorique à notre goût Volontariat non qualifié, être considéré comme un portefeuille Le web regorge d’annonces pour des volontaires, même sans aucune expérience ou savoir-faire particulier. Comme expliqué plus haut, ce nombre impressionnant s’explique avant tout par le fait que faire venir un volontaire est un excellent moyen de financement. En épluchant les annonces, on s’aperçoit que la cotisation très couramment demandée est d’environ 200 à 500 euros par mois, parfois bien plus. C’est largement supérieur au salaire mensuel moyen de la plupart des pays d’Afrique 87 € au Sénégal. Il est difficile de savoir si on sera vraiment apprécié pour son travail sur le terrain ou avant tout considéré comme un moyen de renflouer les comptes. Quand on est complètement inexpérimenté, le doute est largement justifié. On peut d’ailleurs aussi se poser la question, dans une moindre mesure, quand on est qualifié. À notre avis, l’argent fausse les relations. Il y a une souvent une certaine hypocrisie dans le contrat de départ. Si on veut être sûr d’être apprécié sincèrement pour ce que l’on fait, alors il ne faudrait pas payer plus que ce que l’on coûte pour être volontaire. Ceci dit, il n’est pas inacceptable de payer un peu plus. On parle plus en détail de cet aspect monétaire dans le chapitre qui suit Payer pour être volontaire c’est normal ? The Voluntourist Ci-dessus, un mini docu très pertinent de Chloé Sanguinetti sur le volontourisme. Prenez le temps de le regarder. Le volontariat, une nouvelle sorte de colonialisme L’expression est peut-être un peu forte. Pourtant, la simple présence en tant que volontaire occidental dans un pays pauvre du Sud a un impact qu’on peut estimer négatif. L’image de l’Occidental privilégié qui vient en sauveur régler les problèmes de “ces pays pauvres qui ont tant besoin de leur aide” est répandue. Il y a quelque chose d’infantilisant à voir débarquer de riches étrangers occidentaux toujours plus nombreux chez soi pour venir aider à régler nos problèmes “à notre place”. C’est encore plus vrai dans les pays qui ont une histoire coloniale. Quand ces Occidentaux sont, en plus, non qualifiés et viennent aider à des tâches qu’on est capable de faire soi-même, c’en est presque humiliant, d’autant plus que tout le monde sait que l’argent qu’ils ont dans les poches permettrait de faire tellement plus. Même en arrivant avec toute l’humilité du monde, il faut l’accepter, venir faire du volontariat dans un pays du Sud, c’est contribuer à alimenter presque inévitablement cette vision des choses. Volontariat non qualifié, faire plus de mal que de bien C’est justement quand les volontaires ont le moins de savoir-faire qu’ils sont les plus susceptibles d’intégrer un organisme non éthique ou de s’engager dans une mission dans laquelle ils auront un impact finalement plus négatif que positif sur les communautés locales, voir plus loin Les missions de volontariat à éviter Alors il ne faudrait pas faire de volontariat non qualifié à l’étranger ? On n’est pas si catégorique. Les volontariats où l’on ne travaille pas directement avec les populations très fragiles sont beaucoup moins risqués, par exemple dans la culture, la conservation du patrimoine ou l’écovolontariat… Cependant, c’est bien notre avis dans les cas ou le volontariat se déroule dans l’action d’urgence. On pense aussi qu’il vaut mieux éviter le volontariat dans les “pays pauvres” du Sud dans le secteur du développement, à moins d’avoir trouvé un très bon projet adapté, dans un bon organisme, après les recherches et vérifications approfondies indispensables et d’être formé efficacement avant le départ et sur place, d’être bien encadré et de s’engager sur une période suffisamment longue. A contrario, quand on vient avec des compétences particulières qui manquent sur place et sont demandées, le travail du volontaire peut être beaucoup plus rapidement efficace et avoir un impact bien plus positif sur les communautés locales. Même s’il y a toujours un aspect “paternaliste” négatif à notre présence en tant que volontaire occidental, ça vaut le coup. Alors, comment se rendre utile autrement ? En faisant un don à un bon organisme. En adoptant un comportement et des habitudes de consommation en accord avec ses valeurs. En s’investissant dans une association chez soi. En développant les compétences qui permettront de s’engager plus efficacement une prochaine fois. En choisissant un engagement de long terme, comme un VSI, au cours duquel on sera formé pour acquérir les compétences nécessaires à sa mission. En s’intéressant à la politique, au contexte global, aux relations internationales et à son impact sur les pays du Sud. En votant pour les candidats qui vont agir pour les changements qu’on veut voir dans le monde. Et si votre priorité est plutôt l’enrichissement personnel et les rencontres fortes au plus proche des locaux, il existe d’autres formes de travail volontaire en dehors du champ de la solidarité au sens strict. Par exemple, le Wwofing et le Twaming. On vous en parle plus loin dans le chapitre Les formes de volontariats alternatives Payer pour être volontaire c'est normal ? En volontariat hors cadre bénévolement on demande dans l’immense majorité des cas de payer. Pourquoi devrait-on payer, alors qu’on propose déjà de travailler gratuitement ? Voilà de quoi vous faire votre avis. Les coûts normaux du volontaire Premièrement, c’est compréhensible, il faut le plus souvent payer son coût sur place, hébergement, nourriture, transports, etc. Ensuite, si on passe par une plateforme d’envoi de volontaires, il est aussi demandé de participer à son financement à hauteur d’environ 100 à 200 € généralement. On peut le comprendre, car il s’agit d’organismes à but non lucratif. Elles ne sont pas toujours subventionnées à 100 % par l’État. Même les campagnes de dons en plus, ne suffisent pas toujours à couvrir leurs frais de fonctionnement. Et puis, leur utilité est évidente voir la définition détaillée dans le chapitre un peu de vocabulaire Participer en plus au financement de la structure d’accueil pour ou contre ? En volontariat hors contrat, on doit aussi presque toujours participer au financement de la structure qui nous accueille. Le plus souvent, dans les pays pauvres, elles ne reçoivent aucun financement public. Leur survie dépend parfois en grande partie des participations versées par les volontaires. En ce sens, cette participation financière est parfaitement acceptable et même une bonne chose. De plus, la participation généralement demandée 200 à 400 euros le mois représente beaucoup en comparaison du niveau de vie d’un pays pauvre, mais dans le budget d’un voyageur occidental, c’est peu. On dépenserait finalement plus à voyager en simple touriste. Sur le plan du développement personnel, être volontaire peut apporter beaucoup. Quand on est inexpérimenté, on retire certainement plus de l’expérience pour soi-même que ce qu’on apporte concrètement par son travail. On peut voir cet argent comme une façon de remercier ses hôtes. Cependant, donner dans ces conditions, c’est établir un rapport marchand qui pervertit une belle relation, à l’origine complètement altruiste et désintéressée. Cela tend à créer une certaine hypocrisie dans les relations aidant/aidé. À quel point est-on apprécié pour son action sur place ? Une responsable de Planète Urgence nous le confirme, certains projets présentés par les organisations locales sont dit-elle “des coquilles vides servant à attirer les volontaires et leurs dons en argent”. Nous, on trouve que ce n’est sain que quand le postulat de départ est bien transparent. Quelle valeur donne-t-on à notre travail ? Combien coûte-t-on ? Combien rapporte-t-on ? Où va vraiment cet argent ? On préférerait ne pas se soucier de ces questions. Et si on faisait plutôt un don ? Il faut se demander que se passerait-il si l’argent que l’on dépense pour faire cette mission était confié directement à des organisations efficaces oeuvrant déjà sur le terrain ? Aurait-t-il un impact supérieur à mon action sur place ? La mission pourrait-elle être confiée à quelqu’un d’autre à moindre coût ? Si la réponse est oui, on peut légitimement penser que cet argent est gâché et sert plus au développement personnel du volontaire qu’à servir une cause. Trouver un organisme de volontariat responsable Voici quelques principes simples pour choisir au mieux une mission de volontariat. Repérer et éviter les agences de volontariat à but lucratif On en parle plus avant dans le chapitre de cet article Comprendre le business du volontariat, les agences commerciales de volontariat en plus d’être extrêmement chères, ont une réputation épouvantable parmi les professionnels du secteur et les médias. On vous conseille de les éviter. Bien que l’on puisse facilement les confondre avec d’authentiques ONG à but non lucratif, il est très facile de les repérer. Ce sont les premiers résultats sur Google. Elles sont les seules à investir de grosses sommes d’argent dans des annonces commerciales sur Google. Les séjours proposés valent plusieurs milliers d’euros. Elles insistent tout particulièrement sur l’intérêt au plan personnel de faire du volontariat découverte, gain d’expérience, enrichissement du CV… Il faut lire les mentions légales pour s’assurer que l’organisme est bien à but non lucratif. L’organisme local accueille-t-il les volontaires non qualifiés en nombre ? Si c’est le cas, mieux vaut se méfier. Il y a des chances qu’il fonctionne essentiellement sur l’accueil de volontaires pour se financer. Les risques sont plus grands que l’organisme ait des comportements pas très éthiques et que les missions confiées à ses volontaires inexpérimentés soient dans la liste des missions à éviter . Mon organisation répond-elle aux besoins réels exprimés par la communauté ? Les locaux savent mieux que personne ce dont ils manquent prioritairement. Une bonne association devrait travailler en relation étroite avec les populations qui devraient exprimer elles-mêmes leurs besoins, avant que les organisations ne tentent de les aider en conséquence. Quand ce sont des organisations extérieures qui les déterminent, elles font très souvent des erreurs de jugement et leurs efforts s’avèrent inutiles. Un besoin apparemment évident peut en cacher un autre plus profond. On peut penser qu’un village nécessite un ordinateur et l’apporter et réaliser finalement que l’électricité dans le village ne fonctionne pas correctement et que l’ordinateur n’est pas utilisé. L’organisation travaille-t-elle de façon durable et sur les causes des problèmes ? Un proverbe dit “Donne à un homme un poisson, il pourra manger un jour. Apprend-lui à pêcher, il pourra manger tous les jours”. L’action durable, en profondeur, c’est mieux. Les solutions temporaires sont plus simples et rapides à mettre en oeuvre, mais, appliquées trop longtemps, elles rendent les communautés dépendantes. Le management de l’association est-il transparent ? C’est le moment d’enquêter, tout d’abord en étudiant le site internet, les mentions légales et en posant directement des questions claires, aussi bien à l’organisation elle-même, qu’à d’anciens volontaires. Qui dirige l’organisation ? Comment l’organisation se finance-t-elle? Comment est utilisé l’argent des donneurs ? Quels sont les résultats obtenus jusqu’à présent ? Comment les employés sont-ils rémunérés ? etc. Il s’agit aussi de s’assurer que personne ne s’enrichit injustement sur le dos de l’association. Passer par une plateforme d’envoi et de coordination de volontaire sérieuse On l’explique en détail plus haut dans le chapitre un peu de vocabulaire les assos d’envoi et de coordination étudient, sélectionnent et suivent les organisations qui oeuvrent sur le terrain et dans lesquelles elles envoient les volontaires. Sans pour autant leur faire une confiance aveugle et ne faire aucune recherche par soi-même, on peut tout de même considérer leur travail comme un label de qualité assez rassurant. Les missions de volontariat à considérer éviter Missions sur-qualifiées Une mission surqualifiée, ça veut dire faire du mauvais travail, ce qui a toujours des conséquences négatives. Pour déterminer qu’une mission est surqualifiée, c’est facile. On peut déjà se demander si on aurait pu nous en confier une identique dans notre propre pays et essayer d’inverser les rôles, de se mettre à la place des locaux. Accepteriez-vous par exemple qu’un jeune volontaire étranger non formé en médecine vous fasse une piqûre ? Professeur de langue On trouve facilement des postes d’enseignants d’Anglais ou de Français pour quelques semaines seulement. C’est l’exemple type de la mission très souvent surqualifiée. Enseigner est un métier exigeant qui ne s’improvise pas si facilement. L’enchaînement des professeurs volontaires sur de courtes périodes ne permet pas un bon suivi des progrès et difficultés des élèves ni d’établir des programmes d’enseignement efficaces. Enfin, le passage d’un volontaire à l’autre se fait difficilement et, quand bien même il n’y a pas d’interruption d’enseignement, il y a bien souvent un manque d’information quant à ce qui a déjà été enseigné ou non. L’enseignement par les volontouristes a toutes les chances d’être de mauvaise qualité et ne devrait probablement pas leur être confié à la légère. Le volontouriste non qualifié ne devrait sans doute pas s’engager à être plus que l’assistant d’un professeur local et titulaire. De toute façon, l’emploi de volontaires comme enseignants est une solution de court terme qui ne règle pas le problème du manque d’enseignants sur place. La solution durable est d’aider à former des professeurs locaux compétents. S’occuper d’orphelins Les volontouristes sont là pour de courtes périodes. Quand l’un d’entre eux s’en va, il est remplacé par un nouveau. Les enfants, eux, peuvent s’attacher et mal vivre ces multiples séparations. Ces changements incessants ont une mauvaise influence sur leur développement et créent une perte affective. Jolanda Van Westering, spécialiste de la protection de l’enfance à l’UNICEF incite les voyageurs à ne pas aller s’occuper d’enfants dans les orphelinats. Pour elle, il est très clair que si les enfants n’ont pas la stabilité d’un foyer où ils rentrent le soir, les volontaires font plus de mal que de bien. De plus, l’image des petits orphelins a un effet magique. Attention aux orphelinats remplis de faux orphelins qui n’existent que pour mieux capter les volontaires et leur argent. Au Cambodge, plus de 70 % des orphelins auraient des parents selon l’Unicef. Explications d’une spécialiste de la protection de l’enfance à l’Unicef Une mission qui devrait revenir à un local rémunéré Si la mission ne demande pas d’aptitude particulière ou que les compétences nécessaires sont disponibles parmi les locaux, alors on peut s’interroger n’est-on pas en train de prendre un travail rémunéré à un local ? Dans le cas où l’on participe à financer la structure d’accueil pour faire cette mission, ne devrait-on pas plutôt utiliser cet argent pour financer un salaire et développer ainsi l’économie locale, plutôt que de la déstabiliser et de créer du ressentiment envers les volontaires ? Peut-être, dans ce cas, vaut-il mieux se contenter d’un don et s’investir dans une autre mission ? Distribution de matériel et médicaments… Donner est bien plus compliqué qu’on ne pourrait le croire. De nombreuses erreurs ont été commises de cette façon dans le domaine du développement, à grande comme à petite échelle. Mal organisés, les dons peuvent terminer comme déchets, alimenter finalement un marché parallèle, ou déstabiliser l’économie locale… D’un point de vue psychologique, il y a une certaine violence à donner. Le receveur se sent inévitablement redevable et ne peut pas rendre en retour. Un sentiment de dominé dominant se crée et une certaine déresponsabilisation et dépendance s’ensuit. On attend le prochain don. Une forme d’aide plus durable est souvent préférable. Le don matériel n’est pas pour autant à proscrire. Il est souvent irremplaçable. Méfiez-vous des réflexions du genre “Là-bas, ils n’ont rien. Ils seront bien contents.”. Avant de s’engager dans une collecte et une distribution de dons matériels, il faut s’assurer que l’association qui dirige l’opération connaisse suffisamment le terrain. A qui est destiné le don et comment va-t-il être réparti ? Les besoins sont-ils supposés ou correspondent-ils à une demande locale réelle ? Quel est le coût global de l’opération ? Comment la communauté locale dépenserait-elle cet argent si elle en disposait directement ? Il faut considérer les conséquences négatives possibles du don. Campagne des mixeurs pour l’Afrique Si les Africains pouvaient se faire des smoothies, ils seraient tellement plus heureux ! Attention particulièrement aux projets de collectes qui sont établis depuis l’extérieur par des initiatives populaires non professionnelles ou par soi-même, surtout si elles prévoient la distribution de médicaments. Pour aller plus loin, on vous conseille cet article très intéressant “Toutes les manières de rater un don humanitaire” de Sandrine Chastang. Le don, une solution Éditions Ritimo Être un bon volontaire les comportements à bannir On a entendu parler et observé par nous-mêmes des volontaires se comporter de façon franchement “inappropriée” pour ne pas dire pire. On pense qu’en tant que volontaire, plus encore qu’en tant que touriste, on doit surveiller son attitude pour éviter de manquer de respect aux populations qui nous accueillent. Ça fera super sur mon Facebook ! Crédit Radi Aid Ne pas s’intéresser, s’informer Il est primordial de prendre des renseignements avant de s’engager, sans quoi, on peut se retrouver à supporter de mauvaises organisations non éthiques, ou en contradiction avec les besoins des communautés. On pense aussi qu’avant de s’engager, il faut connaître un maximum le contexte et la culture locale. Pour aider efficacement, il faut connaître celui qu’on veut aider. Faire du volontariat ne devrait pas être la première chose que l’on fait en arrivant dans un pays pour la première fois, ou alors en s’étant instruit autant que possible dans les livres et sur internet ou en en suivant une formation avant le départ encadrée par l’organisation d’envoi de volontaires. Ne rien connaître d’une culture peut amener à de vrais impairs. On peut être réellement insultant ou se sentir insulté simplement par méconnaissance. Who wants to be a volunteer? Excellente vidéo, à l’humour noir, qui dénonce le mauvais comportement de certains volontaires Imposer sa culture Dans un environnement dépaysant, on ne peut parfois pas s’empêcher de tout comparer à chez soi. On a vite fait de rabâcher à longueur de temps des “chez moi, c’est comme ci, chez moi, c’est comme ça…”, ce qui devient toujours agaçant à la longue, pour tout le monde. Cela devient franchement mauvais quand on en arrive à des “chez moi, c’est mieux” et des “vous devriez ou ne devriez pas…” Ce genre de tournures de phrases ont tendance à regorger de jugements de valeur et de critiques envers la culture des communautés visitées. Elles sont souvent accompagnées d’une attitude condescendante et d’un certain complexe de supériorité. Il faut garder l’esprit ouvert, de l’humilité et surveiller son langage. L’attitude de gros consommateur en vacances Certains volontaires semblent voir le volontariat comme quelque chose qui se consomme. Ils multiplient les nuits de fête et abusent des photos et partages sur Facebook, à tel point qu’on en vient à douter des vraies raisons de leur engagement. Cette attitude a toutes les chances d’aller de pair avec un vrai manque d’implication et d’aller à l’encontre d’une bonne intégration dans l’organisation d’accueil. Le volontariat, c’est du travail. Il n’y a aucune raison de le prendre moins au sérieux que n’importe quel autre. Véhiculer des stéréotypes sur les réseaux sociaux Pas évident dans un très court post sur un réseau social de donner une idée précise de ce qu’on vit en tant que volontaire à l’étranger. Il faut toujours prendre un peu de recul et faire preuve d’analyse pour s’assurer que la photo et la légende qu’on est sur le point de publier ne véhiculent pas l’image caricaturale “du sauveur blanc” et ne représentent pas les locaux de manière passive, misérable et sans défense. Ce stéréotype bien trop répandu fait du mal. Attention, quand on cherche “à faire des likes”, on a toutes les chances de faire précisément ce qu’il faut éviter. Le site Radi Aid a publié un guide des bonnes pratiques du volontaire sur les réseaux sociaux qui méritent d’être lu. Le volontaire, ce héros des réseaux sociaux Les formes de bénévolat alternatives On peut décider d’offrir son temps pour travailler bénévolement en dehors d’organisations, de façon indépendante et pas nécessairement dans le secteur de la solidarité. Fabriquer sa mission soi-même Travel With a Mission Twamming, Votre projet de volontariat à vous. L’association Travel With a Mission est une plateforme originale qui s’adresse très clairement aux voyageurs qui souhaitent donner un sens à leur voyage, en développant un projet personnel en direction des communautés locales. À la différence du volontariat classique au sein d’une organisation, c’est le voyageur, ou “twammer” dans le vocabulaire de l’asso qui détermine ce qu’il peut offrir savoirs, compétences, expériences et comment, pour le proposer aux communautés visitées et ceci dans tous types de structures ou institutions qui pourraient être intéressées écoles, universités, associations, centres communautaires, hôpitaux, etc., “les twamhosts”. Le site Travel With a Mission facilite la mise en relation des uns et des autres. Un vrai exemple concret Mohammad est un voyageur twammer originaire d’Iran. Il propose au cours de son tour du monde à vélo commencé il y a huit ans de sensibiliser les enfants des pays visités à la protection de la nature. Il apporte son matériel éducatif. Les Twamhosts les écoles du monde le repèrent sur le site et peuvent l’inviter pour faire une intervention. Lire en détail le projet de Mohamed sur le site Twam Le site Travel With a Mission Mohammad dans une école pour sensibiliser les enfants sur l’importance de la nature Crédit Mohammad Le Wwofing bénévolat dans des fermes bio Wwoofing, c’est l’acronyme de World Wide Opportunities in Organic Farms. Il s’agit de travailler bénévolement contre le gîte et le couvert, dans l’une des fermes toujours bio du réseau mondial du wwoofing. Il n’y a jamais d’échange d’argent. Le fond des choses, c’est le partage de valeurs et de compétences. Les fermiers transmettent leur savoir-faire et leur mode de vie. Au-delà de techniques agricoles, on y apprend aussi parfois des méthodes de construction respectueuses de l’environnement. On peut faire du Wwoofing partout dans le monde. Chaque pays a un site spécifique sur lequel il faut s’inscrire et payer une cotisation d’environ 20 euros qui permet d’avoir accès à toutes les annonces. On peut s’engager sur des périodes courtes de quelques jours ou bien de plusieurs mois. Tout dépend des fermiers, selon leurs besoins, leurs disponibilités et leurs capacités d’accueil. On peut faire du wwoofing dans son pays, mais aussi très facilement à l’étranger. Pour les voyageurs, c’est une excellente façon de vivre avec les locaux. On vit de manière conviviale, en groupe, souvent avec d’autres wwoofers. Le site international liste tous les sites nationaux officiels sur le wwoofing. Pour des infos détaillées en français, vous pouvez consulter le site officiel français Du woofing dans une ferme bio Crédit Jacob Dyork Les chantiers participatifs bénévolat dans l’éco-construction C’est l’équivalent du Wwofing, mais dans la construction. Toujours aucun échange d’argent et toujours avant tout une affaire de partage de valeurs et de compétences. Il s’agit cette fois de participer à des chantiers de construction impliquant le plus souvent des techniques et des matériaux écolos. On offre sa motivation et sa force de travail et en échange on est logé, nourri et on y apprend en principe beaucoup. En France, le site de référence est Twiza, le site est beaucoup plus fourni en annonces internationales. C’est entièrement gratuit. Ces sites se rémunèrent grâce aux dons. Travail bénévole contre hébergement Plusieurs sites proposent des jobs bénévoles ponctuels à destination des voyageurs. Sites généralistes Workaway, Helpx ces deux sites listent des milliers d’annonces partout dans le monde. Il peut s’agir d’un peu tout et n’importe quoi garder des animaux de compagnie, gardiennage de maison, réceptionniste dans une auberge de jeunesse, donner des cours particuliers de langue… La contrepartie pour le bénévole c’est le gite, parfois le couvert, ou d’autres avantages en nature. Il n’y a jamais d’échange d’argent. Il faut tout de même payer une cotisation au site pour pouvoir répondre aux offres. C’est environ 20 euros pour deux ans sur chacun des sites Helpx et Workway. On préfère Workway, tout de même beaucoup plus ergonomique et agréable. Gardiennage de maison Quelques sites listent des annonces de jobs qui consistent à faire du gardiennage de maison en l’absence des propriétaires. Pour eux, l’intérêt c’est d’avoir l’esprit tranquille. Une maison habitée a moins de risques de se faire cambrioler. Elle est entretenue. Les plantes sont arrosées et les animaux gardés. Le gardien, lui, profite du confort d’une maison gratuitement. TrustedHousitters est la référence du genre, avec le plus grand nombre d’annonces. C’est aussi le site le plus cher 83,88 € par an Mind My House 20 $ par an House Carers 50 $ par an Nomador Trois candidatures gratuites, 35 $ par trimestre, 89 $ par an et c’est tout en Français Équipier sur un bateau contre transport gratuit Un voilier nécessite plusieurs personnes pour naviguer confortablement et en sécurité. Les chefs de bord recherchent souvent des équipiers pour les aider à manoeuvrer ou à tenir la barre pendant qu’ils se reposent. Bien sûr, savoir naviguer est un atout pour être équipier, mais on peut commencer sans aucune expérience. Les propriétaires acceptent très souvent d’embarquer des équipiers totalement débutants et de les former sur le tas. Ça ne coûte aux équipiers que ce qu’ils mettent dans la caisse de bord, avec les autres membres de l’équipage. Il s’agit des frais communs la nourriture, l’essence et les frais de port. Le montant est toujours dérisoire en comparaison des économies de logement de transport réalisées. On profite du “plaisir” de la vie en mer. On améliore son niveau de voile. On voyage écolo. Un bon plan en somme ! Les sites d’annonces de recherche d’équipiers Vogavecmoi – Bourse aux Équipiers – Desperate sailors totalement gratuits Find a Crew propose aussi des annonces de membres d’équipage payés En savoir plus On parle de manière plus approfondie des possibilités de travail bénévole contre hébergement dans notre article travailler en voyageant. On y parle aussi du Wwoofing, du Twamming et de toutes les façons de travailler en gagnant de l’argent en cours de voyage. Ressources principales de référence En vous limitant à ces quelques sites et livres, vous trouverez toutes les réponses aux questions qui pourraient vous rester après lecture de ce dossier. Éthique du volontariat Ce site pose et répond aux questions éthiques du voyageur Faut-il monter à dos d’éléphant ? Faut-il se conformer aux codes vestimentaires, culturels et religieux ? Faut-il visiter des pays qui violent les droits de l’homme ? Et bien sûr, faut-il du volontariat à l’étranger ? etc. Site du documentaire The voluntourist qui contient d’autres contenus intéressants à propos du volontourisme Information sur le volontariat en général France Volontaires C’est l’association française de référence pour s’informer sur le volontariat de manière générale. Ils ont tout de même tendance à avoir une vision limitée à leur propre réseau. Service Volontaire International SVI Tout comme France Volontaires, SVI renseigne sur le volontariat en général. C’est aussi une plateforme d’envoi de volontaires à l’étranger. Ils organisent de très nombreuses sessions d’information virtuelles. Trouver une mission Cet article On pense avoir fait le travail le plus précis sur le sujet qu’on puisse trouver sur internet. Tous les liens se trouvent plus haut dans le chapitre Les répertoires d’annonces principaux. Le livre ultime sur le volontariat Partir pour être solidaire La couverture de ce petit livre ne présage rien de bon et pourtant, il s’agit d’un guide hyper pertinent et enrichissant en plus d’être bien écrit. À seulement six euros, on vous recommande vraiment de l’acheter si vous prévoyez du volontariat pendant votre voyage. C’est l’une des références qui a servi à l’écriture de cet article. Remerciements On souhaite remercier tout particulièrement Tiffany Alleron et l’équipe de Concordia, tout comme nos interlocuteurs de chez France Volontaires et enfin le directeur du pour avoir pris le temps de répondre à toutes nos très nombreuses questions. On espère que cet article vous plaira et que notre discours assez critique sur le volontariat sans qualification vous semblera justifié. N’hésitez pas à nous donner votre avis. Crédit Shutterstock, merci
Voicitoutes les solution Bénévolat à l'étranger dans des fermes. CodyCross est un jeu addictif développé par Fanatee. Êtes-vous à la recherche d'un plaisir sans fin dans cette application de cerveau logique passionnante? Chaque monde a plus de 20 groupes avec 5 puzzles chacun. Certains des mondes sont: la planète Terre, sous la mer
Voyager en groupe I Freepackers Vous êtes entre amis, en famille ou en groupe ? Venez partager une expérience humaine en devenant acteur d’un projet d’éco-volontariat à l’étranger. Partir en groupe est l’occasion de vous rassembler autour de valeurs communes et de découvrir un pays sous une différente facette. Toutes nos missions sont adaptables à des projets de groupes. Veuillez nous contacter suffisamment en avance afin que nous puissions vous garantir la disponibilité des projets. Rien de tel qu’un volontariat en immersion dans un environnement nouveau aux traditions et coutumes différentes. Sensibilisez vos enfants à de nouvelles cultures en vivant une aventure enrichissante en famille. Nous vous proposons de partir en immersion dans un environnement nouveau dans des pays aux traditions et coutumes différentes. INDE ​ Notre programme éducatif dans la charmante ville de Fort Cochin en Inde est idéal pour un projet de volontariat en famille. Allant de deux semaines à un mois, ce projet auprès des enfants offre une expérience familiale inoubliable. En dehors du projet vous aurez un grand choix d’activités à réaliser pendant votre temps libre Balade en bateau dans les Backwaters Visite des plantations de thé de Munar​ Yoga et traitement ayurvédique​ Balade en vélo ​Contactez-nous pour en savoir plus. ​ AFRIQUE DU SUD Pro​fitez d’un voyage en famille pour allier volontariat et safari en Afrique du Sud. Basé au parc national Kruger, le projet se déroule sur minimum deux semaines et peut s’étendre jusqu’à un ​mois. Profitez des weekends pour découvrir avec vos enfants la vie sauvage en Afrique du Sud Safari dans les réserves naturelles Camping dans la réserve nationale de Kruger pour voir les Big Five Visiter un sanctuaire d’éléphants Découvrir la vie dans le bush africain et travailler avec des guides professionnels Contactez-nous pour en savoir plus. NEPAL Nous vous offrons la possibilité de vivre en famille une véritable immersion auprès des habitants du Népal. Notre projet de volontariat éducatif dans les écoles est l’occasion pour vous de découvrir une manière d’enseigner différente et de transmettre vos savoirs. Vous pourrez profiter de votre temps libre pour emmener vos enfants faire de nombreuses activités Trek en montagne le projet est aux pieds de l'HimalayaCircuits nature Découverte des villages et cultures environnantes Soins aryuvédiques et yoga Contactez-nous pour en savoir plus. SRI LANKA Le Sri Lanka offre un cadre idéal pour partir en famille. Basé au bord de la mer, notre projet de bénévolat vous invite à enseigner l’anglais et le sport aux locaux. Vous serez touché par la richesse culturelle et l’accueil chaleureux des habitants de ce pays. Avant ou après votre projet de volontariat vous pourrez les autres facettes de ce pays Visites de refuges d'éléphants​ Balade dans les plantations de thé à Kandy et Nuwara Ela Randonnées nature Plages et surf dans le sud Contactez-nous pour en savoir plus. PEROU Envolez-vous pour le Pérou et participez à un volontariat en famille dans le domaine éducatif. Aidez les habitants à apprendre l’anglais et le sport en intervenant dans des écoles ou des centres communautaires locaux. Idéal pour les familles avec adolescents, vous pourrez découvrir lors de votre temps libre les merveilles du Pérou qui vous laisseront des souvenirs mémorables Découverte du Machu Picchu Visite de la Vallée Sacrée Visite d’anciens villages Incas Visite du lac Titicaca Découvrez ici tous nos programmes pour les jeunes bénévoles. AMERIQUE LATINE​ Vous êtes professeur et vous souhaitez transmettre à vos élèves une manière différente de voyager ? Nos projets de volontariat sont une alternative parfaite pour un voyage scolaire ou tout voyage en groupe. Partez à plusieurs à la découverte de l’Amérique Latine grâce à nos projets au Costa Rica et au Mexique. Ces missions sont encadrées par des superviseurs expérimentés qui sauront guider et inspirer les jeunes voyageurs. Contactez-nous pour en savoir plus. Costa Rica Construction d’infrastructures pour enfants défavorisés Aide aux communautés locales construction, support éducationnel, initiative sportive Protection de la faune et la flore Observation des tortues de mer, jaguars, et autres espèces situées au Sud du parc national de Tortuguero. Mexique Protection marine et certification PADI dans la Péninsule du Yucatan. AFRIQUE Rejoignez un groupe de volontaires de moins de 18 ans en Afrique du Sud pour vivre une aventure collective dans le volontariat. Profitez de cette expérience pour apprendre aux cotés d'encadrants professionnels et découvrez l’Afrique du Sud sous un autre angle. Contactez-nous pour en savoir plus. Afrique du Sud Construction à Cape Town rénovation d’école et de centres de soins pour enfants défavorisés Table Mountain Protection de la vie sauvage identification et observation des espèces protégées dans la province de Limpopo. Seychelles Protection de la faune collecte de données sur les espèces marines et terrestres et participation on à la recherche sur la vie sauvage. ASIE Plusieurs destinations en Asie s’offrent à vous pour réaliser un projet de groupe. Partagez une expérience de volontariat avec vos amis tout en découvrant les richesses culturelles et les paysages authentiques du continent asiatique. Contactez-nous pour en savoir plus. Thaïlande Chantier de rénovation à Phang Nga rénovation des centres éducatifs locaux. Inde Construction au Kerala construction de bibliothèques, terrains de jeux et rénovation d’écoles et de centres communautaires dans les bidonvilles. Népal Aide aux communautés locales par la construction et la rénovation d’infrastructures essentielles au développement durable écoles, dispensaires, centres communautaires… Laos Projet éducatif à Luang Prabang amélioration de l’enseignement à destination des moines bouddhistes et des étudiants locaux. AMERIQUE LATINE Profitez de nos projets de groupe au Pérou ou en Amérique Latine pour vous familiariser avec des cultures extrêmement riches et découvrir ainsi un continent à la nature époustouflante. Venez en aides aux populations locales et vivez une véritable expérience collective. Pérou Aide aux communautés enseignement de l'anglais, organisation d'activités sportives, animation d'atelier de peinture ou de musique Argentine Aide en centre d'accueil améliorez le quotidien des enfants des quartiers défavorisés en apportant votre soutien moral et matériel Contactez-nous pour en savoir plus. AFRIQUE DU SUD Partez à plusieurs en Afrique du Sud, une terre d'aventure connue pour sa nature extrêmement riche et sauvage. Assistez des éducateurs et vétérinaires dans leurs missions quotidiennes et ouvrez-vous à une nouvelle culture. Education et construction à Cape Town amélioration des infrastructures et du niveau d’éducation dans les quartiers défavorisés. Construction d’infrastructures et accompagnement des soigneurs animaliers au refuge des éléphants et ferme des félins Contactez-nous pour en savoir plus. ASIE Voyager en Asie représente l'occasion unique de découvrir des pays à l'identité culturelle très forte. Vivez un réel dépaysement en vivant en immersion lors de nos projets aux plus près des communautés locales. Thaïlande Education améliorez le nivau de l'éducation des enfants de Surin en participant à des activtiés de soutien scolaires et en organisant des jeux éducatifs. Inde Projet d’aide pour les enfants animations sportives pour les enfants, rénovation des écoles, assistance des professeurs Népal Aide aux communautés intervention au sein d’écoles et de centres éducatifs, projets de construction de grande envergure post séisme. Projets éducatifs avec les enfants, rénovation d’école, éco-volontariat environnement et animaux des expériences idéales pour les groupes de scouts qui cherchent des missions humanitaires à l'étranger. En Afrique du sud, au Pérou ou en Argentine, les ONGs sont familiarisées avec les itinéraires pour les scouts, savent s’adapter aux différentes religions, aux budgets et disponibilités de chaque groupe. Afrique du sud Aide à la communauté prévention sanitaire, distribution de nourriture, rénovation d'école Pérou Aide aux enfants améliorez le quotidien des enfants en leurs apportant un soutien scolaire ainsi qu'en organisant des actitvités ludiques et sportives. Argentine Centre d'acceuil pour enfants soutenez notre organisme partenaire en apportant votre soutien moral et matériel aux enfant défavorisés de Buenos Aires Vouspouvez vous inscrire sur le site WWOOF et contacter des fermes du monde entier.S'ils sont acceptés, ils peuvent vivre et travailler à titre bénévole en aidant dans tous les domaines de l'agriculture.Vous bénéficierez généralement d'un hébergement, d'une nourriture et d'un accueil gratuits et vous en apprendrez davantage sur les fermes biologiques, les modes

Faire du Volontariat à travers le Tourisme Volontaire Les projets de Volontariat sont souvent perçus comme demandant un investissement conséquent en temps de la part des volontaires. Pourtant, face à un intérêt grandissant des jeunes pour les activités responsables, de nombreux organismes ont mis en place des activités relevant du Volontariat pour des séjours à l’étranger de courte durée. Ces activités très variées rentrent dans le cadre de projets de tous types, et permettent aux jeunes de se familiariser avec le monde du Volontariat tout en découvrant leur pays d’accueil. Souvent présentés comme séjours de Volontariat, ces solutions proposées par les agences relèvent plus aujourd’hui d’une nouvelle tendance Le Tourisme Volontaire ». Quels types de programmes peut-on rejoindre à travers le Tourisme Volontaire ? Les programmes proposés par les organismes couvrent notamment les stages sociaux et médicaux, la protection des animaux, la participation à des chantiers internationaux, les séjours dans les fermes ou dans les ranchs, le développement de projets locaux, ou encore la préservation du patrimoine ou de la nature. La liste ne s’arrête pas ici, et de nombreuses autres possibilités peuvent être découvertes selon les destinations et les organismes. Ces programmes représentent une excellente première expérience en tant que Volontaire, facile à effectuer entre amis ou pour faire de nombreuses rencontres, et restent relativement flexibles quant aux dates de départ et la durée du séjour sur place. Pourquoi faire un séjour en tant que Touriste Volontaire ? Le Tourisme Volontaire présente de très nombreux atouts il permet notamment de partir pour une durée de 1 semaine à 6 mois à l’étranger afin d’effectuer une ou plusieurs missions correspondant à vos activités et à vos attentes, tout en voyageant sur place quand vous le souhaitez. Grâce à l’encadrement apporté par l’organisme avec lequel vous partez, vous partez dans les meilleures conditions sur place et avez la garantie d’un séjour sans problème. C’est donc une excellente première expérience à l’étranger, tout comme un moyen facile de participer à des activités nouvelles ou de s’essayer au Volontariat à l’étranger. Quel est le coût d’un séjour en tant que Touriste Volontaire ? Face à la multitude de programmes, difficile de donner un coût précis pour ce type de projet. Plusieurs points doivent être connus si vous souhaitez partir en Touriste Volontaire Vous n’êtes généralement pas indemnisés ou rémunérés sur place Le transport, la nourriture, le logement sont généralement à votre charge pour les séjours courts. Si votre mission s’inscrit dans un chantier ou un projet plus vaste, des dispositions pour vous loger et nourrir gratuitement peuvent alors être proposées par l’organisme Certains programmes sont bien plus coûteux que d’autres. Le coût total dépend de nombreux critères niveau de vie sur place, logement et nourriture inclus ou non, type d’activités, distance par rapport à la France… D’une manière générale, un séjour à s’occuper de la faune animale et à participer à des Safaris coûte bien plus cher qu’un séjour au sein d’un chantier humanitaire. Pourquoi le Tourisme Volontaire se développe t’il autant ? Le Tourisme Volontaire » gagne en popularité mais créé aussi une certaine polémique quant à son utilité pour les populations locales. De nombreux programmes proposés par les agences sont des séjours de Volontariat Déguisés », et ressemblent plus à de simples séjours touristiques qu’à une activité bénévole amenée à aider votre pays d’accueil. Vous pouvez retrouver quelques débats sur le sujet notamment sur Service ou encore sur Tour du Selon nous, ces solutions profitant principalement aux entreprises et non aux organisations locales sont à bannir, mais il n'est pas toujours facile de les detecter. Lorsque vous prenez contact avec un organisme, il est alors indispensable de poser les bonnes questions sur l'intérêt derrière leurs démarches. Malgré tout, notre avis sur la question va plutôt dans le sens du développement de ces programmes. Si certaines agences semblent effectivement tirer profit de cette nouvelle tendance, nombre d’entre elles proposent des solutions innovantes, qui ont un impact positif pour le pays d’accueil. Le Tourisme Volontaire peut être un excellent point d’entrée vers des projets de Volontariat plus développés, et l’ensemble des acteurs, associations et organismes humanitaires ont beaucoup à gagner du gain en popularité de ce type de programmes auprès des plus d’informations sur les autres programmes, n’hésitez pas à parcourir notre guide dédié au Volontariat !

Lindustrie touristique en plein essor du Costa Rica signifie qu'il existe également de nombreuses opportunités de bénévolat dans d'autres industries.Des écolodges aux restaurants de la ferme à la table, des retraites de yoga, des fermes de café et des camps de surf, il y en a pour tous les goûts dans ce pays d'Amérique centrale.Si vous cherchez à minimiser les frais du programme

Que ce soit en vacances ou dans la vie de tous les jours, le logement représente toujours une part importante du budget. Depuis quelques années, plusieurs solutions de travail contre logement se sont développées dans le monde entier. Pas besoin d’avoir un talent particulier il suffit de se rendre disponible et de savoir retrousser ses manches de temps en temps ! Baby-sitter de villa pas plus compliqué que ça ! Vous rêvez de partir en vacances au bout du monde, mais le solde de votre compte en banque n’est pas à la hauteur de vos espérances ? Sachez que vous pouvez passer des vacances gratuites contre services partout sur la planète en acceptant de garder des logements en l’absence de leurs propriétaires. En d’autres termes, tout ce que vous aurez à faire pour bénéficier d’un hébergement gratuit à l’étranger sera de profiter du logement mis à votre disposition et, éventuellement, d’effectuer quelques petits travaux d’entretien. Les propriétaires qui ont recours à cette solution du logement contre gardiennage ont souvent des biens magnifiques, et sont prêts à les confier à un gardien pour éviter les cambriolages. On trouve également des offres de logements contre gardiennage en France pour des résidences secondaires, ou pour des propriétaires qui n’arrivent plus à entretenir seuls leur propriété. Vous pouvez consulter les sites et pour trouver des offres de logements contre gardiennage. Le WWOOFing travailler à la ferme en échange d’un toit Le WWOOFing est la solution d’hébergement idéale pour les touristes qui sont prêts à occuper un travail contre un logement et de la nourriture. Cette pratique, devenue courante dans le monde du voyage, permet aux globe-trotters de faire du bénévolat dans une ferme ou un élevage biologique. On trouve des offres de WWOOFing dans la plupart des pays d’Amérique, d’Europe et d’Asie, ainsi qu’en Océanie et dans quelques pays d’Afrique. Par exemple, plus de 1700 hôtes accueillent des WWOOFeurs en France. Tout ce qui est demandé aux participants est de travailler 4 à 6 heures par jour pour leur hôte, en échange de quoi ils auront un logement à la ferme et seront nourris gratuitement. Le WWOOFing est donc un excellent moyen d’en apprendre plus sur l’agriculture, le jardinage et l’élevage biologiques. De plus, il permet d’apprendre une langue et de s’imprégner de la culture d’un pays. Consultez le site du WOOFing en Francepour en savoir plus. WorkAway et HelpXh du bénévolat contre le gîte et le couvert Si un logement à la ferme ne vous attire pas plus que ça, vous trouverez peut-être une offre de bénévolat plus proche de vos intérêts sur les sites ou HelpX France. Par exemple, que diriez-vous de garder des enfants en Angleterre, de travailler dans une auberge de jeunesse au Brésil, ou de donner des cours d’anglais ou de français en Inde ? Sachez qu’HelpX est spécialisé dans les offres de bénévolat dans des ranchs, des hôtels, des auberges de jeunesse, des Bed&Breakfast et des fermes. Le principe est qu’en échange, votre hôte devra vous nourrir et vous loger gratuitement. Sur les deux sites, il est nécessaire de se créer un profil et de souscrire un abonnement pour pouvoir contacter les hôtes. En revanche, on peut consulter les annonces gratuitement et sans s’inscrire ! Logement contre service une solution gagnant-gagnant Souvent, les personnes âgées vivent seules dans des logements bien trop grands pour elles. Vous nous voyez venir ? Depuis quelques années, on trouve en effet des sites et des associations comme Toit à moi qui mettent en contact des personnes âgées ou des propriétaires ouverts à l’idée d’héberger quelqu’un et des personnes à la recherche d’un logement gratuit. En échange de menus services comme les courses, un peu de ménage ou simplement faire acte de présence la nuit, vous pourriez avoir un hébergement gratuit à Paris, Marseille, Toulouse ou Bruxelles, par exemple. Attention, cette solution n’est pas idéale pour les oiseaux de nuit et les grands voyageurs ! Il faut souvent s’engager sur la durée et rester régulièrement à la maison. La garde de personnes âgées contre logement, notamment, est particulièrement plébiscitée par les étudiants pas d’autres choix que d’étudier quand on s’est engagé à veiller sur papy ou mamy toute la soirée ! Quand les colocataires s’entendent bien, chacun y trouve son compte l’hébergeur est content d’avoir un peu de compagnie, sa famille est rassurée de ne pas le savoir seul, et l’hébergé peut vivre dans un endroit souvent agréable et bien situé pour un coût très faible, voire nul. Comment débusquer les arnaques ? Quelle que soit la solution que vous choisirez pour travailler en voyageant ou pour bénéficier d’un logement en échange de services, il existe toujours un risque de tomber sur un mauvais hôte qui vous considérera comme son esclave. Voici quelques conseils pour éviter que le bon plan se transforme en cauchemar rencontrer son hôte en personne, et visiter le logement au moins une fois avant de s’engager et d’installer ses affaires partez du principe qu’une rencontre sur Skype n’est pas suffisante pour se faire une vraie idée de l’expérience ; poser le plus de questions possible vous avez le droit de demander une description précise des tâches à accomplir, et d’interroger votre hôte sur son mode de vie en long, en large et en travers avant de faire le grand saut ; se renseigner sur la législation en vigueur dans le pays le concept de travail dissimulé n’est pas spécifique à la France ; alors, si vous avez l’impression d’être considérée comme une employée et si vous n’avez aucun temps libre, il y a anguille sous roche ; laisser ses objets de valeur dans un endroit sûr bijoux, passeport et autres objets de valeur devraient être placés chez une personne de confiance, ou gardés en permanence sur vous, au moins pendant les premiers temps de l’expérience ; se fier à son bon sens vous travaillez 40 heures par semaine, le logement est sale, et votre hôte vous mène la vie dure ? Fuyez ! Une expérience d’hébergement contre services doit être agréable pour les deux parties.

BÉNÉVOLATÀ L'ÉTRANGER DANS DES FERMES - 7 Lettres (CodyCross Solution) - Mots-Croisés & Mots-Fléchés et Synonymes Bénévolat à l'étranger dans des fermes — Solutions pour Mots fléchés et mots croisés Cliquez sur un mot pour découvrir sa définition. Codycross Saisons Groupe 72 Grille 2 Biscuit ; arbre très présent en Californie
17 avril 2019 dans Volontariat Victoria nous parle de son émouvante rencontre avec les habitants de Andahuaylas au Pérou. Dans le but de finaliser ses études pour devenir éducatrice de jeunes enfants, elle décide de partir en stage à l’étranger et apporter son soutien à une association locale. En parallèle, elle découvre pendant 3 mois le quotidien de la vie associative, elle apprend les us et coutumes du pays et se confronte à d’autres modes de vie. Est-ce que tu peux te présenter ? Je m’appelle Victoria, j’ai fêté mes 22 ans cette année au Pérou. Je suis en deuxième année de formation d’éducatrice de jeunes enfants en banlieue parisienne. Mes camarades et moi devions faire un stage à cette période-là. C’est le seul stage que nous pouvions réaliser à l’étranger, du coup, je n’ai pas hésité et je me suis lancée. Ce bénévolat a permis de valider mon stage. Mes passions ? j’adore voyager. J’ai pu découvrir auparavant le Chili, les États-Unis, l’Espagne, la Pologne et plein d’autres pays… Mais j’ai un gros coup de cœur pour l’Amérique du Sud. Le Pérou c’était mon rêve. Pouvoir combiner le stage et en même temps pouvoir découvrir le pays, c’était génial. J’ai eu la chance de visiter plusieurs endroits du Pérou et différents sites incas. Ce voyage je l’ai réalisé avec ma plus proche amie de promotion. Pourquoi as-tu décidé de faire du volontariat pendant ton séjour à l’étranger ? Le Pérou c’était mon rêve. Le centre de formation où j’étudie nous a donné la chance de partir. Je me suis dit que c’était l’occasion parfaite pour visiter le pays et pouvoir voir comment vit la population et comment évoluent les enfants dans un pays défavorisé ». L’avantage de faire ce stage à l’étranger est de permettre de nous rendre compte de la réalité des choses dans d’autres pays. Mon unique but était de découvrir le fonctionnement de la petite enfance au Pérou et dans ce type de structure. Finalement, le Pérou m’a apporté bien plus que ce que je pensais. La langue n’a pas été un problème, ma mère étant Chilienne, j’ai eu la chance d’apprendre la langue depuis toute petite, c’est vraiment un plus. Est-ce que tu peux nous présenter l’association ? Cette association appelée Munay Wasi » signifie, la maison qui t’aime, soutient des projets de développement rural sans assistanat dans le domaine de la nutrition, la santé, l’éducation et de la protection infantile. Elle vient en aide à la population. Dans les locaux de l’association, il y a une bibliothèque, un atelier couture, une école 4-6ans et une petite tienda petite épicerie. Dans l’association une salle est dédiée pour toutes les affaires et les dons que des bénévoles apportent pour les enfants ou adultes dans le besoin. Les membres de l’association parlent tous espagnol, dans le quartier j’ai plusieurs fois entendu le Quechua langue traditionnelle du Pérou, mais ils savent tout de même parler espagnol. La structure vient en aide à la population défavorisée de ce quartier, aussi bien aux enfants qu’aux adultes. L’organisation est aussi en partenariat avec une école Montessori et un orphelinat. C’est le coordinateur qui m’a accueilli, il s’occupe de l’association et de son fonctionnement. En règle générale ce sont les bénévoles présents sur place qui accueillent les nouveaux bénévoles. J’ai pu accueillir à mon tour les nouveaux arrivants, leur présenter l’association et le fonctionnement de celle-ci ainsi que les habitudes que nous avons. Où se trouve ton volontariat ? L’association est située à Andahuaylas dans la région d’Apurimac, c’est la région la plus pauvre du Pérou Andahuaylas est à 14h en car de Lima et à 8h de Cusco. Dans cette ville, ils ne fonctionnent pas vraiment avec des adresses ». Tout le monde connait l’association, il suffit de dire Munay Wasi » et tout le monde connait ! Ou de dire derrière le restaurant Ponceca ». Les taxis et moto-taxi connaissent tous ! Comment peut-on y accéder ? C’est une ville assez difficile d’accès, il y a un aéroport qui fait certains vols par semaine sinon c’est 4h30 de voiture depuis Ayacucho plus grande ville la plus proche, comme j’ai fait moi. J’ai effectué le trajet suivant Paris-Lima ensuite Lima-Ayacucho 50min en avion pour environ 140€ et enfin Ayacucho-Andahuaylas 4h30 de voiture pour environ 15€ Quelle a été la durée de ton volontariat ? Mon stage/volontariat a duré 8 semaines au total. Quelles activités as-tu réalisées ? La plupart de mon temps, je m’occupais de la tienda petite épicerie le matin et tous les après-midis. Il s’agit d’une petite boutique où l’on retrouve en grande partie des produits alimentaires du quotidien. Cette boutique permet de financer directement l’association. Je gérais les stocks et j’assurais le ravitaillement. Autour de 15h, je filais à la bibliothèque. Avec les autres bénévoles, nous faisions des animations pour les enfants. En général il y avait entre 20 à 30 enfants par jours et nous étions 3 bénévoles à accueillir les enfants. Ils avaient entre 3 et 15 ans. Nous avons remarqué que les enfants avaient l’habitude de jouer de façon individuelle. Pour y remédier, nous avons créé plusieurs jeux Twister, un Dobble des lettres de l’alphabet, Morpion pour qu’ils puissent vraiment jouer ensemble… Ils aiment aussi beaucoup dessiner et lire. Par ailleurs, j’ai pu mettre en place dans la bibliothèque un système d’emprunt de livres. Ainsi ils pouvaient emporter les livres et les rendre le lendemain, après l’avoir lu. Parallèlement, j’ai eu la chance de pouvoir faire quelques matinées à l’école Montessori et à l’orphelinat. On a aussi aidé au grand ménage des locaux de l’association, on s’est occupés des chiens. J’ai pu également accueillir les autres bénévoles. D’autres bénévoles, deux Argentins ont passés 10 jours et ont aidé à refaire la peinture de la partie chambres et salle de bain. Comment se déroulait une journée de travail ? Mon emploi du temps était le suivant 9h-12h à la tienda, puis 15h-18h à la bibliothèque. J’avais tous les week-ends de libre ce qui m’a permis de faire de belles randonnées dans les hauteurs de la ville avec les autres bénévoles. Quels ont été les échanges avec l’hôte ? C’est une association où les bénévoles sont assez autonomes et libres dans ce qu’ils veulent faire dans l’association. Le coordinateur passe de temps en temps pour voir comment ça se passe et pour discuter avec les nouveaux volontaires. J’ai pu échanger pas seulement avec l’hôte, mais aussi avec les habitants du quartier ! Petite parenthèse, par rapport à l’atelier couture juste à côté de la bibliothèque où venaient beaucoup de maman la couture à lieu le lundi, mercredi et vendredi. Les mamans déposaient aussi leurs enfants à la bibliothèque. Elles appréciaient ce moment de détente, d’apaisement le fait de savoir que leurs enfants sont juste à côté et qu’ils s’amusent sagement entourés d’adultes. Cependant, elles étaient tellement détendues, qu’elles avaient souvent tendance à dépasser l’heure, au lieu de finir à 18h ils nous arrivaient de fermer la bibliothèque vers 19h/19h30. C’est dans ces moments-là, que je me suis dit, peu importe l’heure à laquelle je ferme les portes, les enfants sont tellement contents de venir jouer ici. En plus de ça, ils reçoivent beaucoup d’affection de la part des bénévoles… ils sont en sécurités. Les enfants sont très attachants, même si votre espagnol n’est pas parfait, c’est tout à fait faisable de parler avec eux. Ils sont tellement attachants qu’il m’a été difficile de les quitter, j’en ai même pleuré en les serrant dans mes bras après avoir reçu une multitude de dessins… Combien y avait-il de volontaires ? Nous étions 3 volontaires pendant 2 mois ma copine de promotion, un Belge de 19 ans que nous avons rencontré sur place et moi-même. Deux filles de profession sociale sont venues pendant 10 jours. C’est surtout pendant la période d’été en France où il y a le plus de bénévoles, des fois jusqu’à 20/25 bénévoles ! Comment peut-on découvrir les environs ? On peut facilement visiter les environs en taxi ou combi ! J’ai pu faire de la randonnée, voir la Lagune de Pacucha et les ruines de Sondors, c’était vraiment très beau ! Il y a aussi Pampachiri d’autres ruines et maisonnettes en pierres à voir, mais la météo ne m’a pas permis d’y aller ! Ça sera pour la prochaine fois ! Le reste de mes visites je les ai faites après mon stage. J’ai passé une dizaine de jours à Cusco où j’ai pu visiter les ruines de Sacsaywaman, Q’enqo, Puka Pukara, Tambomachay, Pisac, Moray, Chinchero… et le Machu Picchu ! Ensuite direction Lima pour passer quelques jours et j’ai ensuite pris un vol pour revenir en France. Quelles sont les conditions d’hébergement ? L’hébergement se fait dans l’association. Il y a la maison des volontaires » avec plusieurs chambres. Les toilettes, salles de bains et cuisines sont communes avec les volontaires. Il faut juste payer 10 soles par nuit soit 2,50€ environ. L’argent que nous reversons revient à l’association pour les frais quotidiens. Comment se passent les repas ? Les repas étaient à ma charge. Les repas se font dans l’association ou à l’extérieur, comme vous le sentez, avec ou sans les autres volontaires ! Je faisais les courses que je voulais, certaines fois, on faisait la cuisine avec un bénévole belge. J’ai pu découvrir beaucoup de plats différents, mais tous ou presque sont à base de poulet, riz et frites/pommes de terre ! Ne vous inquiétez pas on mange super bien là-bas ! Petit conseil pour l’eau, il ne faut boire que de l’eau de bouteille si vous ne voulez pas tomber malade… Y a-t-il internet ? Oui il y avait le wifi, mais en pleine montagne à 2900 mètres d’altitude, la connexion n’est pas parfaite. Concernant les opérateurs téléphoniques je dirais que le mieux c’est Claro. Pour 5 soles soit environ 1€30 j’avais droit à WhatsApp illimité pendant 30 jours ! WhatsApp c’est ce qui est le plus utilisé là-bas. Qu’as-tu pensé de ton volontariat ? Le point fort de cette expérience Avec un peu de recul, j’ai beaucoup trop de points forts pour n’en citer que quelques-uns. J’ai des souvenirs plein la tête aussi bien avec les enfants de l’association, qu’avec la population, les gens avec qui j’ai créé des liens… Les paysages aussi, à couper le souffle dans tous les sens du terme. Nous étions vraiment autonomes dans cette association. Ça m’a beaucoup plu, ce côté où tu te gères totalement. Tu organises tes journées, tes activités, tes repas, tout ! Le point faible de cette expérience Quant aux points faibles de l’expérience, je dirais, qu’il faut se laisser du temps pour s’acclimater, aussi bien culturellement, qu’émotionnellement… Je m’explique, nous ne partageons pas la même culture, le même niveau de vie, les mêmes religions… Tout y est différent. Le choc culturel peut-être perçu comme un petit point négatif », un point sur lequel le volontaire doit s’adapter et comprendre son environnement de façon sereine. Concernant l’association, je voulais vous prévenir, qu’il ne faut pas s’attendre au confort que l’on a chez nous. Vivez l’expérience en sachant que vous y allez pour une courte durée et que vous retrouverez votre confort ensuite vous verrez se sera encore plus magique ! Qu’est-ce que tu retiens ? J’ai adoré mon expérience, je suis tombée sous le charme de ce pays. Je n’ai qu’une hâte, c’est d’y retourner. Les gens sont très abordables et toujours prêts à vous aider. Vous aimez la montagne ? Vous serez servis aussi, les montagnes sont juste magnifiques, vous ne savez même plus où regarder tellement il y a de choses à voir dans tous les sens. Je ne regrette pour rien au monde mon séjour, même si au début il y a eu pendant quelques jours le choc culturel. Je pense que c’est bien de l’avoir vécu, car j’ai pu avoir un nouveau regard sur la vie, vivre dans un pays étranger, vivre presque comme les Péruviens. J’ai rencontré des gens qui ont changé ma vision des choses et qui ont, d’une façon ou d’une autre, apporté un grain de folie à mon séjour. J’ai un retour à faire sur mon bénévolat au moins d’avril. Étant en deuxième année, je dois présenter aux premières années de mon école ce que j’ai fait et ce que ça m’a apporté. Nous sommes actuellement en train d’étudier la thématique du handicap, je dois donc, en plus de l’oral, combiner le handicap et le Pérou, comment est-ce que les Péruviens abordent le sujet du handicap. En ce qui concerne le pratique » à prendre dans la valise, n’oubliez pas les chaussures de randonnées et l’imperméable. Je dirais que c’est les deux choses qui m’ont le plus servi ! Contact Si vous souhaitez contacter l’association , voici l’email munay Vous pouvez également les contacter via l’une des personnes qui gère l’association, le nom de la personne sur Facebook est Semillas De Munay Semillas De Munay. Nous remercions Victoria qui a bien voulu partager son stage réalisé dans une association Péruvienne. Nous espérons que la lecture de ce témoignage vous incitera à apporter votre soutien à long terme dans une communauté. Retrouvez des photos de son aventure sur sa page Facebook. Tu as envie de partager ton expérience de volontariat avec d’autres voyageurs ? Contacte-nous par e-mail ou sur nos réseaux sociaux 😊 Épinglez sur Pinterest Vous êtes sur un article concernant l’expérience d’un volontaire invité sur le blog. L’idée est d’éclairer les voyageurs qui souhaitent s’investir dans le volontariat à travers les témoignages d’autres voyageurs Comment se passe un volontariat ? Quelles sont les activités que l’on peut être amenés à réaliser ? Quels sont les réels échanges entre les hôtes et les volontaires ? Bien sûr, cet avis est propre à celui de son auteur. Le vôtre sera sûrement différent. Vous pouvez retrouver toutes nos expériences de volontariats et celles des voyageurs dans la rubrique Volontariat ».
volontairespour des projets offersseveral paix qui permettent aux familles de se rendre à l'étranger pour travailler dans des fermes dans une variété de pays . En 2010 , le travail agricole est disponible en Estonie , l'Indonésie , la Norvège et la Suède . En plus de travailler sur les sites agricoles , les familles sont également autorisés beaucoup de temps pour explorer les La solution à ce puzzle est constituéè de 7 lettres et commence par la lettre W CodyCross Solution ✅ pour BÉNÉVOLAT À L'ÉTRANGER DANS DES FERMES de mots fléchés et mots croisés. Découvrez les bonnes réponses, synonymes et autres types d'aide pour résoudre chaque puzzle Voici Les Solutions de CodyCross pour "BÉNÉVOLAT À L'ÉTRANGER DANS DES FERMES" CodyCross Saisons Groupe 72 Grille 2 3 0 Partagez cette question et demandez de l'aide à vos amis! Recommander une réponse ? Connaissez-vous la réponse? profiter de l'occasion pour donner votre contribution! CODYCROSS Saisons Solution 72 Groupe 2 Similaires Danscet article, nous discuterons de la documentation dont vous aurez besoin, des subventions que vous pouvez recevoir pour financer votre voyage et des programmes spécialisés dans le volontariat à l'étranger. Commençons par explorer les documents. Contenu. Documents requis pour faire du bénévolat à l'étranger › Partir en volontariat A l’étranger …Mais où exactement ? Au Nord, au Sud, à l’Est, à l’Ouest… Le SCI – Projets internationaux ASBL travaille avec des associations partenaires partout dans le monde pour construire ensemble une société pacifiste et solidaire à travers une action collective le volontariat. La géographie SCI Le Nord » c’est l’Amérique du Nord, l’Australie, la Corée du Sud, l’Europe, Hong-Kong et le Japon. Le Sud » c’est l’Afrique, l’Amérique Latine, l’Asie, le Maghreb, le Proche-Orient et la Turquie. Les conditions de participation diffèrent entre ces 2 zones âge, inscription, frais d'inscription et de participation sur place, formations, évaluation.... Trouver un projet Comment s'inscrire Et après le projet ? Le SCI invite chaque année ses volontaires pour un week-end de rentrée au mois de septembre du 24 au 26/09/21, retrouvez toutes les infos dans notre agenda afin d’évaluer les projets de l’année, de permettre aux volontaires de partager leurs expériences avec d’autres. C'est également l’occasion de découvrir nos nombreuses activités en Belgique et différentes alternatives en vue d’un monde plus juste et équitable. Zoom sur quelques partenaires Sénégal, Les Ententes Les Ententes au Sénégal est une association non gouvernementale créée par des paysans. Elle se veut une alternative économique dont les bénéficiaires sont les communautés villageoises, avec pour objectif un travail d’éducation, une diminution des inégalités dans les villages et un ralentissement de l’immigration vers les grandes villes. L’association propose un projet d’immersion dans un petit village agricole. Les volontaires sont accueillis dans une famille du village et participent aux activités quotidiennes de celui-ci aller au champ, préparer les repas, jouer avec les enfants… et peuvent aussi proposer des activités à la communauté selon leurs centre d’intérêts organiser un tournoi de foot, aider un commerçant à repeindre son magasin, visiter des écoles…. Plus d’infos ? UPA, Ouganda Uganda Pioneers Association UPA est une organisation de jeunesse travaillant sur des projets communautaires, des projets de volontariat et des échanges de volontaires. Cette association a été fondée en 1989 par de jeunes ougandais qui avaient pour objectifs de mobiliser les jeunes et de contribuer à des projets de développement communautaires, par le biais du volontariat. UPA tente de promouvoir les échanges interculturels et organise principalement des projets dont l’objectif est de contribuer au développement de services sociaux et communautaires tels que des écoles, des centres de soins, des activités de sensibilisations communautaires sur des sujets divers VIH, gestion de conflits, questions sanitaires, santé reproductive, préservation de l’environnement, construction de la paix…, ou encore des projets de maraîchage à petite échelle. Plus d’infos ? Basida, Espagne Basida est une ONG qui fournit un soutien médical et psychosocial aux personnes séropositives ou souffrant d’addictions. Depuis 1987, l’ONG a ouvert 3 centres et travaille avec une équipe de professionnels multidisciplinaires. La guérison physique et psychologique des patients se fait grâce à l’équipe de travailleurs qui s’implique et aide les malades à retrouver estime de soi et espoir en l’avenir. Les trois centres accueillent des projets de volontariat chaque année. Les volontaires participent à la vie quotidienne cuisine, lessive, nettoyage, jardinage… Ils peuvent également apporter un soutien individuel aux résidents qui en ont besoin. Une importante partie de la réussite du projet réside dans les liens sociaux entre patients, personnel et volontaires. Plus d’infos ? Mission Wolf, Etats-Unis Mission Wolf est un refuge éducatif pour loups dans les montagnes reculées du Colorado. Mission Wolf met l’accent sur les ressources renouvelables, fonctionne avec l’énergie solaire et construit avec des matériaux recyclés. Tout en donnant une maison à des loups et chevaux qu’elle a secourus, elle crée des opportunités de développement personnel à travers le service à la communauté et les interactions des personnes avec les animaux. Elle valorise l’éducation, le développement durable et l’amélioration des relations entre les gens, les animaux et le monde qui les entoure. Plus d’infos ? Proyecto Consciente, Salvador Proyecto Consciente a été fondé par un groupe de jeunes volontaires salvadoriens qui pensent qu’une éducation plus créative et réfléchie est essentielle pour changer les conditions de vie des populations défavorisées. Ils mènent des projets dans une école primaire, un centre culturel, un lycée et dans un programme d’émancipation de la femme. A travers l’art, le théâtre, la musique, l’artisanat, ils essaient d’apporter un apprentissage plus motivant et intéressant dans un pays où l’accès à l’éducation est très difficile. Selon leurs intérêts et compétences, les volontaires peuvent proposer de nouvelles idées ou choisir parmi les activités suivantes enseignement, travail dans une bibliothèque, organisation d’excursions, d’ateliers, d’activités dans le centre culturel, travail avec des groupes de femmes,… Plus d’infos ? Gotas de Agua, Pérou Luciano Troyes Rivera a hérité de 1800 hectares de forêt tropicale sèche du Marañón-Chinchipe qu’il a décidé de respecter et de valoriser en plantant des espèces natives. Toute sa famille s’est investie dans ce projet de vie et la forêt a été reconnue officiellement par l’état comme zone de conservation privée Gotas de Agua », une idée de musée vivant où la faune et la flore vivent en liberté sans l’intervention violente de l’homme. Le projet de volontariat organisé une fois par an se déroule dans la forêt sèche où tout un écosystème s’est reconstruit grâce au projet de reforestation de Luciano. Les objectifs sont la conservation et la protection de la biodiversité, le développement de programmes d’écotourisme et d’observation des oiseaux, l’implication des communautés locales dans le travail de conservation et la gestion des ressources naturelles, la restauration écologique des zones déboisées, la promotion de projets de recherche. Plus d’infos ? Dalaa, Thaïlande DaLaa International Volunteers For Social Development Association Thailand est une ONG située dans le sud de la Thaïlande dont le principal objectif est de soutenir des communautés locales et des projets de développement local, de favoriser une meilleure compréhension entre volontaires thaïlandais et internationaux, et la population et de préserver autant que possible la nature et la culture. Dalaa organise des projets à court et à long terme dans des villages dans le sud de la Thaïlande. Les projets ont en commun une volonté de préserver l’environnement, de favoriser une consommation locale et durable, une éducation alternative pour les enfants des villages concernés et une sensibilisation à la nature qui les entoure et à leur culture. Dans chaque projet à long terme, il y a un hôte’ qui est l’initiateur du projet et un responsable du projet qui vit sur place. Plus d’infos ? Saelao, Laos Saelao est un projet communautaire innovant en mouvement constant dont les trois objectifs principaux sont l’éducation grâce à des cours d’anglais et à des bourses d’étude, le développement durable écoconstruction, biogaz, potager biologique, soutien à des projets locaux… et l’emploi activités génératrices de revenus comme la fabrication de savons. Sur le site se trouvent un restaurant et une cuisine en bois et bambou, un centre communautaire et des dortoirs, une hutte de méditation, des cochons, des poules et des canards, un atelier, un potager, un champ de riz et de cacahuètes, une ferme de poissons… Les volontaires peuvent être investis dans les activités suivantes enseigner l’anglais aux employés ou à la communauté locale, aider à la construction de bâtiments de manière écologique, travailler dans le potager, dans les champs,… Et amener ses propres envies. Plus d’infos ? Avec le soutien de la fédération wallonie-bruxelles et de la direction générale de la coopération au développement dgd LeVolontariat international en entreprise (VIE) permet aux jeunes de 18 à 28 ans de partir effectuer une expérience à l’étranger dans une entreprise française agréée par Business France. Le VIE peut durer entre 6 et 24 mois. Il peut être renouvelé 1 fois 2 ans maximum. Le volontaire international en entreprise est placé sous l’autorité de l’Ambassade de France à Mis en avant Le volontariat est-il bien différent du bénévolat ? septembre 29, 2021 octobre 9, 2021 Quelques explications afin de comprendre les différences entre le volontariat et le bénévolat Être volontaire, bénévole, jeune en échange, woofer, couchsurfer… Tous ces termes expriment autant de possibilités que de façons de voyager, tout en ayant une démarche consciente et quelque part humaniste. Mais savons nous vraiment ce qui se cache derrière ces termes ? Bien que tous ces termes soient aussi intéressants les uns que les autres, cet article est consacré principalement aux différences entre le volontariat et le bénévolat. En effet, nous sommes tous plus ou moins au courant que ce sont des termes différents. Mais parfois sans pour autant être capable de vraiment les distinguer et de saisir les nuances entre les deux. D’autant plus qu’en anglais le mot volunteering regroupe les deux termes que sont volontariat et bénévolat. Non seulement ça n’aide pas, mais ça porte à confusion. Je voudrais également souligner que les opportunités telles que le Woofing ou HelpX sont également du volontariat ou bénévolat. S’agissant de catégories un peu spéciales un article sera entièrement consacré à ces possibilités. Le volontariat, ou le rêve d’être payer pour voyager La solution parfaite ? Quand on commence à s’y intéresser, le volontariat semble être la solution parfaite. Elle allie notre envie de voyage et nos moyens financiers limités. De plus, le principe même du volontariat signifie s’engager de son plein gré dans une organisation à but non lucratif. Et pour faire quoi ? Afin de proposer tes compétences, ton expérience et surtout ta motivation dans des domaines qui peuvent être extrêmement variés. Mais ce n’est pas tout, le point le plus intéressant dans le volontariat aujourd’hui est qu’il existe de nombreuses possibilités d’en faire l’expérience à l’étranger. Et pour couronner le tout on reçoit une indemnisation pour nous permettre de financer nos dépenses quotidiennes. Pour payer une fois sur place le logement, la nourriture… Ce qu’il en est vraiment Cependant, ce ne sont pas les seuls éléments à prendre en compte. Ce serait trop beau hein, tu te doutes bien que si c’était si bien tout le monde ferait ça. Le volontariat c’est aussi un échange de valeurs et de don de soi. J’ai moi-même découvert que le volontariat était bien plus que ce que je pensais au premier abord. J’évoque cela et bien plus d’anecdotes dans l’article sur mon parcours. En effet, l’organisation qui nous accueille va beaucoup nous apporter autant sur le plan personnel que professionnel. Mais notre présence signifie aussi que nous pouvons et que nous devons apporter de la valeur à leur travail. Pour faire simple, oui nous recevons la plupart du temps une indemnisation. Mais celle-ci ne nous est pas destinée entièrement pour que nous voyagions librement, nous devons la “mériter”. Mais au moins on en reçoit une, et c’est une des différences entre le volontariat et le bénévolat. Le bénévolat n’y donne en effet pas droit. Autrement dit on travaille afin d’aider une organisation locale. Et en échange on reçoit l’opportunité de vivre parfois pendant plusieurs mois dans un lieu qui nous est inconnu. Que ce soit en France ou à l’étranger. Avec dans ce cas-là une nouvelle langue, une nouvelle culture, parfois une nouvelle monnaie… Au final ce sont toutes ces petites expériences et ces petits détails qui nous semblent anodins qui nous forgent. Et ces détails font également de nous ce que nous sommes. Le bénévolat, ou l’opportunité parfaite d’aider et de t’émanciper Le principe et la signification On a tous déjà entendu parler de bénévolat. Que ce soit au cours d’une discussion, d’une recherche internet, ou même quand on parle des Restos du Coeur… Mais est-on vraiment conscient du fait qu’il est plutôt facile de devenir bénévole ? Et qu’il s’agit également d’une expérience enrichissante pour nous ainsi que pour les personnes qui bénéficient de notre aide ? Avant de nous pencher plus en détails sur les bienfaits du bénévolat, parlons du principe du bénévolat en lui-même. Être bénévole signifie donner gratuitement de son temps libre pour aider une association à but non lucratif comme par exemple une ONG Organisation Non Gouvernementale. En clair, le bénévolat peut souvent permettre de participer à une activité non seulement qui ait du sens, mais qui se révèle également très gratifiante personnellement. Et l’un des points importants du bénévolat est que nous pouvons le faire tout en continuant notre activité principale, que l’on soit salarié, étudiant, au chômage, à la retraite… Les aspects pratiques Le bénévolat, c’est comme je viens de le dire avant tout un don de soi pour les autres. Cela signifie que l’on ne reçoit pas de salaire ni d’indemnisation d’aucune sorte. Le temps passé en temps que bénévole ne donne également pas droit à un statut particulier. On garde ainsi notre statut de départ étudiant, salarié…. De même, nous ne signons pas de contrat avec notre organisation. En fait, il existe bien ce qu’on pourrait appeler un contrat moral avec l’association pour laquelle on est bénévole, mais il s’agit plus d’un engagement réciproque sur les règles en tous genres de l’organisme à propos des horaires, de la sécurité, du fonctionnement de l’organisme…. Un autre point important est que l’on ne peut pas exercer une activité de bénévolat à temps plein. Par contre, en tant que bénévole nous avons la possibilité de choisir nos horaires de travail. Nous pouvons également choisir si notre engagement va être plutôt régulier ou au contraire ponctuel et parfois aléatoire dû à nos contraintes et envies personnelles études, travail, enfants…. En clair, être bénévole offre plus de liberté que tout autre forme de travail. Presque rien de peut nous être imposé nous pouvons décider de nos horaires et jours de travail, et nous pouvons arrêter notre engagement à n’importe quel moment sans problème. Mais nous pouvons aussi choisir le domaine et l’organisme dans lequel nous voulons proposer notre aide en tant que bénévole. De plus, le bénévolat est disponible pour tout le monde sans condition d’âge ou de diplôme. La seule condition nécessaire est notre motivation. Différences entre le volontariat et le bénévolat quelle est la meilleure option ? Il existe donc bien des différences entre le volontariat et le bénévolat, ainsi que des avantages et des inconvénients. Pour cette raison il n’y a pas vraiment de meilleure opportunité. Pourtant, il y a sûrement une situation qui peut se révéler peut-être plus adaptée à nos envies et à notre situation personnelle. Pour t’aider à y voir un peu clair, j’ai essayé de te condenser les principaux avantages et inconvénients que l’on peut retrouver lorsque l’on effectue une mission de bénévolat ou de volontariat. Les avantages du volontariat L’indemnité Et oui, sûrement l’un des principaux avantages du volontariat est que l’on reçoit une indemnisation “de subsistance ». En clair, ça veut dire que bien souvent l’état Français ou l’Union Européenne te donne de l’argent afin que tu puisse vivre pendant ton volontariat ça te permet de payer ton logement si tu dois payer un loyer, ta nourriture et parfois les transports. À noter que les indemnités varient suivant les programmes et parfois suivant les pays dans lequel tu effectues ton volontariat. Quand tu as l’impression de ne jamais avoir été aussi riche… Alors que tu tiens un billet d’à peine plus de 50 euros. Certains voient cette indemnité comme insuffisante et comme moyen pour les organismes d’avoir des personnes travaillant pour eux à moindre coût. Cette indemnité dépasse en effet rarement les 500 euros par mois. Pour ma part, cette indemnité me paraît tout à fait raisonnable pour plusieurs raisons La première raison Il s’agit d’une indemnité et non d’un salaire. Le volontariat n’a pas pour but de nous faire gagner de l’argent. La seconde raison Comme son nom l’indique, nous effectuons dans ce cadre là une mission de volontariat. Cela signifie donc que nous voulons nous engager pour une mission ou cause qui nous tient à cœur, et que si nous en aurions la possibilité nous ferions la même chose gratuitement, en tant que bénévole. Et donc partant de ce point là tout apport d’argent est un bonus, certes non négligeable, mais tout de même un bonus. La troisième et dernière raison Cette dernière raison me concerne directement. J’ai en effet personnellement effectué un volontariat d’une année complète en Hongrie avec 250 euros par mois. Sans avoir l’impression de manquer d’argent. Il faut également savoir que le salaire minimum en Hongrie est de 450 euros environ. Bien entendu cela dépend aussi du pays dans lequel on effectue notre volontariat ainsi que de nos activités externes à notre mission de départ. Mais pour de nombreuses missions l’argent que l’on reçoit est calculé par rapport au coût de la vie dans le pays dans lequel on se trouve. Les destinations On n’y pense pas assez, mais l’un des grands avantages du volontariat est qu’il existe aujourd’hui de nombreuses destinations tout autour du globe. En effet, bien que les missions en France soient bien souvent plus nombreuses, il est tout à fait possible d’effectuer une mission dans n’importe quel autre pays d’Europe ainsi dans certains pays d’Asie, d’Afrique et d’Amérique. On peut noter qu’il est tout de même plus difficile de trouver une mission en Amérique du Nord qu’en Amérique du Sud. Et il est en général bien plus difficile d’être accepté dans une mission hors Europe que pour une mission en France ou en Europe. La durée Je n’en ai pas parlé jusqu’à présent, mais la durée d’un volontariat – bien que la plupart du temps définie lorsqu’il s’agit de missions provenant d’organismes officiels – peut être très variable d’une mission à une autre. Certaines missions peuvent être de court terme, généralement une ou deux semaines, voire jusqu’à un mois. Mais la plupart des missions se déroulent sur le moyen et long terme. On trouve en effet de nombreuses missions de 6 mois ou 1 an. On trouve aussi un nombre assez important de missions d’une durée de 3 ou 8 mois. L’encadrement Certains peuvent y voir un inconvénient, mais le fait que chaque mission de volontariat nécessite souvent une organisation dans le pays de départ ainsi qu’une organisation dans le pays d’accueil peut se révéler très utile. Notamment pour toutes les démarches administratives que peuvent entraîner ce genre de programme. L’expérience et les compétences que l’on acquiert Quelques lignes dans un article de blog comme celui-ci ne sont pas suffisantes pour décrire l’étendue des connaissances, expériences et compétences que l’on gagne dans ce genre de projet. Et je ne parle même pas de la maturité du regard que l’on porte sur le monde. Alors bien sûr tout n’est pas toujours rose, mais chaque moment est une nouvelle expérience qui apporte toujours quelque chose. Et ce que ce soit lorsqu’on pratique une nouvelle langue ou que l’on s’essaie à la nourriture locale. Même une mauvaise expérience nous apprend beaucoup, sur nous-même et les autres. Les inconvénients du volontariat Les conditions d’âge C’est malheureusement l’un des points noirs. Les missions de volontariat ne sont accessibles qu’à partir de 18 ans, ou 16 ans pour certaines missions en France. Certaines missions à l’étranger ne sont parfois même pas accessibles avant 21 ans. Même si théoriquement l’âge minimum pré requis pour ce genre de mission est de 18 ans. Mais bon tu te doutes que la théorie et la pratique sont parfois deux choses bien différentes. Bien souvent les recruteurs estiment que 18-20 ans, c’est trop jeune. Ils pensent que l’on manque d’expérience et de maturité pour pouvoir mener à bien certains types de mission. Et ce point partie des différences entre le volontariat et le bénévolat, car on peut parfois devenir bénévole bien plus tôt ! Pourtant, cette hésitation à propos de l’âge peut se comprendre quant on voit l’intitulé de certaines missions. Mais il ne faut jamais oublier que notre motivation est l’un de nos plus grands atouts ! Et que quelqu’un de très motivé aura toujours plus de chances d’être accepté que quelqu’un de très expérimenté mais de très peu motivé. Le temps plein Je ne sais même pas si l’on peut parler de désavantage pour ce point là. Cela dépend avant tout de notre situation personnelle, mais le fait que le volontariat soit un travail à temps plein peut être contraignant. Cela limite par exemple la possibilité d’une activité professionnelle à côté, comme des études ou un salariat. Après il ne faut pas oublier que même s’il s’agit d’un temps plein, une mission de volontariat nous offre toujours la possibilité d’avoir des jours de vacances, des week-ends, des jours fériés. En bref tu as du temps libre… Un coin de nature en Hongrie, où comment profiter de son temps libre… La durée Vous allez me dire que j’ai déjà évoqué la durée d’un volontariat comme étant un avantage, mais il s’agit également d’un inconvénient. Je l’ai précisé précédemment, la durée d’un volontariat est prédéfinie. On ne peut en effet pas prolonger une expérience de volontariat par rapport à ce qui était prévu au départ. Il est vrai qu’il est possible de la raccourcir lors de circonstances exceptionnelles non-respect des objectifs la mission et non-respect envers l’organisation, ou encore dans le cas où la mission ne nous correspond pas, mais le contrat que l’on signe lorsque l’on s’engage en tant que volontaire n’est pas renouvelable. De plus, certaines plateformes officielles de volontariat comme celles du Service Civique ou du Corps Européen de Solidarité ne permettent de faire qu’un nombre limité de volontariat plusieurs volontariats avec une limite de 1 an, ou parfois même un seul volontariat est possible. Les avantages du bénévolat La liberté d’engagement Cette partie englobe plus d’un avantage car elle signifie qu’en tant que bénévole on peut s’engager sans contrainte d’aucune sorte ou presque. Nul besoin en effet d’avoir un planning précis avec le nombre d’horaires et les jours de nos disponibilité avant même le début de notre bénévolat, car le principe même du bénévolat est que nous donnons de notre temps libre afin d’aider. De plus, notre temps libre varie souvent aléatoirement en fonction d’événements imprévus qui viennent se greffer au fil de notre journée. Il est cependant toujours mieux d’avoir une idée de nos disponibilités, mais ne signant pas de contrat, rien ne nous oblige à effectuer un nombre donné d’heures de travail par semaine ou par mois. Pas de conditions de diplôme ou d’âge Important de la souligner. Afin de pouvoir proposer son aide en tant que bénévole, nul besoin d’avoir de l’expérience et des diplômes. L’absence de statut particulier Cela pourrait sembler être un désavantage, mais le fait que le bénévolat n’octroie aucun statut particulier signifie que l’on peut par exemple toujours recevoir ses allocations chômage, ses bourses étudiantes.., même si l’on effectue un bénévolat durant cette même période. Les inconvénients du bénévolat L’absence de rémunération ou d’indemnisation Il y a au final très peu d’inconvénients dans le bénévolat, mais le fait que l’on fournisse un travail gratuitement peut en être un. Je m’explique, il est bien évident qu’être bénévole signifie donner de son temps gratuitement dans un but purement humaniste, mais cela nous empêche donc de pratiquer le bénévolat loin de chez nous si nos moyens financiers sont limités. Et oui, parce qu’il faut bien payer le transport pour aller sur place, ainsi que le logement la plupart du temps… Il existe certaines organisations proposant des missions de bénévolat tout autour du monde tout en proposant le logement, voire même la nourriture, mais elles ne sont pas majoritaires. Les coûts supplémentaire Et en plus du billet d’avion pour aller sur place, ces organisations demandent souvent une contribution financière. Celle-ci est notamment liée au fait que ces organisations ne reçoivent pas d’aides des gouvernements. Et financer de tels projets n’est pas gratuit, il faut une quantité d’argent parfois importante. Dans certains cas, cette contribution financière peut grimper jusqu’à plus de 1000 euros la semaine. Et ça, peut importe tes moyens, ça te limite tout de suite les possibilités. En bref, sans aucune aide financière, il peut être difficile de trouver une mission de bénévolat loin de son domicile, et encore plus loin de la France, et il s’agit là encore d’une des différences entre le volontariat et le bénévolat, car le volontariat est souvent plus encadré. D’autres alternatives de bénévolat Mais pour te donner une note d’espoir, il existe tout de même des solutions. Souviens-toi qu’il y a toujours des solutions lorsque l’on est motivé et que l’on cherche bien. Les organisations comme Wwoof ou Helpx ont été créées spécialement pour ça. Tu es logé chez des locaux et en échange tu les aides, la plupart du temps dans des fermes. Mais ça tu l’as sûrement deviné vu que Wwoof est l’acronyme de World Wide Opportunities on Organic Farms. On te demande parfois des frais pour accéder au site et missions, mais cela reste au-dessous des 100 euros pour avoir la possibilité pendant 1 ou 2 ans d’accéder à toutes les missions que tu souhaites. En conclusion… Et bien voilà, je crois qu’on a fait le tour des différences entre le volontariat et le bénévolat ! Si tu es arrivé jusque là je te remercie d’avoir lu mon article jusqu’au bout. Il ne te reste maintenant qu’à décider de l’option qui correspond le mieux à ta situation et de te lancer ! Une chose est sûre, tu ne regretteras jamais une telle expérience ! Qu’importe la destination, la durée ou encore le type d’engagement. Tout engagement est bon à prendre, mais aussi et surtout inoubliable et incomparable en termes de souvenirs et d’expériences. Alors, quelle option as-tu choisi ? Y a-t-il quelque chose qui t’empêche de franchir le pas ? Est-ce si important par rapport à ce que ça peut t’apporter ? .